Les Deux Lignées enseignées dans les Rouleaux de la Mer Morte
par Clifton A. Emahiser
Vous êtes libres de copier ce texte, mais pas de l’éditer.
Première partie
Si vous désirez avoir une vue plus complète des Écritures, je vous recommande d’étudier les Rouleaux de la Mer Morte. Vous devriez d’abord étudier leur histoire, comment et quand ils furent découverts. Cela peut être réalisé en lisant les introductions de plusieurs livres ayant été publiés sur ce sujet. Un de ces livres, que je recommande, est Understanding The Dead Sea Scrolls, édité par Hershel Shanks en 1992, publié par Random House, NY. Quoique Shanks soit un «Juif», le livre est une collection de plusieurs auteurs sur les Rouleaux de la Mer Morte. Il est également nécessaire de comprendre qui les rédigea et copia la plupart des livres de cette période pré-Testamentaire, qui incluent beaucoup de livres qui se trouvent aujourd’hui dans nos Bibles. De plus, nous devons analyser les textes et le contexte des Rouleaux eux-mêmes. Là où ils agréent avec nos Bibles, nous devons en être reconnaissants, mais là où il y a des différences, nous devons les résoudre. Une telle différence est trouvée en 1 Samuel 11:1--3. Le rouleau en question est désigné par 4QSama et fut trouvé dans la grotte n° 4. Ce qui suit représente une omission au début de ce chapitre. Veuillez prendre votre Bible et aller en 1 Samuel 11 ; puis lisez ce qui suit, en italiques, puis continuez de lire votre Bible à partir des versets 1--10 :
«[Na]hash, roi des enfants d’Ammon, opprima cruellement les enfants de Gad et les enfants de Reuben, et il arracha t[ous] leurs yeux droits et frappa de ter[reur et d’effroi] Israël. Il ne resta plus un seul parmi les enfants d’Israël au-d[elà du Jourdain do]nt l’œil droit ne fut pa[s arra]ché par Naha[sh, roi] des enfants d’Ammon ; excepté que sept mille hommes [s’enfuirent de parmi] les enfants d’[A]mmon et entrèrent dans [J]abesh-Gilead. Environ un mois plus tard …».
Maintenant, lisez les versets 1--10 et vérifiez aussi Antiquités de Josèphe en 6:5:1. Pour beaucoup d’entre vous, cette nouvelle évidence éveillera votre intérêt. Avant de vous en rendre compte, vous serez dans une recherche approfondie sur les Rouleaux de la Mer Morte, tandis que d’autres éviteront ce témoignage, craignant que cela pourrait affecter leur équilibre mental. Malheureusement, une vision nouvelle des choses n’est pas pour tout le monde et nous aurons toujours des gens parmi nous qui combattront tout ce qu’ils ne peuvent comprendre, ou qui sont imperméables à de nouvelles découvertes concernant de vieilles données. Beaucoup de ces gens font partie des anti-deux-lignées.
Lorsque de nouvelles évidences apparurent à partir des targoumim araméens, confirmant une omission dans la Genèse 4:1 (similaire à celle de 1 Samuel 11 dans les Rouleaux de la Mer Morte), Ted R. Weiland, un anti-lignées caustique et un antichrist rigide, désigna ces évidences comme étant «sous influence babylonienne». Lorsque cette partie des targoumim est ajoutée à Gen. 4:1, en gras ci-dessous, ce verset devient :
«Et Adam connut Ève sa femme, qui était enceinte de Sammaël [Satan], et elle conçut et enfanta Caïn, et il était comme les êtres célestes et pas comme les êtres terrestres, et elle dit : J’ai acquis un homme de l’ange de l’Éternel».
Les anti-lignées antichrist pointent vers 2 Cor. 11:3, et en prenant ce verset hors-contexte, proclament qu’Ève fut seulement «séduite mentalement». Gen. 3:13 pose la question : «Qu’est-ce que tu as fait?». Si la séduction avait été mentale, la question aurait été : «Qu’est-ce que tu as pensé?». Le mot «fait» dans ce verset est le n° 6213, et dans Strong comme dans Gesenius n’a rien à voir avec une séduction mentale, mais tout à voir avec «produire, ou créer». En fait, Gesenius inclut une définition à connotation sexuelle :
«Piel, travailler, ou presser impudiquement les seins d’une femme, i.q. … Ézéch. 23:3, 8, et dans Kal [Ézéch. 23] verset 21 … Grec poieῐn et Latin facere, perficere, conficere mulierem, comme euphémisme pour relation sexuelle, voir Fesselii Advers. Sacra, lib. ii, cap. 23» [l’emphase est de moi].
Les experts en hébreu sont conscients depuis des années qu’il y a un problème avec Gen. 4:1. The Interpreter’s Bible, un travail collaboratif en douze volumes de 36 «éditeurs consultants» plus 124 autres «contributeurs», fait l’observation suivante concernant ce verset, vol. 1, page 517 :
«Caïn semble avoir été originellement l’ancêtre des Kéniens … La signification du nom est ‘‘ferronnier’’ ou ‘‘forgeron’’ ; ici, cependant, il est représenté comme dérivation du mot signifiant ‘‘acquérir’’, ‘‘obtenir’’ — une des étymologies fréquentes dans la Genèse — d’où les paroles de la mère ‘‘j’ai obtenu un homme’’. ↔ Du Seigneur (KJV) est une traduction, suivant la LXX et la Vulgate, de ᾿eth Yahweh, qui est littéralement ‘‘avec Yahweh’’, et donc inintelligible ici ↔ ([les mots] ‘‘l’aide de’’ [RSV] ne se trouvent pas dans l’hébreu). Il semble probable que ᾿eth devrait être ᾿oth — d’où ‘‘la marque de Yahweh’’ — et que les mots sont un commentaire …» [l’emphase est de moi].
Les Rouleaux de la Mer Morte
sont trouvés à une époque extraordinaire
Le timing de la découverte des Rouleaux de la Mer Morte fut certainement unique et même trop pour être une simple coïncidence. La fenêtre de l’occasion de cette découverte n’a pu s’ouvrir que sous la direction du Tout-Puissant Lui-même. Pour ceux d’entre vous qui peuvent s’en souvenir, la Bible à cette époque était l’objet d’attaques vicieuses, et les rouleaux servirent de rempart contre cet assaut. Mais la signification du timing de leur découverte va même plus loin que cela — beaucoup plus loin. C’était au printemps de l’année 1947, lorsque deux jeunes bergers faisaient paître leurs troupeaux mélangés de moutons et de chèvres au pied de la falaise croulante qui longe le Mer Morte dans les environs de Qumrân. Selon l’histoire, un des animaux s’égara. L’un des garçons, nommé Muhammed ed-Dîd, lança une pierre dans une ouverture circulaire de la falaise et entendit un son bizarre à la place du bruit normal. Quelques jours plus tard, les garçons retournèrent afin d’enquêter sur cet incident inhabituel et trouvèrent certains des rouleaux. Après une série de coïncidences et d’accidents, les rouleaux se retrouvèrent entre les mains du métropolite syrien orthodoxe de Jérusalem, Athanasius Yeshue Samuel. Après une période pendant laquelle on essaya de les faire évaluer et authentifier, ils furent finalement apportés à l’American School of Oriental Research en février 1948, où des érudits compétents, dont l’un d’eux était W. F. Albright, les examinèrent. Le timing fut tel que les rouleaux furent trouvés et évalués peu de temps avant que la contrefaçon appelée «État d’Israël» soit établie, le 14 mai 1948. La question se pose alors naturellement : si les «Juifs» sont le peuple élu de Dieu, comme ils l’affirment faussement, pourquoi le Tout-Puissant ne leur permit-il pas d’être Ses instruments dans la trouvaille des rouleaux? Il est évident, d’après le récit de leur découverte, que le Tout-Puissant leur interdit ce privilège, étant donné qu’ils n’ont pas le moindre droit légitime de proclamer leur origine. Non seulement cela, mais il n’y avait pas un seul «Juif» dans l’équipe originelle qui s’occupa des Rouleaux de la Mer Morte! Cependant, cela changea après la Guerre des Six Jours en 1967, dix-neuf ans plus tard, quand finalement les «Juifs» purent mettre la main dessus (et quand le terme «Juif» est utilisé entre guillemets, il signifie les prosélytes «Juifs» qui n’étaient pas de pure souche judaïte, de la tribu de Juda).
Mais ce n’est qu’un développement tardif du récit. Il nous faut retourner à l’année 1917 pour un élément plus important de l’histoire. Une fois que nous aurons résolu la pertinence de 1917 dans cette chaîne d’évènements, nous verrons clairement comment tout se tient. Nous devons d’abord prendre en considération qu’il fut attribué à toutes les tribus d’Israël une période de punition de «sept temps» ou 2.520 ans. Comme chaque tribu fut emmenée en captivité à une date différente, chaque punition individuelle, pour chaque tribu, finit de manière correspondante après ses 2.520 ans. Jérusalem ne fait pas exception. La date de début de la punition pour Jérusalem fut novembre/décembre 604 av. JC et est appelée «le temps des nations» en Luc 21:24. Si l’on étudie l’histoire de Jérusalem à partir de 604 av. JC, on trouve que Jérusalem fut continuellement sous un pouvoir étranger, jusqu’à 1917 ap. JC, soit un total de 2.520 ans, lorsque la Palestine devint un mandat britannique sous le roi George VI, un descendant authentique de David. 1917 fut l’année où le général Allenby captura la Palestine et entra dans Jérusalem avec des soldats purement Israélites de Grande-Bretagne, d’Australie, de Nouvelle-Zélande, d’Afrique du Sud, plus quelques contingents mineurs de non-Israélites, tels que l’Inde, l’Égypte, Singapour, Hong-Kong et les Indes Occidentales (As Birds Flying, par Andrew Adams, page 42). Le roi George VI vécut jusqu’à 1952, assez longtemps pour produire un décret sur la Palestine qui ne fut jamais annulé par la reine Élizabeth II.
Pour une documentation sur la décision du roi George VI concernant la Palestine, je citerai maintenant le livre Understanding The Dead Scrolls, par Harry Thomas Frank, chapitre 1, page 8 :
«Le Bureau des Affaires Étrangères de Sa Majesté avait décidé, de façon quelque peu irresponsable que, puisque le problème de la Palestine ne pouvait être résolu par la raison, ils se retireraient, laissant les deux adversaires décider de l’issue du conflit par le sang».
Une autre source extraordinaire qui fait coïncider les 2.520 ans avec «le temps des nations», similaire au livre As Birds Flying, est le livre des Témoins de Jéhovah, Babylone la Grande est Tombée!, et ils disent quelque chose de correct aux pages 179--180 (bien que la prudence soit recommandée concernant cette source) :
«Mais dans une année symbolique ou prophétique, le nombre de jours est fixé au nombre fixe de 360 et chaque jour compte donc pour une année entière. ‘‘Un jour pour une année, un jour pour une année’’ — Nombres 14:34 ; Ézéch. 4:6.
Dans le livre prophétique de la Révélation, 1.260 jours sont dits être égaux à ‘‘un temps et des temps et la moitié d’un temps’’, soit trois temps et demi (Rév. 12:6, 14). Si nous divisons 1.260 jours par 3,5, nous obtenons 360 jours pour un ‘‘temps’’.
De même, un ‘‘temps’’ prophétique ou symbolique sera scripturalement égal à 360 ans. Si, maintenant, trois ‘‘temps’’ symboliques et demi donnent 1.260 jours symboliques, c’est-à-dire 1.260 ans, alors deux fois trois et demi (ou sept) ‘‘temps’’ symboliques seront égaux à deux fois 1.260 ans, c’est-à-dire 2.520 ans. Les ‘‘sept temps’’ mentionnés en Daniel 4:16, 23, 25, 32, en connexion avec le rêve de l’arbre, seront donc égaux à 2.520 années littérales … Dans l’accomplissement de la plus grande signification prophétique, les ‘‘sept temps’’ de 2.520 ans doivent être comptés à partir de lorsque Jéhovah Dieu prend la domination mondiale, comme représentée typiquement par Son Royaume sur Terre … En comptant, donc, ces Temps des Gentils, ces ‘‘temps appointés des nations [non-Israélites]’’ … finiront après 2.520 ans … vers … 1914».
Ils se trompent de trois années dans leur arithmétique, mais on peut voir ce qui est entendu par le «temps des Gentils» ; et pour 2.520 ans, la Judée fut gouvernée par des pouvoirs étrangers. Comme nous l’avons déjà noté, quelque chose d’important arriva en 1917, lorsque Jérusalem fut délivrée par les Britanniques après les «sept temps».
Cela nous amène là
où nous sommes aujourd’hui
Certaines personnes sont sous l’illusion que, parce que les Nations-Unies ont reconnu l’établissement de la contrefaçon se faisant appeler «État d’Israël» sous l’injonction de Harry Truman, cela en fait une authentique nation du monde. Rien n’est plus éloigné de la vérité. Légalement, la Palestine fut d’abord sous direction britannique lors du Mandat Britannique et le reste aujourd’hui, selon la loi de Yahweh. Cela signifie que nous avons deux peuples dans cette zone de nos jours : des squatters et des intrus. Le 11 décembre 1917, lorsque le général Allenby entra dans Jérusalem, après que les Turcs eurent évacué la zone et que le maire de Jérusalem présenta une lettre de reddition, ces évènements, légalement et complètement, établirent les choses de façon permanente, jusqu’à aujourd’hui.
Afin de montrer que le gouvernement britannique était légitimement au contrôle, la documentation suivante peut être trouvée dans Behind the Balfour Declaration, par Robert John, pages 32 et 74 :
«Lettre datée du 2 novembre 1917 — la ‘‘Déclaration Balfour’’ — du Secrétaire des Affaires Étrangères, A. J. Balfour, à la présidence de la famille banquière des Rothschild, engageant le support du Gouvernement Britannique à l’idée d’un Foyer National Juif en Palestine».
En plus de cette lettre, un brouillon contenant le même texte, pratiquement mot-à-mot, fut câble par Balfour au «Colonel» House à Washington, le 14 octobre, mais avec le passage supplémentaire montré ici entre crochets :
«… Cher Lord Rothschild, … J’ai le grand plaisir de vous communiquer, au nom du Gouvernement de Sa Majesté, la déclaration suivante de sympathie avec les aspirations sionistes juives, ayant été soumise à, et approuvée par, le Cabinet … Le Gouvernement de Sa Majesté voit avec faveur l’établissement en Palestine d’un foyer national pour le peuple juif [race juive] et fera tout son possible pour faciliter la réussite de cet objectif, étant clairement compris que rien ne sera fait qui pourrait porter préjudice aux droits civils et religieux des communautés non-juives existantes en Palestine ou aux droits et statuts politiques dont jouissent les Juifs dans tout autre pays [par les Juifs qui sont complètement satisfaits par leur nationalité et leur citoyenneté existantes] … Je vous serais gré de bien vouloir porter cette déclaration à la connaissance de la Fédération Sioniste».
Passons en revue les directives présentées par le Gouvernement de Sa Majesté par la lettre et le câble ci-dessus. Les deux furent issues en 1917, l’une le 14 octobre et l’autre le 2 novembre. La première stipulation déclare :
«étant clairement compris que rien ne sera fait qui pourrait porter préjudice aux droits civils et religieux des communautés non-juives existantes en Palestine».
La seconde condition étant :
«les droits et statuts politiques dont jouissent les Juifs dans tout autre pays [par les Juifs qui sont complètement satisfaits par leur nationalité et leur citoyenneté existantes]».
Maintenant, est-ce que ces «Juifs» qui s’établirent finalement en Palestine ont vécu selon ces directives légales? Tout ce que vous avez à faire est de regarder la télévision et vous pouvez observer qu’ils violent ces règlements jour après jour. Après environ trente ans d’un tel comportement provocateur, le gouvernement de Sa Majesté publia une autre directive légale, que j’ai déjà citée et que je vais répéter, tirée du livre Understanding The Dead Scrolls, par Harry Thomas Frank, chapitre 1, page 8 :
«Le Bureau des Affaires Étrangères de Sa Majesté avait décidé, de façon quelque peu irresponsable que, puisque le problème de la Palestine ne pouvait être résolu par la raison, ils se retireraient, laissant les deux adversaires décider de l’issue du conflit par le sang».
Je ne partage pas l’idée que ce fut une décision «irresponsable» de la part du Gouvernement de Sa Majesté, mais je pense plutôt que ce fut une décision très rationnelle! Je le répète, tout ce que vous avez à faire est de regarder la télévision et vous observerez que cette directive est suivie à la lettre jour après jour! À moins que la reine Élizabeth II ne l’annule, elle continuera à être effective jusqu’au retour du Messie lors de Sa Seconde Venue (Matt. 18:18--19). N’espérez pas que les conditions changent en Palestine, même si nous pompons des milliards de dollars dans cette direction ou si nous avons des centaines de conférences de paix. Ce que le roi a décrété est ce qui sera fait, quoi qu’il arrive! «Sang» est ce que le roi a décrété et «sang» est ce que nous continuons d’observer de la part des deux parties!
Un aspect très important que nous devons noter dans les directives royales est qu’il n’a jamais décrété d’état pour la «race juive», seulement un foyer. Donc ces «Juifs» durent poursuivre l’objectif de la nationalité par différentes méthodes. Dans son livre The Zionist Connection, Alfred M. Lilienthal dit en page 75, concernant cette situation :
«Le Royaume Britannique, en tant que Pouvoir Mandataire, refusa absolument de participer à toute mesure applicative pour effectuer la partition. Le consensus général du Conseil de Sécurité indiquait une opposition à l’idée de réaliser la résolution de l’Assemblée Générale du 29 novembre, qui donc en fait gâcha la partition. À moins que les U.S.A. n’entreprissent quelque action pour l’établissement d’une administration pour la gouvernance de la Palestine, le chaos menaçait.
Poussé par des rapports provenant de divers secteurs, Truman, pendant quelques temps, avait entretenu de sérieux doutes en privé, jamais exprimés publiquement, sur la sagacité et la faisabilité de la décision de partition. Dans un rapport abrupt au Conseil de Sécurité, le 16 février 1948, la Commission Palestine des Nations-Unies signala qu’une ‘‘force militaire de puissance adéquate’’ serait requise afin d’être à même d’implémenter la résolution de partition. Les espoirs d’un transfert pacifique de responsabilité du Pouvoir Mandataire britannique aux états arabe et juif avaient disparu lorsque le Haut Comité Arabe, le porte-parole le plus officiel de la communauté arabe palestinienne, indiqua qu’ils avaient l’intention délibérée de ‘‘changer le plan par la force’’. La Commission craignait que le 15 mai, la date prévue pour le transfert, conduirait à une ‘‘période de conflits incontrôlés et étendus ainsi qu’à un bain de sang’’».
À partir de ce qui précède, il devrait être assez évident que le prétendu «transfert de pouvoir» ne fut jamais réalisé légalement, du moins du point de vue du Tout-Puissant. Il s’ensuit que l’autorité du roi britannique est toujours de mise. Vous devriez à présent commencer à comprendre à quel point le timing de la découverte des Rouleaux de la Mer Morte était critique.
Non seulement 1917 était la dernière année des «sept temps», ou 2.520 ans, de la destruction de Jérusalem, mais aussi les 1.335 ans de Daniel 12:12. Comme les Arabes utilisent un calendrier lunaire, ces 1.335 ans représentent les années lunaires de 622 ap. JC à 1917 ap. JC. Une pièce de monnaie égyptienne frappée en 1917 avait pour inscription en chiffres arabes la date de 1335. L’année 622 ap. JC marque l’origine du pouvoir mahométan. L’année 1917 marque la fin du pouvoir mahométan à Jérusalem, ville qui est la cible de la prophétie.
Les Rouleaux de la Mer Morte
témoignent des deux lignées
Afin de comprendre pourquoi ce timing critique est si important, nous devons comprendre dans quelle période de temps nous nous trouvons maintenant. Pour cela, nous irons dans Jér. 16:16, qui déclare :
«Voici, je mande beaucoup de pêcheurs, dit Yahweh, et ils les pêcheront ; et après cela je manderai beaucoup de chasseurs, qui les prendront comme du gibier de dessus toutes les montagnes, et de dessus toutes les collines, et des trous des rochers».
Les «pêcheurs» mentionnés ici ne sont rien d’autre que les Disciples du Messie Lui-même, et ceux qui, par après, apporteront l’Évangile du Rédempteur Parent à travers tous les pays d’Israël. Les «chasseurs» dans ce passage sont les archéologues qui, depuis la fin du 18e siècle, ont mis au jour les preuves révélatrices des migrations de toutes les véritables tribus d’Israël à partir de leur premier foyer, qui est aujourd’hui appelé la Palestine. Puis, aux environs de la Première Guerre Mondiale, certains devinrent graduellement conscients de l’identité de l’ennemi d’Israël. Ce qui nous amène dans une période nécessitant des «Veilleurs». Le travail du veilleur est d’identifier l’ennemi, et c’est exactement ce que fait l’Identité Israélite des Deux Lignées! C’est ici que cela devient vraiment sérieux, car les antichrist anti-deux-lignées interfèrent malicieusement avec les veilleurs de Yahweh dans leurs tournées. Il en résulte que les vrais veilleurs de Yahweh doivent non seulement identifier l’ennemi manifeste d’Israël, mais aussi les galimatias incompétents et incapables proférés par les anti-deux-lignées dissimulés.
Les Rouleaux de la Mer Morte, en allégorie, identifient aussi l’ennemi par «Bélial». De plus, leurs auteurs se réfèrent à eux-mêmes comme les «enfants de la lumière» et font allusion à l’ennemi sous le nom «enfants des ténèbres». L’un des meilleurs éditeurs travaillant sur les rouleaux était Frank Moore Cross Jr., duquel je vais maintenant citer certains passages de son édition mise à jour de 1961, The Ancient Library of Qumran :
Page 77 :
«L’apocalypticisme voit l’histoire du monde à travers deux forces en guerre : Dieu et Satan, l’esprit de vérité et d’erreur, la lumière et les ténèbres. La lutte de Dieu avec l’homme et de l’homme avec le péché, le mal et la mort devient objectivée dans une lutte cosmique».
Pages 92--93 :
«Dans un monde captif des pouvoirs des ténèbres, le salut est le don de Dieu à Son élu, achevé par Sa nouvelle création. Dans la section de la règle de la communauté parlant de la doctrine des Deux Esprits (auxquels les fils de la lumière et des ténèbres sont assignés dès la création), nous trouvons une doctrine de prédestination rigoureuse qui est à la limite du déterminisme. Et de même que la doctrine de la prédestination des Essènes rappelle la doctrine (plus douce) de Paul, une doctrine sectaire de ‘‘justification par la grâce’’ apparaît dans leurs écrits comme un corollaire de la prédestination, esquissant la déclaration paulinienne classique de salut par la foi».
Pages 209--211 :
«La règle essénienne requiert que l’on ‘‘haïsse’’ tous les ‘‘enfants des ténèbres’’, autant que l’on doive ‘‘aimer tous les enfants de la lumière’’ … cependant, comme on l’a souvent remarqué, l’emphase johanienne, contrairement à celle du Nouveau Testament en général, est presque exclusivement en amour avec le ‘‘petit troupeau’’ ; et une note d’hostilité envers le ‘‘monde’’ apparaît occasionnellement qui, bien que moins dure que l’exhortation essénienne à ‘‘haïr’’, est néanmoins réminiscente de celle-ci.
Selon la doctrine essénienne, le monde se trouve enfermé entre deux esprits adverses créés par Dieu depuis le début : l’Esprit de Vérité et l’Esprit de Méchanceté ou de Perversité. L’Esprit de Méchanceté n’est autre que Bélial, le ‘‘Prince des Ténèbres’’, Satan. L’Esprit de Vérité est aussi appelé le saint esprit (pas tout-à-fait identique au Saint-Esprit, quoique souvent difficilement distinguable), le ‘‘Prince de Lumière’’, l’‘‘Ange de Vérité’’. Tous les hommes ont leur ‘‘lot’’ dans un de ces esprits, et donc sont, soit des enfants de lumière, soit des enfants des ténèbres. Ces deux pouvoirs sont enfermés dans une guerre titanique, une lutte qui parvient à son apogée dans les derniers temps (comparer Révélation et le Rouleau de Guerre). La guerre est engagée, non seulement entre les différentes sortes d’esprits et leurs hôtes humains, mais aussi dans le cœur de chaque ‘‘fils de lumière’’. Pour le peuple des rouleaux, la fin de la guerre est en vue. Dieu va bientôt détruire pour toujours le règne de l’Esprit de Perversion et mettre fin à toute obscurité et méchanceté. Dans la littérature johanienne, cependant, bien que la lutte persiste, et qu’un Armaggedon final doive être disputé, …».
Puis, en page 211, Frank Moore Cross Jr. cite un passage d’un rouleau appelé «Règle de la Communauté», 1QS 3:17--23, traduit ainsi :
«[Dieu] créa l’homme pour qu’il règne sur le monde et Il établit deux esprits par lesquels (l’homme) vivra jusqu’aux temps appointés pour Sa Venue (i.e. Jugement Dernier) : ce sont les esprits de Vérité et de Mensonge (ou de Méchanceté). (L’Esprit de) Vérité trouve son origine dans une source de lumière et (l’esprit d’)Erreur trouve son origine dans un puits de ténèbres. Le règne des enfants de justice est dans la main du Prince de Lumière (de telle manière) qu’ils marchent dans les voies de la lumière ; le règne de [tous] les enfants d’erreur est dans la main de l’Ange des Ténèbres (de telle manière) qu’ils marchent dans les voies des ténèbres ; et quand un enfant de justice erre, c’est par l’Ange des Ténèbres … et tous les esprits qui lui sont alloués (essaient de) faire tomber les enfants de la lumière, mais le Dieu d’Israël et Son Ange de Vérité sont une aide pour tous les enfants de la lumière».
Le problème avec les Essènes durant cette période est le fait qu’ils prenaient des prophéties qui devaient être accomplies dans un futur lointain et qu’ils les appliquaient pour eux-mêmes. Cela les amena à quelque peu aller à la dérive et dans l’erreur sur certains sujets, mais selon Guerres des Judéens de Josèphe, en 2:8:2, les Essènes, contrairement aux imposteurs «Juifs», étaient vraissemblablement des membres de pur sang de la maison de Juda. Il est bon de répéter ce passage ici :
«Car il existe trois sectes philosophiques parmi les Judéens. Les fidèles de la première sont les Pharisiens ; les fidèles de la seconde sont les Sadducéens ; et la troisième secte, qui prétend à une discipline plus sévère, sont appelés Esséniens. Ces derniers sont des Judaïtes de naissance et semblent avoir une plus grande affection l’un pour l’autre que ceux des autres sectes».
Deuxième partie
Notre peuple doit commencer à comprendre que nous sommes dans une guerre raciale, et que nous l’avons été depuis plus de 7.000 ans. Cette guerre raciale débuta en Genèse 3:15 et 4:1 et a continué jusqu’à ce jour. Les antichrist anti-deux-lignées proclament faussement que cette guerre raciale est une «guerre de la chair». Oui, nous avons des problèmes avec la «chair», mais cette guerre raciale est un sujet entièrement différent et beaucoup plus sérieux. Cette guerre raciale est une guerre génocidaire destinée à détruire complètement une race entière de gens, à savoir la Race Blanche Anglo-Saxonne. Il suffit de regarder autour de soi pour observer que cette guerre est en cours, juste sous nos yeux et jour après jour. Je recommande chaudement à ces prétendus «pasteurs de l’Identité», qui s’excusent auprès des autres races, de commencer à prêcher la «ségrégation» et la «séparation» d’entre ces races comme la Bible le proclame tellement clairement. Lorsque j’entends ces soi-disant «ministres identitaires» s’excuser devant les autres races, en disant que nous devrions avoir honte d’une telle attitude, je réalise qu’ils sont en réalité en train d’aider la cause ennemie. Ted R. Weiland est l’un d’eux. Je suis absolument convaincu que quand Weiland se tiendra devant le Tout-Puissant au jugement, Yahshua lui demandera : «Pourquoi as-tu apporté de l’aide et du réconfort à Mes ennemis?».
Dans une de ses cassettes audio, intitulée Some Basics, Weiland s’excuse devant les autres races en disant :
«… mais cela ne signifie pas qu’un non-Israélite ne peut pas se joindre à Yahweh et participer — et pourquoi voudrions-nous qu’il ne le fasse pas? Pourquoi ne voudrions-nous pas que les nations autour de nous servent notre Dieu, et soient sous Ses lois? — de façon à ce que nous puissions commercer avec ces nations … pas seulement pour ma race mais pour leur race aussi … J’en suis venu à apprécier les autres races et leurs particularités, plus encore maintenant que je comprends ce message [identitaire] qu’avant que je ne le comprenne. Dieu a créé toute chose pour qu’elle soit bonne … avez-vous déjà noté que les médias disent que nous appelons les autres races ‘‘peuples boueux’’? Je n’ai jamais, de ma vie, entendu cette expression que dans les médias. Pas parmi les gens à qui je prêche … alors pourquoi ne voudrions-nous pas englober les autres dans ce message? … Une chose est certaine, nous devrions avoir absolument honte de nous-mêmes, pour notre réputation dans le passé et pour notre histoire passée en tant que peuple, et pour ce que nous avons gâché du fait de qui nous sommes. Nous devrions avoir honte de nous-mêmes et de nos pères plus que les autres races. Ils se vautrent dans leurs péchés à cause de nos péchés. Reconnaissons-le. Et je le répète, ce ne furent pas les Juifs qui crucifièrent notre Seigneur et Sauveur — ce fut nous-mêmes».
Après cela, Weiland a le culot de demander à Yahweh de bénir son message! Qu’est-il donc advenu du passage :
«C’est pourquoi sortez du milieu d’eux, et soyez séparés, dit Yahweh, et ne touchez pas à [ce qui est] l’impur, et moi je vous recevrai …» (2 Cor. 6:17).
Les autres races sont «impures» pour nous, et Yahweh nous commande une «séparation» totale. Vouloir amener des païens étrangers est équivalent à fouler aux pieds l’Alliance de Yahweh et à Lui cracher à la face. De plus, les autres races n’ont jamais été dans le «péché», puisqu’elles n’ont jamais été sous les Lois de Yahweh. Où Weiland veut-il donc en venir lorsqu’il dit : «Ils se vautrent dans leurs péchés à cause de nos péchés»? Nos péchés n’ont rien à voir avec le comportement des autres races!
Ceci est un exemple de l’une des doctrines personnelles artificielles de Weiland. Il ne les a sûrement pas tirées des Écritures, et on peut noter qu’il ne cite aucun chapitre ou verset. Ce n’est donc pas du Christianisme, c’est du Weilandisme! En réalité, le comportement des païens déteint sur nous, et c’est la meilleure raison pour laquelle nous devons rester séparés d’eux! Où donc dans la Bible sommes-nous commissionnés pour apporter notre Loi aux non-Israélites? Peut-être que Weiland devrait déménager toute son opération du Nébraska vers le Congo.
En essayant de spiritualiser et d’avoir une vision figurative de «l’ivraie» en Matthieu 13, Weiland, dans son Eve, Did She or Didn’t She?, réfutant une déclaration faite par James E. Wise, fait ce commentaire :
«De plus, si l’interprétation des tenants des deux lignées sur le bon grain et l’ivraie est exacte, et si l’ivraie dans Matthieu 13 représente toute la semence de Satan à travers Caïn, alors il n’y a aucune autre alternative que d’accepter que le bon grain représente toute la lignée physique d’Ève à travers Seth. Le bon grain dans cette parabole dépeint les fils du royaume, et par cette interprétation, le bon grain serait automatiquement les fils du royaume par leur héritage, c’est-à-dire qu’ils seraient sauvés par leur race ou lignée. Si cela est vrai, alors la mort de Yahshua, Son enterrement et Sa résurrection étaient tout-à-fait superflus. Bien sûr, cette hypothèse est contraire à l’entièreté de la Bible …».
Afin de montrer combien Ted R. Weiland est inconsistant concernant le problème racial, je vais le citer à partir de sa cassette audio intitulée The Real Significance of Pentecost n°2. Notez comment il se contredit lui-même et décide qu’Israël peut être sauvé par la race, après avoir nié cela dans la citation qui précède :
«… cependant, nous devons bien comprendre, et je pense que probablement nous le comprenons tous, et si nous ne comprenons pas, nous devrions — ce n’était pas automatique. Ce que je veux dire par là est que — à ce point, nous parlons maintenant de la nouvelle Alliance, et nous sommes dans Actes 2, et après qu’Israël fut divorcée, Dieu lui propose une fois de plus le mariage, mais sa venue vers Lui n’est pas automatique. Une fois de plus, ce que je veux dire par là est qu’Israël n’avait plus de privilège génétique automatique. En d’autres termes, il n’y a pas de salut par la race. C’était le cas en une certaine époque. Si [bégaiement] si cela [bégaiement] n’était pas [bégaiement] si ce n’était pas le cas, si nous parlons de salut dans le contexte de Exode 19, 5 et 6? — du mariage et du Royaume, et devenant un peuple, et tout ce qui advint avec ça? Nous parlions de salut dans ce sens, il y avait le salut par la race. C’était automatique dans le sens que c’était tout Israël. Maintenant, elle devait encore dire ‘‘Je le veux’’. Mais c’était [bégaiement] ce n’est plus en tant que nation de personnes pour Israël — même si Dieu fait Sa [bégaiement] Sa proposition, ou présente Sa proposition à tous — ce n’est plus simplement par les dirigeants disant ‘‘Je le veux’’, que cela devient automatique pour Israël en tant que groupe — pas de salut par la race …».
Quand donc le salut de Yahweh par la race a-t-il changé? Contrairement à ce que dit Weiland, il n’y a pas de salut sans la race, puisqu’Il est notre Rédempteur Parent. Comment Weiland peut-il effacer la race de l’équation? Mais pourtant il essaie. Notez comment Weiland dit : «mais sa venue vers Lui n’est pas automatique». Weiland n’a pas encore appris qu’il nous est impossible de «venir à Lui», puisque nous sommes morts dans les transgressions et le péché. C’est pourquoi Il devait venir à nous, et nous n’avons pas le choix en cette matière, comme le dit Hébreux 11:6--10 ; Il peut nous punir jusqu’à ce que nous obéissions. Le choix Lui appartient, pas à nous. Comment Weiland peut-il contourner le fait que c’est le Berger qui ramène toutes Ses brebis (Matthieu 18:11--14) ? Je vous le demande : est-ce la brebis, dans ce cas, qui recherche le Berger? Pourtant Weiland insinue que c’est ce qui doit être. Nous ne devrions jamais oublier que c’est la brebis qui s’est égarée et que c’est le Berger qui la retrouve! Lisons donc Matthieu 18:11--14 et examinons qui retrouve qui :
«11Car le fils de l’homme est venu pour sauver ce qui était perdu. 12Que vous en semble? Si un homme a cent brebis, et que l’une d’elle se soit égarée, ne laisse-t-il pas les quatre-vingt-dix-neuf sur les montagnes, pour s’en aller chercher celle qui s’est égarée? 13Et s’il arrive qu’il la trouve, — en vérité, je vous dis qu’il a plus de joie de celle-là que des quatre-vingt-dix-neuf qui ne se sont pas égarées. 14Ainsi ce n’est pas la volonté de votre Père qui est dans les cieux, qu’un seul de ses petits périsse».
Qui était perdue sinon Israël? Comment Weiland ose-t-il inviter les païens «impurs» parmi nous ?! Comment ose-t-il dire que nous devrions être honteux de la race de nos ancêtres ?! Comment ose-t-il élever les païens tandis qu’il rabaisse nos parents dans la même phrase ?! Comment Weiland peut-il proclamer faussement que nous, les Israélites, étions responsables de la crucifixion de notre Rédempteur ?! Comment Weiland ose-t-il, comme le pape, pardonner les «Juifs» d’aujourd’hui pour Sa crucifixion ?! C’étaient les imposteurs «Juifs» qui déclarèrent : «… que son sang soit sur nous et sur nos enfants!» (Matthieu 27:25). Weiland ne comprend toujours pas que Genèse 3:15 proclame que la «semence du serpent», pas «nous», brisera le talon de la «semence de la femme». Veuillez noter comment Weiland met tout à l’envers. La chose suivante que Weiland nous dit est que «la semence du serpent» va briser «la tête de la semence de la femme», et que cela fera de Satan le vainqueur. J’espère que vous devenez conscient du danger que représente cet homme dans l’Identité Israélite!
Vous vous demandez certainement ce que tout cela a à voir avec les Rouleaux de la Mer Morte et l’enseignement des deux lignées qui y est contenu. Je vais vous démontrer le rôle que la «haine» de Genèse 3:15 a joué dans leur découverte et leur traduction. Je vais utiliser le livre Understanding The Dead Sea Scrolls, édité par Hershel Shanks. Même si ce livre a été édité par un «Juif», je le recommande quand même pour avoir une vue générale concernant les découvertes et traductions des rouleaux. Shanks est seulement l’éditeur en chef des écrits de plusieurs auteurs. En plus de Hershel Shanks, les autres auteurs qui ont contribué étaient Harry Thomas Frank, Frank Moore Cross, Lawrence H. Shiffman, James C. VanderKam, Raphael Levy, Yigael Yadin, Magen Broshi, Hartmut Stegemann, Ronald S. Hendel, Otto Betz, P. Kyle McCarter et Avi Katzman. Vous avez évidemment noté plusieurs noms «juifs» parmi ces auteurs. Nous allons commencer par la fin du livre, les chapitres 20 et 21 de ses 22 chapitres. Ces chapitres sont intitulés «Entrevue Avec l’Éditeur en Chef John Strugnell» par Avi Katzman, et «Silence, Anti-Sémitisme et les Rouleaux» par Hershel Shanks. Katzman et Shanks sont tous deux «Juifs». Ce qui suit sera une revue critique de ces deux chapitres, et l’objet est de montrer la «haine» des deux semences de Genèse 3:15 en action.
Le chapitre 20 montre le motif de la rétrogradation et du renvoi final du directeur d’édition originel des Rouleaux de la Mer Morte, John Strugnell. Tout a commencé lorsque Avi Katzman eut une entrevue avec Strugnell pour le journal Ha-Arets de Tel-Aviv, le 28 octobre 1990, et cela fut dès lors connu sous le nom de «Scandale des Rouleaux de la Mer Morte». Katzman déclare que Strugnell fut le premier à amener le sujet de l’anti-sémitisme. Vous pourrez décider par vous-même ce qu’il en est, quand on sait que Katzman avait demandé à Strugnell s’il était anti-Israël. Question à laquelle Strugnell répondit : «C’est plutôt une façon sournoise d’en venir à la question de l’anti-sémitisme, non?». Continuant, donc, Katzman demanda à Strugnell s’il était anti-sémite. Strugnell rétorqua :
«Je ne désire pas utiliser l’expression anti-sémitisme. Je crois que c’est un terme vague et perverti qui fut introduit en Allemagne, un pays de philosophes brouillons. C’est un mot-code pour «Êtes-vous contre les Juifs? Êtes-vous contre les Israéliens? Êtes-vous contre l’État d’Israël? Êtes-vous contre le sionisme? [Cela n’a] rien à voir avec le fait d’être contre les Sémites. Je ne suis pas un anti-sémite. J’ai passé toute ma vie à étudier divers Sémites, de Badgad à l’Éthiopie. Je ne connais personne au monde qui soit anti-sémite».
Katzman déclare alors que Strugnell lui a confié qu’il était un «anti-judaïque». Katzman continue de citer Strugnell :
«Le Judaïsme … est originellement raciste … c’est une religion populaire ; ce n’est pas une religion élevée. Un anti-judaïque, voilà ce que je suis. Voilà, je plaide coupable. Je plaide coupable de la même façon que l’Église a plaidé coupable tout le temps, car nous ne sommes pas coupables ; nous avons raison. Le Christianisme se présente comme une religion remplaçant la religion juive. La réponse correcte des Juifs au Christianisme est de devenir Chrétien. Je suis d’accord qu’il y a eu des monstruosités dans le passé — l’Inquisition, des choses comme ça. Nous devrions certainement nous comporter comme des gentlemen chrétiens. Mais le jugement de base sur la religion juive est, pour moi, un jugement négatif».
Ensuite, Katzman prétend que Strugnell a nié que ses sentiments envers «le Judaïsme» affectait son travail [sur les rouleaux]. Selon Katzman, Strugnell aurait dit :
«À moins que quelqu’un me parle du sujet [du Judaïsme], lorsque je travaille sur un texte de Qumran, je ne suis pas en train de penser combien les Juifs étaient stupides et avaient tort. Je suis concerné uniquement par essayer de comprendre ce qu’un document dit dans un contexte particulier».
Katzman, supposément, aurait alors demandé à Strugnell ce qui pouvait bien «l’ennuyer» dans le Judaïsme. Supposément toujours, Strugnell aurait répondu :
«Le fait qu’il a survécu alors qu’il aurait du disparaître. Le Christianisme utilise maintenant un langage beaucoup plus irénique [conciliant] pour ça. Ce sont des mots bruts ; j’utilise un langage dur. Pour moi, la réponse [à la question juive] est la conversion en masse».
Katzman, pressant Strugnell d’en dire plus, celui-ci aurait donc poursuivi :
«C’est la subsistance du groupe, des Juifs, de la religion juive. C’est une religion horrible. C’est une hérésie chrétienne, et nous nous occupons des hérétiques de façon différente. Vous êtes un phénomène que nous n’avons pas essayé de convertir — et nous aurions du essayer … Je crois que la réponse à l’Islam, au Bouddhisme et à toutes les autres religions, est de devenir Chrétien. Le Judaïsme me perturbe dans un sens différent, parce que, quand les autres deviennent Chrétiens quand on travaille vraiment sur eux, les Juifs restent dans une position anti-Chrétienne».
Puis Strugnell se serait supposément exprimé sur l’État d’Israël en indiquant à Katzman, par un long discours, que son premier amour avait été pour la Jordanie, et il aurait continué :
«C’est là-bas que les rouleaux furent trouvés ; le gouvernement jordanien a réuni les rouleaux. Je travaillais pour les Jordaniens et j’ai appris à les connaître et à les aimer. Je n’aime pas Israël en tant qu’occupant d’une partie de la Jordanie. Et il est parfaitement clair que c’était une partie de la Jordanie».
Katzman proclame que Strugnell aurait indiqué que certains de ses amis étaient des Israéliens, puis il continue de citer Strugnell :
«Vous savez ce que disent les anti-sémites : ‘‘certains de mes amis sont Juifs’’. Eh bien, certains de mes amis sont Israéliens. Mais l’occupation de Jérusalem — et peut-être tout l’État — est fondé sur un mensonge, ou au moins sur une prémisse qui ne peut pas être soutenue. Je le dis aussi crûment que je le peux. L’occupation de Jérusalem ne peut pas être soutenue … Regardez juste les Croisés … Nous n’avons pas pu les maintenir. Nous — les Anglais et les Français — n’avons pu maintenir les Croisés alors même que nous disposions d’une immense supériorité militaire au début et que nous avons fait de grandes choses dans ce pays. L’une des grandes périodes de construction furent les Croisades ; mais, fondamentalement, ce n’était pas viable. Voilà ce que je pense d’Israël».
Katzman déclare que Strugnell, supposément, n’aurait pas suggéré de démanteler «l’état juif», en disant :
«La question de savoir si je suis contre l’État d’Israël est une question politique, exactement comme de savoir si je suis contre le Koweit ou contre l’Irak. Je pense avoir répondu à ça».
Katzman, poussant Strugnell, prétend que celui-ci trouve la position d’Israël intenable et recommande le démantèlement de l’état juif par ces paroles :
«— En ce moment je trouve votre position intenable, mais je ne pense pas que le maintien d’un état israélien ou d’un état sioniste est impossible. Dans le futur, ça demandera certaines négociations, mais je ne vois aucune raison pour…
— Mais vous n’êtes pas en sa faveur?
— Eh bien, c’est un fait. Vous avez quatre millions de personnes ici, même si les sionistes se sont établis sur un mensonge. Mais ils sont ici maintenant ; vous n’allez pas déplacer une population de quatre millions. Même les Nazis n’ont pas essayé ça … Je désapprouve l’État d’Israël présent mais je ne suis pas opposé à un ‘‘foyer national juif’’, dans le langage ancien [de la Déclaration Balfour], qui pourrait être un état, ou qui pourrait être un canton, ou une fédération … Suis-je opposé au sionisme? Je pense que nous en avons assez du sionisme, mais on ne peux pas prétendre qu’il n’est pas là. Ç’aurait été bien s’il n’avait pas existé, mais il existe, et donc il est comme qui dirait couvert par une sorte de clause de grand-papa».
Vous pouvez voir que Strugnell tombe droit dans le piège de serpent tendu par Katzman. Si Strugnell avait compris qu’il se trouvait en face d’un des enfants de Satan lui-même, il ne lui aurait pas consacré tout ce temps, mais Katzman l’a poussé à continuer. En cet endroit, Katzman assure que Strugnell aurait déclaré que quatre autres rouleaux qui avaient été trouvés auraient disparu : «J’ai vu, de mes propres yeux, deux d’entre eux». Puis Katzman prétend que Strugnell déclare que l’un des deux était un livre complet d’Énoch et que l’archéologue israélien Yigael Yadin est la raison pour laquelle ces rouleaux ne sont jamais arrivés entre les mains des experts. Selon le récit de Katzman concernant Strugnell, après la Guerre des Six Jours, l’archéologue Yadin a confisqué le fameux Rouleau du Temple à un trafiquant d’antiquités de Bethléem connu sous le nom de Kando, lui payant 250.000 $. Mais selon Yadin, la somme était de 105.000 $. Strugnell aurait déclaré :
«Yadin a donné à Kando 250.000 $ alors que nous lui avions offert 1.000.000 $ cinq semaines auparavant. Lorsque les possesseurs du manuscrit ont entendu ça, ils ont juste traversé le Jourdain».
Puis Strugnell est supposé avoir indiqué que le Rouleau du Temple venait de la grotte 11 à Qumran.
«[Les manuscrits sont maintenant] Quelque part en Jordanie. Diverses personnes sont en leur possession. Plusieurs d’entre ces rouleaux ont été vendus à de gros banquiers. Ce sont des investissements pour ces gens-là …».
Une autre remarque intéressante que Strugnell est supposé avoir faite dans cette entrevue avec Katzman, montrant qu’il ne s’en faisait pas trop pour la bonne conservation des rouleaux, est la suivante :
«Ils [les rouleaux] sont conservés très précieusement ; personne ne doit se tracasser pour eux. Ils représentent un meilleur investissement que quoi que ce soit dans les échanges boursiers d’Israël ou de New York».
On accuse aussi Strugnell d’avoir blâmé le Département d’Antiquités Israélien de la perte de millions de dollars de fonds de recherche dans le délai de sa propre confirmation en tant qu’éditeur en chef pour les rouleaux, après la mort du Père Pierre Beniot en 1987, quand il est sensé avoir déclaré :
«Le Département d’Antiquités Israélien a perdu tellement de temps là-dessus [la confirmation de Strugnell comme éditeur en chef] que nous avons perdu une grosse somme d’argent. Les gens qui étaient désireux de donner de l’argent voulaient être sûrs que j’étais en place, et nous avons donc perdu des dons très précieux pour quelques 250.000 $».
Ensuite de quoi, Katzman aurait été en mesure de tirer de Strugnell quelque blague «raciale», et Strugnell aurait dit :
«Les stéréotypes raciaux sont une des plus grandes caractéristiques de notre humour — où serions-nous sans les blagues sur les Arméniens, sur les Juifs? On pourrait en conclure que je déteste une entière classe de gens, mais ce n’est pas vrai».
Si Strugnell avait pu prévoir que, dans le futur, les «Juifs» seraient les principaux propagateurs du «politiquement correct», il aurait évité ce piège. Il paiera le prix pour cela plus tard. Puis Katzman atteste que Strugnell aurait clamé que beaucoup de «Juifs» avaient eu le privilège de voir les Rouleaux de la Mer Morte tandis qu’ils se trouvaient encore dans les mains des Jordaniens. Supposément, Strugnell aurait déclaré ceci :
«Bien que les touristes doivent montrer un certificat de baptême [pour entrer en Jordanie], j’ai vu plein de gens ressemblant à des Juifs venir dans le musée [à Amman] avec [ces certificats]».
Nous pouvons être tout-à-fait sûrs que tout cela fut immédiatement rapporté aux «quartiers généraux juifs» par Katzman. C’est leur nature génétique satanique de mettre toujours leur nez dans les affaires des autres, et ils ne ratent jamais rien. Ils calculent toujours leurs stratagèmes pour tromper, exactement comme Satan trompa Ève pour lui faire perdre sa virginité et pour concevoir Caïn. Si vous ne croyez pas que Satan est capable d’une telle chose, observez toutes les Èves abandonnant leur virginité avec une autre race aujourd’hui, et c’est justement le stratagème mauvais principal des «Juifs» sataniques, et il existe des gens comme Ted R. Weiland et compagnie pour proclamer que les «Juifs» ne sont pas un peuple satanique génétiquement, mais qu’au contraire tout ce qui constitue le mal est la «chair». En faisant cela, Weiland et compagnie apportent leur assistance aux «Juifs» dans leur agenda destructeur. Weiland parle comme un homme qui a suivi l’un de ces «cours de sensibilité raciale» enseigné par les «Juifs».
Comme la place commence à me manquer, je parlerai du chapitre 21 de Understanding The Dead Scrolls dans un autre article. Quand je préparais cet article, quelque chose me frappa, et j’utiliserai le restant de ce papier à cette étincelle d’intuition. J’ai noté que lorsque des orateurs pervertissent un sujet, quelquefois ils se mettent à bégayer, comme le fait Weiland dans la citation précédente, quand il vantait les autres races. Exactement la même chose arriva lorsque Charles Weisman mentit sur la doctrine des deux lignées. Pour ceux qui ne le savent pas, Weisman est un antichrist irréductible, anti-deux-lignées. Ce qui suit est le bégaiement dont il fut l’objet dans une présentation intitulée Satanic Seedline, présentation faite sous l’injonction de Pete Peters dans une tentative de discréditer cette importante doctrine :
«… et donc Sa lignée est métic [bégaiement] méticuleusement précisée dans les Évangiles … donc la malédiction d’in [bégaiement] inimitié qui est sur le serpent et ses trai [bégaiement] traits sataniques furent portés par Caïn ses [bégaiement] et ses descendants. Mais bb [bégaiement] beaucoup de gens croient … dans ce chapitre d’Ézéchiel n’est sûrement pp [bégaiement] pas … ni tu ne le tt [bégaiement] toucheras … le problème avec ne pas [bégaiement] avec toucher [bégaiement] toucher l’arbre … Maintenant, il est intéressant que certains soutenant cette doctrine ont fait uun [bégaiement] grand [bégaiement] ont fait grand cas … ça dit hrt [bégaiement] il brr [bégaiement] le Roi Jacques dit il brisera ta tête … concernant Christ, un, Son incarnation qu’Il devra être la sse [bégaiement] semence de la femme … ou par Sa mort. Il a eu la victoire sur ch [bégaiement] sur une structure de pouvoir politique … comme le mot sa [bégaiement] serpent … ces gens ma [bégaiement] maudits ont une haine naturelle … et ils disent aussi que Caïn n’est pas listé gnn [bégaiement] généalogiquement … maintenant il y a aut [bégaiement] une autre déclaration ici … maintenant aussi en Jean 6, Christ prr [bégaiement] parle du souffle de Dieu … maintenant certains opposants à la doctrine de la Lignée Satanique disent que le diable [bégaiement] ça veut dire que le diable est leur père spirituel. Eh bien ce n’est pas vrai. C’est jes [bégaiement] nn [bégaiement] ce que il dn [bégaiement] ce que Christ faisait justement quand il dit ‘‘vous êtes le père le diable’’, il impliquait … et la même chose quand Christ utilisait le terme serpent, les appelait des serpents, er [bégaiement] gnn [bégaiement] génération de vipères … et dd [bégaiement] qu’il est un menteur et cetera. Et ils [bégaiement] gens diront … maintenant 1 Jean 3:12 est aussi cité qui nous exhorte de ne pas être comme Caïn qui était de cet [bégaiement] ce méchant. Ici, encore, nous jus [bégaiement] c’est juste la même chose ‘‘vous êtes de votre père le diable’’, c’est juste employer une métaphore. Et le verset 10 compare les enfants de Dieu avec les enfants dv [bégaiement] le diable … ils sont juste des types de [bégaiement] mt [bégaiement] utilise des phrases métaphoriques … Ils seront donc jugés. Touti [bégaiement] touti [bégaiement] tout le sang versé, le sang in [bégaiement] innocent deviendra sur ce peuple … ee [bégaiement] et dès lors, si vous dite un mensonge à quelqu’un … aa [bégaiement] en conclusion …».
C’est ma théorie personnelle que tout ce bégaiement est causé par «l’Esprit de Vérité» et «l’Esprit d’Erreur» qui sont en guerre à l’intérieur de l’esprit d’une personne. D’après ce que j’ai présenté ici, vous pouvez voir que Ted R. Weiland comme Charles Weisman présentaient ce symptôme. Souvenons-nous des Écritures qui disent : «un homme incertain dans ses pensées, inconstant dans toutes ses voies» (Jacques 1:8). Matthieu 6:22 et Luc 11:34 demandent aussi que «que ton œil soit simple», et cela parle de l’œil de l’esprit, pas de l’œil physique. Romains 12:2 parle d’un «renouvellement» de notre «esprit», ce qui, pour beaucoup, n’est jamais arrivé!
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