Identifiseer die boom van die kennis van goed en kwaad

Deur William Finck

Alle vers vertaalings geneem uit die Afrikaans 1933/1953 vertaaling

In Genesis hoofstuk 2 word twee bome genoem wat Yahweh nie in die grond geplant het nie, maar wat “in die middel” van die tuin was. Hierdie bome word eintlik onderskei van letterlike bome, waar ons in vers 9 lees: “9En die Here God het allerhande bome uit die grond laat uitspruit, begeerlik om te sien en goed om van te eet; ook die boom van die lewe in die middel van die tuin, en die boom van die kennis van goed en kwaad”

Ons het dus al die ander bome wat doelbewus "in die grond" geplant is, maar hierdie twee spesifieke bome is slegs teenwoordig en word nie op dieselfde manier geplant nie.

Miskien is die eerste leidraad vir die identifisering van hierdie bome gevind in Esegiël hoofstuk 31, waar ons nasies van mense sien wat as bome beskryf word en die Woord van Yahweh sê “3Kyk, Assur was 'n seder op die Líbanon, skoon van takke en 'n skaduryke bos en hoog van groei; en sy top was tussen die wolke. 4 Waters het hom grootgemaak; die watervloed het hom hoog laat groei, wat met sy strome gegaan het rondom die plek waar hy geplant was, en sy watervore uitgestuur het na al die bome van die veld. 5 Daarom het hy hoër gegroei as al die bome van die veld, en het sy takke baie geword en sy takkies lank, weens die groot waters toe hy uitgeskiet het. 6 Al die voëls van die hemel het nes gemaak in sy takke, en al die wilde diere van die veld het onder sy takkies aangeteel, en allerhande groot volke het onder sy skaduwee gaan sit. 7 En hy het skoon geword in sy grootheid, in die lengte van sy takke, omdat sy wortel by groot waters was.

Idiomes sémitiques et Genèse chapitre trois

par William Finck

La Bible, une collection de livres très anciens, écrits dans des langages qui n’ont pas été parlés dans leur forme originelle depuis bien des siècles, contient beaucoup d’énigmes pour le lecteur moyen contemporain. Cela apparaît particulièrement vrai lorsque l’on se rend compte que bien des parties de la Bible — et ici nous parlons aussi bien de l’Ancien Testament que du Nouveau — furent écrites en paraboles et dans le langage poétique de la vision prophétique. Bien qu’il soit certainement de bonne pratique d’interpréter les Écritures dans le contexte des Écritures, avec dans l’esprit que le Verbe de Yahweh notre Père est clair et se suffit à lui-même, les 66 livres de la Bible Protestante, ou les 72 pour les catholiques, ou même les 80 pour la version originale de 1611 de la Bible du roi Jacques, ne constituent pas par eux-mêmes une révélation complète de l’Histoire de l’Homme Blanc (Homme Adamique). Personne ne devrait non plus être arrogant au point de croire que ces livres que nous avons aujourd’hui sont les seules Écritures inspirées qui nous aient été transmises de l’antiquité : car tous les livres exclus du canon par les premiers «pères de l’église» ne méritaient pas un tel destin et tous les livres de l’antiquité n’ont pas survécu jusqu’à l’ère chrétienne. De même, aucun de ces livres ne se suffit à lui-même pour pouvoir être complètement compris, quelque soit le langage, du fait de leur état incomplet et de l’ancienneté du langage dans lequel ils ont été écrits. Il n’en est pas moins vrai que, grâce à des études sérieuses et profondes en Histoire et en archéologie, bien des facettes de la Bible peuvent commencer à être mieux comprises. Grâce à des études dans ces domaines, ce ne sont pas seulement les livres historiques de la Bible mais également les proclamations des prophètes qui prennent vie et consistance, et la certitude de la Parole de Yahweh notre Dieu est rendue pleinement manifeste. De plus, par l’étude des anciens langages dans lesquels la Bible fut originellement écrite, nous acquérons une compréhension plus sûre de cette Parole. Mais tant que nous ne regardons pas en dehors de la Bible, vers les anciens écrits qui furent rédigés par des cultures parentes durant les âges bibliques, une compréhension pleine et entière des idiomes et métaphores du langage des Écritures ne peut pas être acquise, et l’intention de beaucoup de passages bibliques resterait pour toujours énigmatique. Nous allons ici nous pencher sur une partie d’un ancien poème mésopotamien, l’Épopée de Gilgamesh, et constater qu’il nous aide à comprendre certains passages obscurs et souvent débattus, trouvés dans le troisième chapitre de la Genèse.

Il n’y a pas de pacifisme dans la Bible

par Bertrand L. Comparet

On rapporte qu’un Hindou a récemment entrepris de réprimander toutes les nations Chrétiennes, en demandant «Comment pouvez-vous réconcilier la doctrine de non-résistance de Jésus avec vos armements militaires et avec les guerres que vous livrez de temps en temps? Lequel d’entre vous retournera le bien pour le mal?». En parlant ainsi, l’Hindou pavoisait béatement devant ce qu’il pensait être une inconsistance entre notre religion et notre conduite nationale. Malheureusement, il existe même certains Chrétiens qui sont si ignorants de leur propre religion qu’il sont embarrassés par de telles accusations et pensent que nous devons être coupables d’inconsistance et même d’erreur. L’ignorance de l’Hindou peut être excusée, car il ne connaît rien de notre religion au-delà de quelques phrases citées hors-contexte ; mais il est temps que les Chrétiens apprennent ce qu’il en est vraiment de leur propre religion. Nous pourrions retourner à l’Hindou la question : comment peut-il réconcilier l’attaque agressive de son Premier Ministre Nehru contre la Goa portugaise, que le Portugal détient depuis l’année 1510 — comment peut-il réconcilier cette guerre agressive avec les nobles proclamations de Nehru sur sa dévotion à la paix — c’est-à-dire à toute situation dans laquelle la «paix» consiste à laisser les hommes Blancs dans l’esclavage.

Israël dans le Nouveau Testament

par Bertrand L. Comparet

Extrait de Votre Héritage
Notes critiques de Clifton A. Emahiser

Il est impossible de vraiment comprendre la Bible, ou une partie quelconque de celle-ci, sans comprendre que les peuples Anglo-Saxons, Germains et Scandinaves d’aujourd’hui sont l’Israël de la Bible. La Bible parle toujours et uniquement d’Israël. Pour pouvoir en réclamer des bénéfices pour vous-même, vous devez commencer par vous mettre dans les rangs d’Israël. Même les églises majeures montrent quelque vague conscience de ce fait, bien qu’elles ne vont pas l’admettre.

Par exemple, l’Église Épiscopalienne n’admettra pas que nous sommes Israël, mais lisez leur missel : tout le long de ce livre on parle du point de vue d’Israël. Afin de sortir de l’embarras d’une telle inconsistance, la plupart des églises enseignent principalement ceci : «Bien que les promesses de Dieu à Israël étaient absolues et inconditionnelles, Dieu s’est trompé dans ces promesses et, à la place, les a faites à l’église». Cependant, ils n’expriment pas cela aussi franchement. Si leur doctrine était vraie, ils n’auraient plus grand-chose comme religion. Si Israël ne peut pas avoir confiance dans la Parole de Yahweh, qui le peut? Mais, évidemment, ce n’est pas vrai ; Yahweh ne nous a jamais trompé dans Ses promesses. Chaque promesse qu’Il a jamais faite à Israël, Il l’a accomplie ou l’accomplit aujourd’hui envers Israël, et envers personne d’autre.

Klassískar heimildir Og uppruni Germana Fyrsti hluti

William Finck   © 2007


Þjóðir Miðausturlanda gerðu oft minnisáletranir og aðrar skrár á mörgum tungumálum. Þetta kemur okkur að góðum notum þar sem slíkt hefur stórlega aukið skilning okkar á hinum ýmsu fornu tungumálum landsvæðisins. Með upprisu Forn Grikkja hófust Grískar landfræði og sagnfræði rannsóknir sem, eins og er ljóst af þeirra eigin heimildum byrjuðu á seinni hluta 7 aldar f.Kr. Grísku rithöfundarnir kynntust fyrst nágrönnum sínum í austri í formi veldis Assýra, sem hafði fallið um 612 f.Kr , og enn meir með tilkomu Persaveldis þar sem Kýrus komst til valda 540 f.Kr. Þótt það hefðu verið eldri Grískir sagnfræðingar og rithöfundar söguljóða í sagnfræðilegum stýl, ásamt mörgum öðrum ljóðskáldum, er fyrsti alvarlegi sagnfræðingur sem hefur skilið eftir sig verk Heródótos, sem skrifaði 100 árum eftir dauða Kýrusar. Það kann því að vera augljóst, að elstu ritaðar Grískar heimildir um austurlönd voru undir áhrifum frá Assýringum, og síðar af Persum og Medum.

Klassískar heimildir um Dórísku og Dananísku Ísraelíta-Grikki

William R. Finck Jr. 2007

Kórinþumenn voru Dórar. Dórar voru þjóðflokkur sem var sagður hafa ráðist inn á Grikkland, samkvæmt öllum fornum heimildum, stuttu eftir Trójustríðin. Grikkir sem byggðu allan Peloponnes skagann og einnig meginlandið fyrir tíma innrásar Dóra, kölluðust "Danaanar"(Danai), og "Akkea" kallaði Hómer þá. Sagnfræðingar dagsins í dag halda því fram að Dórar hafi komið "úr norðri" og benda á Dórísku Tetrapolis, fjórar borgir (Erineus,Boeum,Pindus og Cytinium, sjáið Strabó 9.4.10) sem liggja vestur af Fókis og norður af Delfí á meginlandi Grikklands, sem vitnisburð um þetta. Þessir sagnfræðingar halda einnig að allir Aríar hafi komið "að norðan" inn í fornöld á einum tíma eða öðrum, en þeir hafa stanslaust rangt fyrir sér. Hómer fær mikinn trúnað hjá Strabó fyrir þekkingu sína og nákvæmni þegar hann lýsir íbúum οἰκουμένη og svæðana þar sem þeir bjuggu, og landfræðingurinn vitnar sifellt í skáldið. Hómer lýsti öllum íbúum Grikklands, og þjóðum og stöðum sem Grikkjum var kunnugt um á þeim tíma er hann ritaði um. Hómer minnist ekkert á borgir Tetrapolis, né af Dórum á Grikklandi, né neinstaðar í norðri.

L'ivraie s'est dressée au-dessus du bon grain!

Par J. Richard Niemela

Voici le temps prophétique où sont révélés ceux qui proclament être les légitimes possesseurs du monde, ceux qui nous empêchent de vivre une vie pleinement chrétienne – ceux de la lignée d'Ésaü, qui possèdent maintenant le pouvoir! L'Histoire a atteint l'époque où ces prétendants au Royaume sont exposés comme ce qu'ils sont et comme qui ils sont – l'Ivraie – la mauvaise herbe poussant au milieu du champs de blé de la Chrétienté.

Les « Chrétiens » tièdes seront surpris, désappointés et remplis d'anxiété lorsqu'ils réaliseront que ces faux associés, égarant les bergers, sont en fait des étrangers qui ont étés « plantés » et qui poussent parmi nous. Des faux prétendants, déterminés à égarer et à écarter le bon grain lors de la récolte, qui est le rassemblement de Son fruit dans le Royaume de Yahweh.

La destruction par la paix

par Bertrand L. Comparet

Extrait de Votre Héritage
Notes critiques de Clifton A. Emahiser

Nous, les Américains, sommes un peuple aimant la paix, nous n’envions pas la terre de nos voisins ou leur richesse. Nous ne faisons pas de guerres de conquête et nous trouvons donc difficile de croire que d’autre vont nous attaquer. Nous devenons impliqués dans des guerres défensives parce que nous avons souffert de tant d’injustice sans résistance que notre grande patience est prise pour de la couardise. Nos ennemis, à la fois de l’extérieur et de l’intérieur, en tirent avantage. Ils savent qu’ils peuvent toujours nous piéger en prétendant qu’ils désirent la paix. La Russie est très forte à ce jeu aujourd’hui, aux Nations-Unies, et elle est vigoureusement aidée par les prétendues nations neutres. Comment pourrait-il y avoir de la neutralité entre le bien et le mal? Yahshua nous dit que celui qui n’est pas avec Lui est contre Lui.

La Lignée du Serpent

Par James E. Wise

« Et je mettrai inimitié entre toi et la femme, et entre ta semence et sa semence. Elle te brisera la tête, et toi tu lui briseras le talon »

Ce verset introductif des Écritures se trouve en Genèse 3:15, où Yahweh parlant au serpent, ou diable, dit : « Et je mettrai inimitié entre toi et la femme, et entre ta semence et sa semence ». La dernière partie de ce verset sera utilisée plus loin pour confirmer certaines considérations positives et informatives.

Yahweh s'adresse donc au diable et déclare clairement que le diable aura une semence, ou progéniture. La plupart des prêcheurs et des enseignants de la Bible enseignent que ce verset contient l'introduction à la promesse de la première venue du Christ ou Messie dans le plan divin afin de réconcilier de nouveau l'homme avec Lui (Yahweh). Cependant, ils paraissent réticents ou incapables d'admettre que Yahweh déclare ici que le diable, lui aussi, a une descendance. Ils veulent bien admettre que la semence d'Ève est une semence humaine physique, mais ils prétendent que la semence du diable, s'il peut avoir une semence, est spirituelle, sans corps physique.