L’armure complète de Yahweh

par Bertrand L. Comparet

Extrait de Votre Héritage
Notes critiques de Clifton A. Emahiser

Il y a un passage dans la Bible qui est souvent cité mais rarement compris. Il fut écrit par l’apôtre Paul et se trouve en Éphésiens 6:11--17 :

Revêtez-vous de l’armure complète de Yahweh, afin que vous puissiez tenir ferme contre les artifices du diable : car notre lutte n’est pas contre le sang et la chair, mais contre les principautés, contre les autorités, contre les dominateurs de ces ténèbres, contre la puissance spirituelle de méchanceté qui est dans les lieux célestes. C’est pourquoi prenez l’armure complète de Yahweh, afin que, au mauvais jour, vous puissiez résister, et après avoir tout surmonté, tenir ferme. Tenez donc ferme, ayant ceint vos reins de la vérité, et ayant revêtu la cuirasse de la justice, et ayant chaussé vos pieds de la préparation de l’évangile de paix ; par-dessus tout, prenant le bouclier de la foi par lequel vous pourrez éteindre tous les dards enflammés du méchant. Prenez aussi le casque du salut, et l’épée de l’Esprit, qui est la parole de Yahweh.

L’origine Catholique Romaine des doctrines du Futurisme et du Prétérisme

par Clifton A. Emahiser

Vous êtes libres de copier ce texte, mais pas de l’éditer.

Dans mon «Ron Wyatt, Honnête ou Fraudeur Malhonnête n°3», je présentais l’interprétation Historique de la «marque de la bête» de Rév. 13:18, et quelques personnes objectèrent que cet épisode devait représenter un évènement dans le futur! La prophétie biblique est basée sur : un jour ⇒ un an. Un temps = 360 ans ; un mois = 30 ans et un jour = un an. Donc si la «bête» doit régner «quarante-deux mois» en Rév. 13:5, cela nous donne 30  ×  42 = 1.260 ans. Et donc, si la tribulation doit durer sept années, commençant en 2010, cela nous amènerait à l’année 3270 ap. JC, et non pas sept années de calendrier!

Platon et la Kabbale

Par David Livingstone

À travers les siècles, les mystiques juifs et les Kabbalistes ont regardé Platon comme un étudiant de leurs doctrines. Parmi les Kabbalistes proéminents de la Renaissance, par exemple, nous trouvons Leone Ebreo, qui voyait Platon comme adepte des révélations de Moïse et même comme un disciple des anciens Kabbalistes. Tandis que Rabbi Yehudah Messer Leon critiquait la similarité du Platonisme et de la Kabbale, son fils décrivait Platon comme un maître divin. D'autres Kabbalistes, tels que Isaac Abravanel et Rabbi Yohanan Alemanno, croyaient que Platon avait été un disciple de Jérémie en Égypte. Sur la similarité des enseignements des philosophes grecs et de la Kabbale, Rabbi Abraham Yagel commentait :

Ceci est évident pour tout qui a lu ce qui est écrit sur la philosophie et les principes de Démocrite, et spécialement de Platon, le maître d'Aristote, dont les vues sont pratiquement les mêmes que celles des sages d'Israël, et qui, en certaines matières, semble presque parler de la bouche même des Kabbalistes et dans leur langage, sans que ses lèvres tremblent. Et pourquoi ne verrions-nous pas les choses comme cela, puisque ces vues sont les nôtres, héritées de nos ancêtres par les Grecs et, jusqu'à aujourd'hui, les grands sages partagent les vues de Platon, et de nombreux groupes d'étudiants le suivent, comme le sait toute personne ayant servi les sages de l'Académie et étant étudié leurs travaux, qui se trouvent dans tous les pays”. 1 Mazref la-Hokhmah, chap. 25, tiré de Idel, La Kabbale Juive et le Platonisme au Moyen-Âge et à la Renaissance, Néoplatonisme et pensée juive, p. 336.

Qu'est ce que la Bible?

Par William Finck, Christogenea.org La plupart des Chrétiens possèdent une version de la Bible qu'ils préfèrent à toute autre et qui, pour eux – comme ils sont souvent amenés à le croire – représente le Verbe de Dieu inerrant. Mais est-ce une attitude chrétienne saine, sachant que les Chrétiens devraient, selon les Écritures, prouver et examiner toute chose, quelque soit la traduction? Nous avons été élevés et on nous a appris à aimer la version du Roi Jacques1, ou la version de Luther et les peuples Anglais ou Allemand ont beaucoup d'estime pour ces livres qui ont tellement contribué à la Culture Occidentale qu'ils ont même aidé à construire et à unifier nos différents langages! Mais sont-ils réellement les Écritures? Doivent-ils être acceptés de façon aveugle comme inerrants? La version du Roi Jacques contient des milliers de mauvaises traductions. On peut clairement démontrer que des noms ont été traduits par des verbes, des verbes par des noms, et même que des objets grammaticaux et des sujets ont été inversés dans beaucoup de phrases. Ces erreurs peuvent-elles être vues comme venant de l'inspiration de Yahweh? Ou bien plutôt, les Chrétiens n'ont-ils pas l'obligation d'examiner toutes ces choses? Nous allons discuter ici de possibles voies d'enquête, étant donné que la plupart des Chrétiens semblent être ignorants des sources de leur plus grand trésor, qui est la Bible.

Qu'est-ce que le Monde ?

Par William Finck Christogenea.org

Il existe trois mots grecs apparaissant dans le Nouveau Testament et qui sont traduits par monde en français : αίών (aeon), κόσμος (cosmos) et οίκουμένη (oikoumene). C'est devenu une doctrine très importante des églises soi-disant « chrétiennes » que, quelque soit le contexte où ces mots apparaissent et sont traduits par monde, ils sont compris comme signifiant la planète entière et tout et tout le monde à sa surface. Cependant, ce n'était certainement pas le cas des anciens Grecs, et c'est la signification de ces mots pour les lecteurs grecs au premier siècle qui devrait guider la façon dont les Chrétiens les comprennent, car la conception moderne de ce mot – le monde – est évidemment étrangère à toute idée que les Grecs eux-mêmes avaient lorsque le Nouveau Testament fut écrit. Nous allons ici discuter chacun de ces trois mots.

Qui est Ésaü-Édom?

par Charles A. Weisman

INTRODUCTION

Le titre de ce livre pose une question qui peut se révéler être la plus importante question dans la compréhension de la Bible, de l'Histoire et des événements du monde. Qui est Ésaü-Édom? Ésaü fut le premier-né d'Isaac qui était le fils d'Abraham, avec lequel Dieu a fait une alliance spéciale. L'histoire biblique nous dit que Ésaü aurait une destinée unique et séparée de celle de son frère Jacob. Les destinées différentes et conflictuelles de ces deux individus affecteront le cours de l'Histoire jusqu'à ce jour. Ce livre présente la "nourriture solide" de la parole divine, et est écrit dans l'intention d'édifier et de nourrir les Chrétiens forts (Hébreux 5:12-14). Il est donc spécifiquement écrit à l'intention de ceux qui sont suffisamment avancés pour comprendre la perspective raciale de la Bible. En révélant les mystères des Écritures concernant Ésaü-Édom, ce livre parle d'Histoire, de prophétie, d'ethnologie, de providence, de symbolique et d'eschatologie.1 Ce livre retrace la vie et la destinée d'Ésaü et de ses descendants, les Édomites, et leur relation à Jacob-Israël, à Dieu, aux événements historiques et politiques, aux autres races, et de leur place dans la prophétie et le Jugement. Un des buts principaux de ce matériel est de révéler les plans et les voies de Dieu regardant le rôle d'Ésaü et de ses descendants dans le monde. Il s'ensuit que ce livre peut fournir les réponses définitives à certaines des questions les plus difficiles ici-bas.

Registros Clásicos de los orígenes de los Escitas, Partos, y las tribus relacionadas

by William Finck

En el prefacio de Las guerras de Josefo, el historiador explica que originalmente escribió el libro en "la lengua de nuestro país", es decir, hebreo o arameo, talvez, y lo envió a los "bárbaros superiores o del norte'', entre los que a continuación los nombra como "los Partos ... Babilonios ... árabes mas remotos ... y los de nuestra nación más allá del Éufrates, con el Adiabeni ". 

A excepción de los Partos, las designaciones de Josefo aquí son geográficas, donde provienen de las páginas de su libro Antigüedades que muchos de los Israelitas de la deportación a Babilonia todavía habitaban alrededor de Babilonia en su tiempo (15.3.1), lo que incluiría las " remotas " partes de Arabia adyacentes a Babilonia (cf. Actos 2:11; 1 Pedro 5:13.). Además, Josefo atestigua que muchos Israelitas de la deportación asiria fueron "más allá del Éufrates hasta ahora", donde fueron "una multitud inmensa, y no se calcula por el número" (11.5.2). Adiabene es la parte de Asiria, que, según Estrabón en su Geografía, no es en Mesopotamia, sino que consiste en las llanuras más allá del Tigris limítrofes con Babilonia al sur y a Armenia al norte (16.1.1, 19). Media bordea Adiabene en el este.

Siel en Gees

Vurige beproewings in hierdie wêreld? Of ewige vernietiging? Siel en Gees

Die King James -weergawe van Matteus 5:22 : “Maar ek sê vir julle dat elkeen wat sonder rede kwaad is vir sy broer, die gevaar loop; en elkeen wat vir sy broer sê: Raca, is in gevaar van die raad: maar elkeen wat sê: Jou dwaas, loop die gevaar van 'n helse vuur. 'Hierdie Griekse woord wat as “die hel” vertaal is in Matteus hoofstukke 10 en 23, Lukas hoofstuk 12 en Jakobus hoofstuk 3 is n groot probleem omdat dit vertaal is uit twee verskillende Griekse woorde, waarvan een γέεννα en 'n ander δης is.

Skýþverskir forfeður okkar

by Colonel J.C. Gawler

Innan við hálfa öld eftir að Ætt Ísraels fór í útlegð, var fyrst minnst á Skýþverja í sögulegum heimildum. Þessi skjöl, sem eru frá tíma Essarhaddons Assyríukonungs(681-669 fyrir Krist), voru endurheimt frá skjalasafni Nínevehborgar og eru nú staðsett í British Museum. Þau sýna að Skýþverjar voru þá staðsettir meðal Meda þar sem Biblían segir okkar af sumir af Ísraelítum höfðu verið settir í útlegð( 2 Kings 18:11). Sömu gögn sanna einnig að ný þjóð að nafni Gimiri var einnig staðsett á sama svæði á þessum tíma.

Nema að við eigum að ætlast til þess að þrjár ólíkar þjóðir hafi skyndilega komið inn á þetta svæði á fimmtíu árum, getum við sagt með vissu að allir þrjár voru sama fólkið undir mismunandi nöfnum. Í tungumáli Assýra kölluðust Skýþverjar Izkuza, en það hefur engin útskýring á að nafnið byrji á I nema að þetta nafn hafi verð komið af Isaaca. Ísraelítar gætu vel hafa kallað sig Isaaxa, eða ætt Ísaks, Amos gerði svo nokkrum árum fyrr(Amos 7:16). Það ætti að vera ljóst að í Hebresku fellur hreimurinn ekki á síðasta atkvæði, svo að Isaac var ekki borið fram eins og í Ensku. Þar af leiðandi, gæti I auðveldlega glatast að öllu leyti til að mynda Gríska nafnið Skuthae. Heródótos(VI,64) segir að Persar kölluðu alla Skúþverja Sacae og á hverri Persneskri áletrun(þær voru alltaf á þremur tungumálum) sem mynnist á Sacae(Saka), nefnilega á Behistun fjalli, önnur á gylltum diski, og þriðja á gröf Daríusar, er nafnið alltaf þýtt sem Gimri í Babylónskri útgáfu. Þar sem það er vel þekkt að Assyringar kölluðu Ísrael Khumri, gæti þetta vel verið rót nafnsins Gimiri. Það er því ekki óraunhæft að trúa því að Izkuzi og Gimiri væru því, Ísraelitar í útlegð.

Suivons la piste du fil écarlate

par Clifton A. Emahiser

Vous êtes libres de copier ce texte, mais pas de l’éditer.

Le commencement de notre histoire se trouve en Genèse 38:27--30, avec les naissances de Pérets et de Zérakh, fils du patriarche Juda et enfantés par Tamar. Mais dans cet exposé nous nous intéresserons à la lignée de Zérakh uniquement. Lorsque les fils jumeaux de Juda étaient près de naître, il parût à la sage-femme que Zérakh allait naître en premier ; elle lia donc autour de sa main un fil écarlate. Il est significatif qu’un «fil écarlate» ait été utilisé, car il s’agissait d’un signe de royauté. Il faut aussi noter qu’aucun des précédents fils de Juda, Er, Onan ou Shéla (né d’une fille cananéenne de Shua, I Chron. 2:3) ne fut jamais considéré comme royal! Nous trouvons dans le Livre de Jasher, 45:23 : «Et dans ces jours-là, Juda alla vers la maison de Sem et prit Tamar la fille d’Élam …». Nous voyons donc d’après ceci que Pérets comme Zérakh étaient de sang royal, ainsi que des Sémites pur-sang!