Le Juif Talmudique Identifié

par V.S. Herrell

Le Talmud juif est la base du Judaïsme moderne. Il n’a absolument rien à voir avec l’Israël ancien ou avec l’hébraïsme du peuple adamique, du peuple d’Israël, mais en réalité le Talmud a trouvé sa forme finale longtemps après l’époque de Jésus-Christ. Le Talmud est le texte des usurpateurs hybrides, de ceux qui prétendent être des fils d’Abraham et qui ne le sont pas. Le Talmud a été compilé originellement par les Édomites et les Cananéens dont notre Roi a parlé en Jean 8. Ces usurpateurs hybrides proclamaient qu’ils étaient de la semence d’Abraham (v. 33) et prétendaient qu’Abraham était leur père (v. 39), mais Jésus leur dit (39--47) :

Si vous étiez enfants d’Abraham, vous feriez les œuvres d’Abraham ; mais maintenant vous cherchez à me faire mourir … Si Dieu était votre père, vous m’aimeriez … Pourquoi n’entendez-vous pas mon langage? Parce que vous ne pouvez pas ouïr ma parole. Vous, vous avez pour père le diable, et vous voulez faire les convoitises de votre père. Lui a été un meurtrier dès le commencement, et il n’a pas persévéré dans la vérité, car il n’y a pas de vérité en lui. Quand il profère le mensonge, il parle de son propre fonds, car il est menteur, et le père du mensonge … Celui qui est de Dieu entend les paroles de Dieu ; c’est pourquoi vous, vous n’entendez pas, parce que vous n’êtes pas de Dieu.

C’est l’un des plus importants passages de toute la Bible. Jésus parle ici aux Juifs Édomites qui prétendaient être des Israélites, qui proclamaient être des descendants d’Abraham, comme le font les Juifs bâtards d’aujourd’hui. Cependant, Jésus leur dit plusieurs choses spécifiques qui n’étaient pas à leur avantage, mais pour le bénéfice des vrais Israélites, les Chrétiens Adamiques.

Quiconque proclamant être un descendant d’Abraham, comme le font les Juifs modernes, mais ne fait pas le œuvres d’Abraham, n’est pas un descendant d’Abraham, et est donc un usurpateur hybride. Si quelqu’un n’aime pas Jésus, il ou elle n’est pas de Dieu. Et de fait, nous lisons en 1 Jean 4:6 et 1 Jean 2:22--23 :

«Nous, nous sommes de Dieu ; celui qui connaît Dieu nous écoute ; celui qui n’est pas de Dieu ne nous écoute pas».
«Qui est le menteur, sinon celui qui nie que Jésus est le Christ? Celui-là est l’antichrist, qui nie le Père et le Fils. Quiconque nie le fils n’a pas non plus le Père ; celui qui agrée avec le Fils a aussi le Père».

Les verset ci-dessus signifient que tout Juif auto-proclamé d’aujourd’hui, et quiconque niant Jésus-Christ, est un anti-Oint ou antichrist et un menteur. Jésus dit de façon répétée aux bâtards Édomites qu’ils ne sont pas de Dieu, et Il dit que c’est pour cette raison qu’ils ne L’entendent pas, mais Il dit aussi plus spécifiquement à ces usurpateurs hybrides qu’ils n’ont pas la capacité de comprendre Sa parole. Déclarer qu’ils ne sont pas de Dieu signifie qu’ils ne sont pas des créatures de Dieu ; le statut racial d’hybride n’existait pas au moment de la création et ne faisait pas partie des choses que Dieu déclara bonnes, juste avant qu’Il institue le principe d’espèces séparées dans la Genèse.

Le créateur, ou père, de ces Édomites était bien plutôt le diable, ou le diabolique, ce qui signifie que le diable est le créateur de l’hybridation, pas Dieu. Lorsque le Christ dit que le diable était un meurtrier dès le commencement, Il ne parle pas spécifiquement de Caïn. Il dit que le diable était un mélangeur de race ou un meurtrier de race (coupable de génocide) dès le commencement. Il est très important de comprendre que ces gens à qui Jésus-Christ parlait, dont nous savons d’après le contexte qu’ils étaient des hybrides édomites, n’étaient pas à même de comprendre Sa parole. Rien de ce qu’ils pourraient faire ne les rendra capables d’entendre Sa parole, parce qu’ils sont des non-créatures. Ce verset nous dit qu’il y a ceux qui peuvent entendre et ceux qui ne le peuvent pas. Le mensonge et blasphème de la prédestination ne s’applique pas ici non plus, car Pierre a déclaré :

«… [Jésus] ne voulant pas qu’aucun périsse, mais que tous viennent à la repentance».

Mais ce verset est limité aux êtres créés, Adamiques, et pas aux non-créatures, les fils de Satan ou d’animaux. 1 Pierre 2:9 nous dit :

«Mais vous, vous êtes une race élue, une sacrificature royale, une nation sainte, un peuple acquis, …».

Il existe donc bien une race choisie, mais ce ne sont pas ces Juifs Édomites qui proclamaient qu’ils étaient des descendants d’Abraham, ni ces Juifs bâtards, Khazars, Babyloniens des temps modernes. En fait, ces usurpateurs sont les usurpateurs décrits dans la Révélation 2:9 :

«… ceux qui se disent être Judéens ; et ils ne le sont pas, mais ils sont la synagogue de Satan».

C’étaient ces Édomites, Juifs bâtards — pas le vrai Israël de Dieu — qui sont cités dans Matthieu 27:25 :

«Que son sang soit sur nous et sur nos enfants!».

C’étaient ces hybrides usurpateurs Juifs qui assassinèrent Jésus-Christ. Comme le dit Jean Chrysostome, un saint des églises orthodoxe et catholique :

«La synagogue est pire qu’un bordel … c’est le repère des crapules et un nid de bêtes sauvages … le temple de démons voués à des cultes idolâtres … la caverne des diables … une assemblée criminelle de Juifs … un endroit de rencontre pour les assassins du Christ … le refuge des diables».

Après septembre 70, lorsque plus de 1.200.000 Juifs furent tués à Jérusalem par l’armée romaine, comme l’avait prophétisé Jésus, ces Juifs qui restaient commencèrent à focaliser leurs attaques contre la Chrétienté, et en même temps entreprirent de corrompre l’Ancien Testament hébreu et de compiler les discours et traditions de leurs rabbins. La destruction du temple était le résultat du jugement de Dieu Tout-Puissant afin d’amener ce monde, ou âge, à sa fin. Pour ces talmudistes, cela n’avait pas d’importance que le système mosaïque ne pouvait pas exister légitimement sans un temple et un système sacrificatoire incluant des prêtres de la lignée requise, c’est-à-dire de la lignée d’Aaron (qui n’existaient plus), pour officier. Les textes masorétiques et le Talmud juifs commencèrent donc par une fausse ordonnance de scribes pharisiens juifs.

Dans les faits, le Judaïsme, tel que nous le connaissons, n’existait pas avant la destruction complète du système israélite judéen, qui était sous la Loi Mosaïque. La juiverie moderne n’a jamais été sous la Loi Mosaïque et le Judaïsme a toujours été une imposture et une religion illégale depuis ses débuts. Souvent, des prétendus théologiens et hommes d’église, volontairement ignorants de l’Histoire vraie, blasphèment et accusent Jésus-Christ d’avoir été un Juif. Mais Jésus-Christ, l’unique Dieu Vivant, n’a jamais souscrit aux enseignements du Talmud. Il ne fut dès lors jamais un Juif par religion ni un Juif politiquement parlant, visant à dominer le monde par la philosophie du Talmudisme babylonien, c’est-à-dire souscrivant à la mégalomanie du Sionisme international. Il n’était pas non plus un Juif bâtard par la race. La Bible enseigne très clairement qu’Il était un rejeton et «la racine et de la race de David» (Rév. 22:16). Il était donc de la même race et de la généalogie du grand roi David d’Israël, que la Bible décrit comme étant un Homme Blanc.

«Et il envoya et le fit venir. Or il avait le teint rosé, avec de beaux yeux, et était beau de visage. Et l’Éternel dit : Lève-toi, oins-le ; car c’est celui-là» (1 Samuel 16:12, cf. 1 Samuel 17:42).

L’historien Josèphe décrit David comme possédant une peau dorée et blonde (Antiquités 6:164). En fait, Jésus-Christ n’aurait pas pu être le Christ s’Il avait été un hybride ou un mamzir (bâtard) de sang. Car aucun mamzir ou bâtard ne pourra jamais entrer dans la congrégation de l’assemblée éternelle de Dieu Tout-Puissant (Deut. 23:2).

Pour ces raisons, la religion talmudique juive est évidemment une religion illégale. De plus, ceci est déclaré par Jésus-Christ Lui-même dans le Nouveau Testament. Il nous dit :

«En vérité, en vérité, je vous dis : Celui qui n’entre pas par la porte dans la bergerie des brebis, mais qui y monte par un autre chemin, celui-là est un voleur et un larron …Mais moi, je suis la porte» (Jean 10:1, 9).
«Jésus lui dit : Moi, je suis le chemin, et la vérité, et la vie ; nul ne vient au Père que par moi. Si vous m’aviez connu, vous auriez connu aussi mon Père … Celui qui m’a vu, a vu le Père» (Jean 14:6--7, 9).
«Et il n’y a de salut en aucun autre ; car aussi il n’y a point d’autre autorité sous le ciel, qui soit donné parmi les hommes, par lequel nous devons être sauvés» (Actes 4:12).
«C’est pourquoi aussi Dieu l’a élevé haut et lui a donné une autorité qui est au-dessus de toute autorité» (Philip. 2:9).

Le Christ dit donc que ceux qui essayent d’entrer aux Cieux par tout autre chemin que par Jésus-Christ sont des voleurs et des larrons. Vous pouvez croire le Christ ou non. Si une personne contredit Jésus, il n’est pas un Chrétien. Les Juifs, du point de vue de Dieu et d’un vrai Chrétien, n’ont pas le droit d’exister en tant que religion — ils sont illégaux. Ils n’ont pas Dieu car ils n’ont pas l’Oint. Ils ne sont donc que des faux, des imposteurs, et il est interdit aux Chrétiens de tolérer leurs activités antichrist. Silly Graham [A]  [A] Billy Graham, un évangéliste américain amoureux des Juifs et surtout de leur argent (NDT). n’a aucunement le droit de refuser de prier au nom de Jésus sous le prétexte qu’une bande de Juifs maudits de Dieu sont présents au banquet.

Nous avons documenté autre part la corruption des textes masorétiques et comment les Juifs ont utilisé ces documents dans le but de corrompre le vrai Christianisme pour en faire le «Judéo-Christianisme» moderne. Nous allons citer ici les Juifs dans leurs propres paroles ; nous allons lire quelques passages du Talmud juif, un livre qui est lu chaque samedi dans les synagogues à travers le monde pour enseigner aux enfants Juifs et à leurs prosélytes de ne pas aimer les Chrétiens, mais de les haïr et de renverser le Christianisme en chaque occasion (nous devons admettre qu’ils ont été très efficaces dans la destruction de l’Amérique, qui était à une certaine époque une nation chrétienne, au moins nominalement, et pour la transformer en une fosse d’aisance).

Le Talmud enseigne la supériorité raciale des hybrides sur les Hommes Blancs. Avant de commencer, nous devons d’abord comprendre par quels termes Jésus et les Chrétiens sont appelés dans le Talmud. Jésus est fréquemment désigné de façon vague comme «le fils d’un menuisier» (ben charsch etaim) ou «celui qui fut pendu» (talui). Lorsqu’Il est appelé par un nom, les Juifs — qui haïssent le nom de Jésus — l’appellent Yeschua ou Yeshua, le même nom dont les prétendus «Juifs pour Jésus» utilisent dans le moderne état du faux-Israël et dans une grande partie des États-Unis ainsi que dans le reste du monde, en vue de corrompre encore plus et de détruire la Chrétienté. Les mêmes Juifs qui ont compilé le Talmud ont aussi inventé et placé des points représentant des voyelles dans les textes masorétiques, et changé le nom du prophète hébreu Jésus en Joshua ou Yeshua, parce que les Juifs haïssent le nom Jésus. La Septuagint grecque nous dit clairement que les traducteurs des Écritures Hébreues en grec, au troisième siècle avant notre ère, comprenaient que le nom du prophète, le fils de Nun, était Jésus, pas Joshua ou Yeshua [B]  [B] voir «Yahshua to Jesus: evolution of a name», par William Finck, pour une mise au point sur ce sujet (NDT)..

Les Juifs qui ont créé les textes masorétiques les ont modifiés parce qu’ils haïssent le nom de Jésus, de façon à pouvoir arguer que le nom réel de Jésus était Joshua ou Yeshua. Pourquoi ces meurtriers du Christ ont-ils choisi le nom de Yeshua pour se référer au Christ? Les lettres de l’hébreu Ieschya correspondent aux premières lettres de la phrase Immach Schemo Yezikro, ce qui signifie «Que son nom et sa mémoire soient effacés». Ces Juifs antichrist avaient probablement emprunté cette idée de la coutume des premiers Chrétiens qui utilisaient le symbole du poisson dans les catacombes. En grec, le mot poisson est ichthys, qui correspond aux premières lettres de la phrase Iesous Christos, Theou Huios, Soter ou Jésus l’Oint, Fils de Dieu, Sauveur.

Les blasphémateurs meurtriers du christ, les ennemis de tout ce qui est sacré et saint (et plus spécialement de la semence sainte de la vraie race choisie), qui haïssent le nom de Jésus, ont donc créée le nom Yeshua pour se moquer de l’usage chrétien du mot poisson. Aujourd’hui, beaucoup de prétendus Chrétiens ont gobé ce nom juif pour désigner Jésus, hameçon, ligne et plomb, et de cette manière les Juifs ont réussi à faire en sorte que les prétendus Chrétiens n’utilisent pas le nom qu’ils haïssent tant, tandis qu’ils les éblouissent avec leurs sophismes [C]  [C] Le raisonnement de l’auteur est assez bizarre, car en réalité, et historiquement, c’est le nom Jésus qui a été utilisé, et l’est encore aujourd’hui, par l’église païenne catholique, et cela depuis de nombreux siècles! Parlez de Yahshua à un «Judéo-Chrétien» et il ne comprendra pas de qui vous parlez. Mais il est possible que les Américains, n’ayant pas une longue histoire en commun avec l’église catholique, ne ressentent pas les choses de la même manière. De plus, le nom de la manifestation humaine de Yahweh importe peu en lui-même, ce sont plutôt les imprégnations mentales associées à ce nom qui sont dangereuses, comme par exemple quand Jésus est associé à un faux dieu universaliste, «aimant tout le monde», et particulièrement les Édomites et tous les non-Blancs, et est totalement dissocié du vrai et unique peuple d’Israël, les Blancs! Rappelons que Yahshua signifie «Yahweh Sauve» en hébreu (NDT).. La triste vérité est que la plupart des Chrétiens nominaux ne lisent pas leur Bible, et la plupart de ceux qui la lisent ne la croient pas et n’obéissent pas à ce qu’elle leur enseigne.

Comme nous l’avons dit, en Jean chapitre 8, Jésus déclare que les Juifs Édomites, à qui Il parle, sont des hybrides. Les Juifs Édomites reconnaissent cette accusation au verset 41, quand ils disent : «nous ne somme pas nés de la fornication». C’est une référence à Deutéronome 23:2, qui déclare qu’une personne illégitime née d’une fornication (pornes), et donc tout bâtard, n’entrera jamais dans la congrégation (le corps politique) de l’Éternel. La phrase se réfère aux hybrides, comme le texte en hébreu le prouve. En hébreu, le mot pour hybride/bâtard est mamzir, comme on le voit dans la Concordance de Strong, et c’est le mot utilisé en Deutéronome 23:2. Donc, dans le Talmud, ces antichrists malveillants se réfèrent à Jésus comme un mamzir (Kallah, 1b [18b]). Dans le même passage, ils accusent aussi Marie d’avoir conçu Jésus durant ses menstruations (Sanhedrin, 67a). Les Juifs disent que la mère de Jésus, Marie, était une prostituée, ou stada. Dans le Toldoth Jeschu, les Juifs blasphèment en disant que lors de l’ascension de Jésus, Judas était en Sa compagnie, et les deux se battirent, puis ils disent : «et lorsque Judas vit qu’il ne pouvait pas vaincre les œuvres de Jésus, il pissa sur Jésus, et les deux, étant alors impurs, retombèrent sur la Terre».

Dans le Sanhedrin 107b, le Talmud dit : «Jésus séduisit, corrompit et détruisit Israël». Dans le Zohar III:282, le Talmud dit que Jésus est enterré dans

«un tas d’ordures … là où ils jettent les cadavres des chiens et des ânes, et où les fils d’Ésaü [les Chrétiens] et d’Ismaël [les Turcs], ainsi que Jésus et Mahomet, incirconcis et impurs comme des chiens crevés, sont enterrés».

Dans le Gittin 57a, le Talmud déclare : «Jésus est en enfer et est puni en étant bouilli dans du sperme chaud. Les Chrétiens sont bouillis dans de la merde». Dans le Sanhedrin 105a--b, le Talmud dit : «Jésus forniquait avec son âne».

Nous ferions bien d’explorer un peu plus ces commentaires et bien d’autres qui se trouvent dans le Talmud Babylonien. Nous lisons :

«Pour le meurtre, que ce soit d’un Cuthéen par un Cuthéen, ou d’un Israélite par un Cuthéen, la punition est obtenue ; mais d’un Cuthéen par un Israélite, il n’y a pas de peine de mort» (Sanhedrin 57a).
«Le meurtre d’un Goï est comme de tuer un animal sauvage» (Sanhedrin 59a).
«Même le meilleur des Gentils doit être tué» (Abodah Zarah 26b, Tosefoth).
«L’extermination d’un Chrétien est un sacrifice nécessaire» (Zohar, Shemoth).
«Les bergers idolâtres et non-Juifs de petit bétail ne doivent pas être sortis [du puits], bien qu’ils ne doivent pas y être jetés, mais les Chrétiens, les informateurs et les apostats doivent y être jetés, et ne doivent pas en être sortis» (Abodah Zarah 26b).
«Tous les Israélites auront une part dans le monde futur … Les Goïm, à la fin du monde, seront amenés à l’ange Duma et envoyés en enfer» (Zohar, Shemoth, Toldoth Noah et Lekh-Lekha).
«La tradition nous dit que le meilleur des Goïm mérite la mort» (Zohar, Shemoth, Vaikra Rabba 14b).

Tout au long de cet article, nous avons exposé le Talmud et ce qu’il dit vraiment sur les Chrétiens et les «non-Juifs». Pour cette raison (ainsi que pour les autres vérités que nous commençons à peine à exposer), les Juifs souhaitent notre mort :

«Un Goï qui met son nez dans la Loi doit être tué …» (Sanhedrin 59a).

Le Talmud préconise la mort, dans toutes ses formes et de toutes les façons, y compris le meurtre par omission.

«Il s’ensuit que si vous voyez un Akum [Chrétien] en difficulté ou se noyant, ne l’aidez pas. Et s’il est en danger de mort, ne le sauvez pas» (Hilkoth Akum 10:1).

Je me demande si cela s’applique aux docteurs Juifs? Malgré la déclaration ci-dessus, les Juifs se font passer pour des «grands humanitaires», désireux de venir en aide à tous les «humains en détresse». L’hypocrisie juive est démontrée. Nous devons parler ici aussi du fait historique des meurtres rituels juifs sur des petits enfants chrétiens. bien que cela constitue une réalité bien connue de l’Histoire, les Juifs affirment aujourd’hui que les Chrétiens ont inventé ces récits afin de justifier leurs pogroms contre les Juifs. Cependant, nous trouvons les bases du meurtre rituel juif dans le Talmud :

«Toute personne qui verse le sang de l’impie est aussi acceptable pour Dieu que celui qui offre un sacrifice à Dieu» (Lalkut Simoni 245c n. 772).
«Prenez la vie des non-Juifs et tuez-les, et vous plairez à Dieu de la même façon que celui qui lui offre de l’encens» (Sepheror Israel 177b).

Ceci, avec les autres citations des Juifs meurtriers, prouve que les Juifs regardent le meurtre des Blancs Chrétiens comme un sacrifice acceptable. En fait, des documents historiques enregistrent des exemples de meurtres rituels juifs. Un tel exemple est rapporté par un moine du 12e siècle, Jocelin de Brakelond. Son plus fameux travail, Chronicle of the Abbey of Bury St Edmunds, est lu dans les écoles dans tout le pays. Il écrit :

«Ce fut à cette époque [1181] que le petit saint, Robert, fut fait martyr et enterré dans notre église» (p. 15).

Le traducteur ajoute cette note au texte :

«La mort du petit Robert, supposément des mains des Juifs, eut lieu en 1181. Jocelin écrivit sa vie, maintenant perdue. Des morts similaires d’enfants, dont il est dit qu’ils ont été assassinés par des Juifs lors de sacrifices rituels, eurent lieu dans d’autres villes» (p. 128).

Bien entendu, les traducteurs essayent d’édulcorer la vérité de nombreux témoignages d’historiens parce que les Juifs ont tellement trompé les gens en leur faisant croire qu’ils ne pourraient jamais faire de telles choses. Naturellement, les Juifs ne considèrent pas qu’il est mal de mentir aux goïm. Le Talmud dit :

«Et celui qui désire qu’aucune de ses promesses faites durant l’année ne soit valide, qu’il vienne au début de l’année et déclare : ‘‘Toute promesse que je ferai dans le futur sera nulle’’ (Ses promesses sont dès lors invalides, du moment qu’il se souvienne au moment de sa promesse de ce qu’il déclare ici)» (Tractate Nedarim Folio 23b).

C’est la base du vœu du «Kol Nidre», que les Juifs sont supposés réciter annuellement. On peut donc considérer tout ce qui sort de la bouche d’un Juif comme du mensonge et des promesses qu’il n’a jamais eu l’intention de tenir. D’autres déclarations sur le traitement des non-Juifs par les Juifs :

«Les Juifs peuvent se moquer et duper les non-Juifs» (Yore Deah 157:2).
«Il est permis à un Juif de violer, de léser et de se parjurer ; mais il doit prendre grand soin que cela ne se sache pas, de manière à ce qu’Israël n’en souffre pas» (Choschen Ha’mishpat 348).

L’arme de l’usure est permise contre les Chrétiens (Yore Deah 159:1), tout comme le parjure contre les Chrétiens (Babha Kama 113a). Ceci apparaît clairement chez les banquiers juifs ainsi que dans la prétendue «façon de vivre» des hommes d’affaires, où ils trichent et mentent contre les non-Juifs dans le but de leur prendre leur argent, leur maison, leur ferme ou leur pays. Encore pire, les Juifs se sont, depuis des siècles, cachés derrière la religion, s’auto-proclamant même autorités religieuses. Les Chrétiens nominaux ont été trompés et le sont encore en croyant que les Juifs ont préservé et sont les héritiers de nos Écritures et de nos croyances. Ces gens vont même si loin dans leur folie qu’ils recherchent les conseils des Juifs sur la meilleure façon d’être un Chrétien! Mais le Juif ne cherche qu’à tromper et fourvoyer ces Hommes et Femmes Blancs qui cherchent la vérité, et ce faisant, il garde secret ses vraies croyances et désirs :

«Communiquer quoi que ce soit à un Goï sur nos relations religieuses serait équivalent à tuer tous les Juifs, car si les Goïm savaient ce que nous enseignons sur eux, ils nous tueraient immédiatement» (Libbre David 37).

C’est cette peur qui conduit les hybrides juifs à commettre un génocide ouvert contre la Race Blanche par le mixage racial, la tromperie et en se cachant derrière les Noirs facilement manipulés. Des hybrides ne peuvent rien faire d’autre que d’hybrider et de détruire ce que Dieu Tout-Puissant a créé originellement. On dit aux Chrétiens que «Ce que Dieu a uni, que l’homme ne le sépare pas» (Marc 10:9). Chaque page du Talmud Juif est remplie avec des saletés juives. De telles saletés ne se limitent pas à un plaidoyer pour le meurtre des Chrétiens Blancs, mais contient aussi de nombreuses perversions, sexuelles et autres. En fait, ils vont tellement loin qu’ils blasphèment et mentent sur les Écritures :

«Adam a eu des relations sexuelles avec chaque bête et animal, mais n’a trouvé aucune satisfaction jusqu’à ce qu’il cohabite avec Ève» (Yebhamoth 73a).

Rappelez-vous que les Juifs croient le Talmud supérieur aux Écritures. Ils croient donc fermement la déclaration suivante, même si elle ne se trouve pas dans la Bible :

«Les petites filles apportent une sévère punition sur ceux qui ont des relations sexuelles avec elles lorsqu’elles ont leurs menstruations» (Sanhedrin 55b, 69a).

Tout le monde sait que les petites filles n’ont pas de menstruations. Ce passage montre, cependant, l’obsession juive sur les menstruations féminines, et des livres entiers sont dévoués à ce sujet dans le Talmud. Ce passage implique en plus que, lorsqu’elles n’ont pas leurs menstruations, il est tout-à-fait normal d’avoir des relations sexuelles avec elles. C’est déclaré explicitement dans d’autres passages. Mais quel esprit malade pourrait même imaginer un tel acte? Évidemment, celui du Juif bâtard. Un Juif typique va toujours se moquer du sens de la décence du Chrétien. Il va toujours être ouvertement en faveur de plus en plus de perversions. L’homosexualité parmi les Juifs, par exemple, n’est pas perçue de la même façon qu’elle l’a été traditionnellement parmi les Blancs. Le Talmud déclare, concernant les viols sur les enfants :

«Lorsqu’un homme adulte a des relations sexuelles avec une petite fille, ce n’est rien, car lorsque la fille est âgée de moins de trois ans, c’est comme si on mettait son doigt dans l’œil — des larmes viennent à l’œil encore et encore ; et de même, la virginité revient à la petite fille de moins de trois ans» (Kethuboth 11b).
«Lorsqu’un homme adulte a des relations sexuelles avec une petite fille de moins de trois ans d’âge, ou lorsqu’un petit garçon de moins de neuf ans d’âge a des relations sexuelles avec une femme adulte, ou lorsqu’une fille a été blessée par un bout de bois [durant la masturbation] … il n’y a, les regardant, aucune charge de non-virginité» (Kethuboth 11a).

Réellement, le Talmud déclare qu’un enfant âgé de «trois ans et un jour peut être acquis en mariage par coït [relation sexuelle]» (Sanhedrin 55b). C’est sans doute la raison pour laquelle les avocats et juges juifs sont si prompts à remettre les violeurs d’enfants dans la rue, afin qu’ils puissent recommencer à violer. Tous les Juifs sont de potentiels violeurs d’enfants. On incite encore ailleurs dans le Talmud au viol d’enfant :

«Rab dit : La pédérastie avec un enfant de moins de neuf ans d’âge n’est pas considéré comme de la pédérastie avec un enfant plus âgé. Samuel dit : La pédérastie avec un enfant de moins de trois ans n’est pas traitée comme celle avec un enfant plus âgé» (Sanhedrin 52b).
«Un Juif peut sodomiser un enfant pour autant que l’enfant soit âgé de moins de neuf ans» (Sanhedrin 54b).

Le commentateur explique alors que «si l’on commet la sodomie avec un enfant d’âge moindre, aucune culpabilité n’est à considérer». La Talmud incite aussi à la nécrophilie :

«La relation sexuelle est permise avec un parent mort, sans égard au fait qu’il ou elle était célibataire ou marié» (Yebhamoth 55b).

Encore une fois, seul un Juif dégoûtant peut prêcher de telles choses et puis prétendre qu’il est un «élu de Dieu». Quand est-ce que les Hommes Blancs et les Femmes Blanches vont se réveiller et se révolter contre l’immondice qu’est le Juif? Le Talmud déclare aussi que si une Juive fait l’amour avec son propre fils, elle n’est pas propre à la prêtrise uniquement si le garçon est âgé de plus de neuf ans (Sanhedrin 69b). Le Talmud dit encore :

«Une femme vint devant le rabbin Hisda, lui confessant que le plus léger des péchés qu’elle avait commis était que son plus jeune fils est le résultat d’une relation sexuelle avec son fils plus âgé. Du fait que c’était son péché le plus léger, elle fut excusée» (Abodah Zarah 17a).

Toutes ces formes de perversions et bien d’autres sont permises par le Talmud dans cette phrase :

«Lorsque quelqu’un voit qu’il est submergé par ses appétits mauvais, qu’il aille en un endroit où il n’est pas connu ; qu’il s’habille en noir et se laisse aller aux impulsions de son cœur» (Mo’ed Katan 17a).

Bien entendu, il y a des crimes permis contre d’autres Juifs. Le Talmud préconise le viol d’enfants Blancs innocents également :

«Une petite fille non-Juive de trois ans peut être violée» (Abodah Zarah 37a).
«Du fait qu’un enfant non-Juif âgé de trois ans et un jour est bon pour la copulation, son violeur n’est impur que jusqu’au soir, et le soir il est pur après avoir pris un bain dans l’eau» (Choschen Ha’mischpat).
«Un Juif peut violer mais pas marier une non-Juive» (Gad. Shas. 2, 2).

Et, comme il a été dit plus haut, la haine de Jésus-Christ ressentie par le Juif est aussi exprimée dans le Talmud. Personne se faisant appeler Chrétien ne pourrait oser parler gentiment d’un Juif après avoir lu ce que les Juifs pensent et enseignent de l’unique Dieu Vivant, Jésus-Christ. Rappelez-vous qu’un Juif se met en danger d’être expulsé de la synagogue s’il ose dire la vérité à un Chrétien Blanc sur ce qui est secrètement enseigné aux enfants Juifs à partir du Talmud. C’est la raison première pour laquelle les Juifs ont gardé vivant ce langage hybride connu sous le nom de Yiddish, qui est une perversion d’allemand, d’espagnol et d’autres langues. Pour citer Paul, il est honteux de parler publiquement de ce qu’ils font en secret.

«Cela, en effet, vous le savez, connaissant qu’aucun fornicateur, ou impur, ou cupide (qui est un idolâtre), n’a d’héritage dans le royaume de celui qui est l’Oint et Dieu. Que personne ne vous séduise par de vaines paroles ; car, à cause de ces choses, la colère de Dieu vient sur les fils de la désobéissance. N’ayez donc pas de participation avec eux ; car vous étiez autrefois ténèbres, mais maintenant vous êtes lumière dans le Maître ; marchez comme des enfants de lumière (car le fruit de la lumière est bonté, justice et vérité), éprouvant ce qui est agréable au Maître. Et n’ayez rien de commun avec les œuvres infructueuses des ténèbres, mais plutôt reprenez-les aussi ; car les choses qu’ils font en secret, il est honteux même de les dire. Mais toutes choses, étant reprises par la lumière, sont manifestées ; car ce qui manifeste tout, c’est la lumière ; c’est pourquoi il dit : ‘‘Réveille-toi, toi qui dors, et relève-toi d’entre les morts, et l’Oint luira sur toi’’» (Éphésiens 5:5--14).

Le Talmud crasseux continue de blasphémer Jésus en disant :

«Jésus forniquait avec son âne» (Sanhedrin 105a--b).
«Jésus est en enfer et est puni en étant bouilli dans du sperme chaud. Les Chrétiens sont bouillis dans de la merde» (Gittin 57a).

Ces phrases terribles et blasphématoires ne sont que le commencement de ce que les Juifs ont à dire sur l’Oint, Jésus-Christ, notre Rédempteur. Le Talmud enseigne mensonge sur mensonge à propos de Jésus. Ils commencent avec Sa conception, disant qu’Il était le fils de «Marie de Magdala», une prostituée (Sanhedrin 67a), et que Son père était un «esprit mauvais» qui vint sur Marie pendant qu’elle avait ses menstruations (Kallah 1b [18b]). Ces Juifs menteurs déclarent de plus que Jésus, «le fils de Stada [une prostituée] pratiquait de la «magie égyptienne» et «était un imbécile» (Schabbath Folio 104b). Sur Mariam (Marie), le Talmud déclare aussi : «Elle qui était descendante de princes et de gouverneurs faisait la prostituée avec des menuisiers» (Sanhedrin 106a-106b).

Comme il a été dit plus haut, le Talmud déclare : «Mar dit : Jésus séduisit, corrompit et détruisit Israël» (Sanhedrin 107b). Mais la Bible nous enseigne que Jésus était le Délivreur et le Sauveur de la vraie Israël ; c’est-à-dire, les peuples Blancs. De plus, bien que la Bible enseigne que Jésus se releva des morts après avoir été crucifié et placé dans une tombe pendant trois jours, le Talmud déclare que Jésus est enterré dans un tas d’ordures avec les chiens. Les Juifs doivent donc croire que c’est dans ce trou que Jésus est en train de bouillir dans du sperme chaud et les Chrétiens dans de la merde.

Ce n’est aussi que le début de ce que l’abominable Talmud antichrist a à dire sur les Chrétiens. Premièrement, nous, Chrétiens, les vrais choisis de Dieu, sommes appelés adorateurs d’idoles par Maïmonide, un Juif renommé et adoré par la juiverie internationale :

«Et qu’il soit su que les peuples chrétiens qui suivent Jésus, bien que leurs doctrines varient, sont tous des adorateurs d’idoles» (Abodah Zarah Perusch 78c).

De plus, bien que ce soit le Talmud qui préconise la bestialité, ce sont les Chrétiens qui sont accusés de se livrer à de tels actes indécents avec les animaux. Peut-être les Juifs croient-ils que le vrai péché n’est pas la bestialité, mais qu’un goï se livre à des actions réservées aux Juifs :

«Les animaux ne doivent pas se trouver au contact des Goïm, parce que nous suspectons ceux-ci d’avoir des relations sexuelles avec eux. Les femmes ne doivent pas cohabiter avec des animaux car ceux-ci ont un sexe trop grand» (Abodah Zarah 22a).
«Les non-Juifs préfèrent le sexe avec les vaches» (Abodah Zarah 22a--22b).

Cette accusation semble être un thème constant chez les comédiens modernes Juifs, car ils cherchent à attaquer la noblesse du fermier honnête et son intelligence naturelle par leur utilisation pervertie de l’humour, en décrivant un fermier stupide et plouc qui a des relations sexuelles avec ses vaches. Il est clair que la plupart des prétendues blagues juives passent totalement au-dessus la tête des goïm, mais les Hommes Blancs peuvent compter sur une chose chez les Juifs — ils se moquent de Jésus-Christ et de la destruction de la Race Blanche. Les Chrétiens sont donc accusés de bestialité, tandis que le Talmud déclare :

«Une femme ayant des rapports sexuels avec un animal est éligible pour se marier avec un prêtre juif. Une femme qui a eu des relations sexuelles avec un démon est aussi éligible pour se marier avec un prêtre juif» (Yebamoth 59b).
«Lorsque le rabbin Dimi vint, il raconta : Une fois, il s’est passé ceci à Haitalu qu’une jeune femme balayait le sol. Un chien du village vint la couvrir par derrière (un cas de relation non naturelle) et le rabbin lui permit [à la femme, pas au chien] de se marier avec un prêtre» (Yebamoth 59b).

Les enfants ne doivent pas se faire enseigner par des Chrétiens :

«… les enfants ne doivent pas être placés sous leurs soins afin d’apprendre à lire ou pour apprendre le commerce» (Abodah Zarah 15b).

Bien sûr, les Juifs ont aujourd’hui le contrôle total des systèmes d’éducation publique, ainsi d’ailleurs que des écoles privées, et les ont utilisés pour rendre stupides les enfants Blancs et pour promouvoir leur propre humanisme antichrist qui a déjà trompé et perverti des millions d’enfants Blancs. L’intégration des Nègres dans les écoles a résulté dans le génocide de beaucoup d’autres. Si les Blancs Chrétiens avaient le contrôle des écoles, ce que le Juif ne peut pas permettre, peut-être ces écoles pourraient-elles être utilisées afin d’enseigner une vraie éducation dans le sens Biblique.

Bien entendu, le Talmud interdit de telles activités, car en laissant faire les Blancs, les mensonges des Juifs pourraient être exposés et les Juifs ne pourraient plus contrôler les peuples Blancs afin de les voler. L’agenda juif de génocide et d’oppression ne pourrait plus être maintenu si les enfants Blancs pouvaient bénéficier d’une vraie éducation, éducation qui constitue leur droit de naissance et qui leur a été volé par des hybrides et des Juifs. C’est pour des raisons similaires que le Talmud déclare que le taux de naissances des Blancs doit régresser et être maintenu très bas (Zohar II 64b). Les Juifs ont parfaitement réussi cela. Les hybrides se multiplient à un taux jamais vu auparavant tandis que le peuple Blanc, qui se considère Chrétien, est endoctriné avec la croyance qu’ils doivent avoir le minimum d’enfants dans leur famille. Beaucoup n’ont qu’un ou deux enfants, s’ils en ont, et ceux-ci sont élevés dans les mensonges juifs. Les Juifs contrôlent également l’économie, forçant les Hommes Blancs à travailler, parfois dans trois emplois différents, et à laisser cinq mois de leur labeur sous forme de taxes, et ainsi à réduire encore le nombre d’enfants qu’ils pourraient nourrir.

Le Talmud ordurier déclare que les Chrétiens sont des animaux qui n’ont que l’apparence d’humains :

«Mais les Akum [Chrétiens] furent créés dans le seul but de les servir [les Juifs], jour et nuit. Ils ne peuvent pas être relevés de ce service. C’est en qualité de fils de roi que les animaux dans leur forme naturelle, ou sous forme d’êtres humains, doivent le servir» (Midrasch Talpioth, Folio 225d).

La Bible enseigne clairement que des hybrides, comme les Juifs, sont des non-créatures et ne méritent même pas le statut des animaux, qui furent créés et trouvés bons par Dieu Tout-Puissant.

D’autres écrits talmudiques qui comparent les Chrétiens avec des animaux sont :

«Les Juifs sont des êtres humains ; les autres peuples du monde ne sont pas des êtres humains, mais des bêtes» (Baba Mezia).
«La relation sexuelle d’un Goï est comme celle d’une bête» (Sanhedrin 74b, Tosephoth).
«La semence d’un Goï a la même valeur que celle d’une bête» (Kethuboth 3b).
«Vous pouvez lire : Restez ici avec l’âne, c’est-à-dire avec un peuple qui est comme l’âne. D’où il apparaît qu’ils ne sont pas capables de contracter mariage» (Kidduschim 68a).
«Car ils donnent naissance à la mamelle tout comme des chiens» (Zohar II 64b).

Mais une fois de plus l’hypocrisie juive est patente. Le Talmud permet aux Juifs de «prétendre se réjouir avec eux afin de cacher votre haine» (Iore Dea 148 12 Hagah). Nous voyons cette pratique sous nos yeux aujourd’hui. Les Juifs viennent souvent prétendre qu’ils sont nos amis alors qu’en réalité leur seul désir est de nous détruire et de faire de nous leurs esclaves. Comme les Écritures déclarent : «Le voleur ne vient que pour voler, et tuer, et détruire» (Jean 10:10). C’est le but des Juifs, et leur plan diabolique est contenu dans ce Talmud puant. Les synagogues sont en réalité la maison de Satan, où les Juifs perpétuent leurs mensonges blasphématoires et leur plans pour détruire la Chrétienté. Pourtant, ce sont les Juifs qui appellent les églises chrétiennes «Beth Hattiflah», ou «Maison du Mal». Les Juifs adorent vraiment les projections.

Les Juifs blasphèment et se moquent également du Nouveau Testament dans ce livre diabolique appelé le Talmud. Les Évangiles sont appelées «volumes d’iniquité» et «livres hérétiques» (Schabbath 116a Tosephoth). Ces livres doivent être brûlés (Schabbath 116a). Et comme les Juifs adorent le proclamer, qui brûle des livres brûle des gens. Vraiment, nous avons déjà montré à partir de leur Talmud que le meurtre des Chrétiens est préconisé.

Il est banal aujourd’hui de voir dans les médias les Juifs réclamer que la littérature chrétienne soit supprimée de tous les secteurs de la société, ainsi que de les voir ridiculiser la littérature et la pratique religieuse chrétiennes. De nos jours, le Christ a été enlevé de cette société séculaire. L’Amérique n’a pas été colonisée pour devenir une société humaniste séculaire mais pour être une nation chrétienne. Les talmudistes sionistes internationaux n’arrêteront pas la destruction des États-Unis jusqu’à ce que toute trace de Christianisme ait disparu. Pour le Juif, il importe peu comment le Christianisme est détruit, que ce soit par les balles et les baïonnettes ou par la perversion. Tout ce qui compte, c’est que le vrai Christianisme biblique soit détruit. Les Juifs vont si loin qu’ils appellent la littérature chrétienne de la littérature de haine et essayent de faire passer des lois pour la bannir. Nous trouvons bien sûr déjà cela dans le Talmud. Dans le Iore Dea, on apprend aux Juifs à se référer à la littérature chrétienne avec mépris (haine) (146, 15) et à toujours s’en moquer (147, 5). Quand les Juifs parlent de séparation de l’Église et de l’État, leur soucis principal est d’éliminer toute influence chrétienne positive sur des petits enfants innocents, et d’éradiquer toute structure chrétienne, oui, même celles des Chrétiens nominaux.

L’extraordinaire vérité est que, comme nous l’avons prouvé dans cet article, les Juifs talmudiques et la prétendue religion juive n’ont jamais fait partie de l’ancienne religion des Hébreux et du peuple israélite. Le Talmud, qui est, selon l’avis même de la juiverie mondiale, l’autorité finale concernant la pratique du Judaïsme, est toujours appelé le Talmud Babylonien. Les Chrétiens doivent savoir et comprendre clairement que, lorsque la nation de Juda-Israël fut capturée par les Babyloniens et mise en captivité en 586 avant JC, un nombre considérable de ces Judéens trouvèrent séduisants et attractifs le mode de vie et les plaisirs de Babylone parmi les têtes noires akkadiennes et les hybrides. À cause de cela, la majorité des Judéens ne voulut même pas retourner en Judée pour reconstruire la nation et le temple. Ils étaient tout simplement devenus matérialistes, et ils commencèrent à corrompre la religion hébreue et à la tordre de façon à se conformer aux enseignements du Talmud Babylonien, qui étaient les enseignements du peuple hybride de Babylone.

Cependant, lorsque les Mèdes ou Perses défirent Babylone en 538 av. JC, il fut constaté qu’un grand nombre de soldats dans l’armée perse étaient en réalité des Israélites déplacés, provenant des dix tribus d’Israël au nord, qui avaient été emmenés en captivité par les Assyriens en 722 av. JC et qui avaient retrouvé leur liberté, soit par rachat, soit en s’échappant, pour aller rejoindre les rangs de l’armée perse. En d’autres termes, beaucoup parmi les Mèdes se révélèrent être les cousins des Judéens capturés. Il s’ensuivit que le roi perse Cyrus finança et protégea les efforts de la réintroduction des Judéens en Judée. I Esdras 2:3--5 déclare :

«Ainsi déclare Cyrus, roi des Perses … aussi, si l’un parmi vous est de ce peuple, que son Dieu soit avec lui, et qu’il puisse aller à Jérusalem qui est en Judée et qu’il puisse reconstruire la maison du Dieu d’Israël : car il est le Dieu qui habite à Jérusalem».

Approximativement 90 ans après cet effort initial du roi Cyrus, il fut donné à Esdras et à Néhémie des pouvoirs supplémentaires pour ramener un restant des vrais Israélites à Jérusalem en Judée-Israël afin de ré-établir une fois de plus la nation israélite et de reconstruire les murs de la cité, comme prophétisé par Gabriel en Daniel 9. Donc, en 445 av. JC, Artaxerxès permit à Néhémie de retourner et de reconstruire les murs de la ville.

«Et il vint à passer que, dans le mois de Nisan de la vingtième année du roi Arthasastha [Artaxerxès II Mnemon], que le vin était devant lui, que je pris le vin et le donnai au roi : et je n’avais pas été triste en sa présence … Et le roi me dit : que demandes-tu? … et je dis au roi : qu’il m’envoie en Juda, à la ville des sépulcres de mes pères, et je la bâtirai».

Les fondations du temple avaient été placées plus tôt, en 536 av. JC sous Cyrus, par les premiers Judéens qui retournèrent, mais le travail avait été postposé. Le temple fut fini en 515. Lorsque Esdras retourna dans la cité pour la dédicace des murs de la ville, on lui fit savoir que beaucoup d’hommes d’Israël avaient pris des femmes hybrides ; Esdras 8--9 témoigne qu’Esdras s’occupa de ce problème et purgea la communauté judéenne à Jérusalem des éléments hybrides.

Ces éléments hybrides apparurent parce que, le temps passant, beaucoup d’apostats babyloniens, ayant déjà hybridé leur race, voulurent retourner en Judée. Mais le grand Esdras purifia la nation en demandant aux Israélites de se défaire de leurs épouses et enfants hybrides, si vraiment ils désiraient rester dans la communauté du grand Juda-Israël. Pour une période, donc, l’hybridation fut stoppée.

En 332 av. JC, Alexandre le Grand conquit toute la Palestine. Après sa mort, son royaume fut divisé et la direction de la Palestine passa à ce qui devint connu du nom de Royaume Séleucide. Finalement, Antioche IV Épiphane hérita de la direction de la Judée. Les dirigeants séleucides avaient apporté avec eux une influence hellène en Judée, y compris le langage grec. L’Histoire rapporte, par Josèphe ainsi que par Philon, que beaucoup des Israélites judéens cherchaient à adopter les coutumes et façons grecques, ayant par exemple des gymnases, des écoles et se vêtant à la façon grecque pour mieux s’identifier à leurs cousins raciaux. Mais Antioche Épiphane était continûment défié et insulté par beaucoup de zélotes religieux, et il commit l’erreur historique de profaner le temple en répandant de la soupe au cochon sur l’autel. Josèphe nous dit, dans Antiquités Judéennes XII:5 :

«[Antioche] laissa le temple dénudé, et s’empara des chandeliers d’or, de l’autel d’or et de la table, et ne délaissa pas même les voiles, qui étaient de fin lin et d’écarlate. Il le vida également de ses trésors secrets et ne laissa rien du tout derrière lui … Et quand le roi eut bâti un autel idolâtre sur l’autel de Dieu, il y égorgea un porc et offrit ainsi un sacrifice contraire à la loi et aux pratiques religieuses judéennes qui se pratiquaient dans le pays».

Les Judéens se rebellèrent en 168 av. JC, et les zélotes de la famille des Macchabées parvinrent au pouvoir sous Judas Macchabée, un prêtre. En 164 av. JC, le temple fut consacré à nouveau. Judas mourut en 160 et les autres membres de la famille héritèrent du pouvoir. Mais les éléments hybrides prirent le pouvoir avec le règne de Jean Hyrcanus (134--104). Hyrcanus conquit les Iduméens, ou Édomites, et ces Édomites se «convertirent» au Yahweïsme. Ce fut le début de la grande usurpation par les éléments hybrides sur le pouvoir judéen. Le grand nombre d’Édomites qui avaient été conquis faisait qu’ils se trouvaient en supériorité numérique par rapport aux Israélites purs.

La Bible nous dit qu’il fut un temps où les Édomites étaient racialement purs (Deutéronome 23), mais ils furent submergés par des hybrides et devinrent hybrides eux-mêmes. Il fut donc commandé aux enfants d’Israël, plus tard dans leur histoire, de tuer les Édomites où qu’ils les rencontrent, juste comme David l’avait fait [D]  [D] L’auteur commet ici une erreur. Le Deut. 23:7 parle en réalité de l’Aramite (le Syrien), pas de l’Édomite!! Ésaü se maria avec des femmes cananéennes et hittites (donc hybrides), ses propres enfants étaient donc hybrides! L’erreur du texte hébreu est due à la ressemblance très forte entre les lettres hébreues Dalet et Resh..

Mais ce groupe d’hybrides, que les enfants d’Israël devaient supprimer, étaient maintenant au pouvoir. L’Histoire était renversée. Avec ces nouveaux éléments Édomites bâtards au contrôle, la nation judéenne se tourna contre les cités grecques et contre d’autres cités blanches. Après trente ans de règne de Jean Hyrcanus, le pouvoir dans toute la Judée tomba entre les mains de l’Édomite Antipater, le père d’Hérode.

Au cours de la montée au pouvoir d’Antipater et d’Hérode, le monde fut conquis par Rome, y comprises l’Égypte et la Judée. Ce fut principalement grâce à ce concours de circonstances que la famille hérodienne de bâtards édomites profita de l’occasion pour prendre le pouvoir politique, avec le soutien de l’armée romaine. Et donc, du temps du Christ, la nation judéenne était dirigée par, et principalement peuplée, de bâtards édomites. Ces Édomites, et l’Édomite Hérode, n’étaient pas des Blancs Israélites. Ils ne pouvaient pas être des descendants biologiques d’Abraham, et ce furent ces Édomites (qui avaient usurpé la nation judéenne) qui amenèrent encore plus d’Édomites en Judée et la noyèrent sous un flot de bâtards. Ils commencèrent à envahir les institutions israélites, comme la prêtrise, les offices des scribes, et même le Sanhedrin, le gouvernement régnant des anciens de Judée. Hérode l’Édomite n’avait pas seulement son propre parti politique avec sa machinerie, mais il avait aussi un très important parti fanatique religieux, composé de Juifs Babyloniens bâtards, d’Édomites et d’autres non-Blancs qui cherchaient à obtenir la citoyenneté israélite. Mais ils n’ont jamais été de véritables Hébreux croyants ni n’ont jamais vraiment obéi aux lois mosaïques. Les bâtards étaient jaloux de la prêtrise blanche et cherchaient sans cesse à la détruire, que ce soit par le meurtre ou bien par le génocide racial ; c’est-à-dire en se mélangeant avec les Blancs et en détruisant la pureté de la prêtrise d’Aaron.

Ces Israélites apostats avaient obtenu tellement de pouvoir et avaient si bien réussi à corrompre les vraies institutions judéennes que Jean le Baptiste ne put obtenir son droit naturel à la prêtrise dans la Judée-Israël du temps du Christ. Un bâtard nommé Caïphe avait acheté ce droit par corruption. C’est le même bâtard dont parle Matthieu 26:3--4 :

«Alors les principaux sacrificateurs et les anciens du peuple s’assemblèrent dans le palais du souverain sacrificateur, appelé Caïphe, et tinrent conseil ensemble pour se saisir de Jésus par ruse et le faire mourir».

Il est dès lors très important pour les gens de comprendre que la Bible ne dit jamais que Jésus de Nazareth était un Juif. Elle dit précisément que Jésus était un Judéen. La Bible ne dit jamais que Jésus était le Roi des Juifs. La bible dit que Jésus était le Roi des Judéens, et ce titre lui avait été «décerné» par les Romains, par sarcasme. Le terme moderne «Juif» se réfère à ces bâtards Édomites, ces usurpateurs qui pratiquent les enseignements du Talmud Babylonien. Le terme «Judéen» se réfère aux Blancs, Israélites, Adamiques, qui vivaient en Judée et qui étaient les purs descendants d’Abraham. La distinction entre ces deux termes est de la plus haute importance pour pouvoir comprendre la Bible.

Les prétendus «Judéo-Chrétiens», trompés ou délibérément ignorants aiment à argumenter que Jésus était un Juif biologiquement. Mais la Bible n’enseigne pas que Jésus était un Juif ou un bâtard biologique. La Bible dit que Jésus était de la tribu de Juda, pas de la tribu des Juifs. Jésus était un Homme Blanc Israélite, un vrai fils d’Abraham, de Jacob et d’Isaac. Jésus était un Hébreu dévot qui obéissait fidèlement à la loi de Moïse. La loi de Moïse est de l’Ancien Testament et n’a absolument rien à voir avec le Talmud Babylonien. Les Juifs talmudiques ne croient pas du tout à l’Ancien Testament, ni n’obéissent à la loi mosaïque, car c’est absolument impossible — il n’existe plus de temple ni de système sacrificatoire d’animaux. Ironiquement, ce furent les Juifs qui orchestrèrent, dans le secret, la mise en place, dans la Bible, de ce terme de jargon, Juif, en lieu et place de Judéen. Car, quoi que les choses qui sont dites d’eux en quelques passages sont des plus péjoratifs, particulièrement Jean 8, ils continuent à croire qu’ils vont gagner encore plus qu’ils ne vont perdre en convainquant les gens que Jésus était un Juif et pas un Judéen.

Une personne de la tribu de Juda n’est pas un Juif. Il est un Hébreu Israélite. La seule façon dont un homme de la tribu de Juda puisse être un Juif est de devenir un adorateur apostat du diable et de tourner le dos aux Écritures Hébreues. Il est absolument blasphématoire de la part des prêcheurs d’appeler Abraham un Juif. Ni Abraham, ni Isaac, ni Jacob n’étaient des Juifs, et il n’existait pas de tribu de Juda ni de tribu quelconque d’Israël avant qu’ils fussent établis par les fils de Jacob, qui était le petit-fils d’Abraham.

Maintenant, tout ce que nous avons déclaré dans cet article sont des faits clairs et explicites. Quelqu’un se faisant appeler un croyant dans la Bible ou un Chrétien qui dénierait ces faits serait un blasphémateur de l’Esprit Saint de Dieu. Car l’Esprit Saint de Dieu est aussi l’Esprit de Vérité, et aucun mensonge n’est la vérité. On pourrait en dire encore beaucoup plus sur la juiverie mondiale, le mouvement sioniste international et la prétendue religion des Juifs, qui est illicite et qui est une apostasie. La juiverie mondiale a pratiquement détruit le Christianisme à travers le monde par son constant barrage de propagande antichrist et ses efforts continus pour pervertir ce que la Bible dit et enseigne réellement. Encore une fois, il est important pour les Chrétiens qu’ils comprennent et croient que le Dieu Unique, Vrai et Vivant n’a pas changé ; Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui, demain et à jamais (Héb. 13:8). Aucun Chrétien réel ne peut sanctionner, donner son consentement ou toute forme d’approbation au mouvement antichrist du Judaïsme talmudique, ainsi qu’au Sionisme. Tout prétendu Chrétien qui fait cela, quelque soit sa dénomination, trahit le salut qui lui a été donné par le Christ Vivant, et il ira brûler dans le Lac de Feu en compagnie des bâtards, des menteurs et de tous ceux qui aident le mensonge [E]  [E] Il est faux de dire qu’un Homme Blanc peut aller brûler dans le Lac de Feu. Par contre, la Vie Éternelle d’un traître sera une éternité de honte!.

Homme Blanc, Femme Blanche, ne vous laissez pas voler votre droit de naissance comme race choisie et semence choisie du Dieu Tout-Puissant. Le Nouveau Testament dit à l’Homme Blanc Chrétien, en I Pierre 2:9 :

«Mais vous, vous êtes une race élue, une sacrificature royale, une nation sainte, un peuple acquis, pour que vous annonciez les vertus de celui qui vous a appelés des ténèbres à sa merveilleuse lumière».

Croyez en votre Bible. Arrêtez de croire en de faux prêtres. Que Dieu soit vrai et tout homme menteur (Rom. 3:4). N’attendez pas. Ne négligez pas un si grand salut.