Hitler et le Christianisme
par William Finck
From the Mein Kampf Project at Christogenea.org
Notes d'introduction
J'ai entendu ou lu toute la propagande concernant Adolf Hitler. Les juifs veulent en faire un juif et ils ont leurs adeptes. C'est la meilleure façon de cacher aux Chrétiens la vérité sur lui. Aucun vrai patriote chrétien ne désire examiner la philosophie d'un homme suspecté d'être juif! Beaucoup d'idiots d'extrême-droite en font aussi un juif, car ils le rendent responsable de la mort de tant de Chrétiens dans l'Europe des années 1940. Le problème avec ce scénario est que, premièrement, il absout en fait les vrais responsables de ces morts : les juifs! Et donc ces idiots d'extrême-droite jettent le blâme sur la mauvaise personne et laissent les juifs s'en tirer avec le deuxième plus grand crime de haine. Les païens veulent faire de Hitler un païen. En réalité, Hitler méprisait les païens de son époque, pensait que le paganisme en général est vain et tous ses écrits montrent clairement qu'il était un chrétien. En fait, en plus de beaucoup d'affirmations claires, les idées et la morale chrétiennes imprègnent l'entièreté de sa littérature. Ce n'est pas une simple profession de foi qui fait un Chrétien. C'est bien plutôt l'application des principes professés par le Christ qui font d'un homme un chrétien, et ceci la plupart des soi-disant Chrétiens d'aujourd'hui ne le comprennent pas.
Je sais ce que Hitler aurait soi-disant dit d'après le livre appelé "Table-Talk". Je ne fais pas confiance en ce livre au regard de la philosophie de Hitler. "Mein Kampf" fut écrit et traduit et publié avant que la guerre ne commence. Sachant cela, nous pouvons en conclure qu'il n'y a pas d'agenda secret dans sa publication, étant donné qu'à ce moment-là, personne ne connaissait encore le résultat du cours que Hitler allait donner à la destinée de sa nation. Tout ce qui a été écrit depuis la fin de la seconde guerre mondiale avait une sorte ou l'autre d'agenda, quelle qu'en soit la source, et donc je ne peux y apporter aucune crédibilité. Et même si les affirmations des "Table-Talk" étaient entièrement authentiques, la philosophie d'un homme au moment où il se lance dans une suite d'actions est bien plus importante, car cette philosophie est la cause qui lança cet homme dans ces actions. De plus, je ne pense pas qu'Hitler, comme bien des soi-disant leaders aujourd'hui, ait été un hypocrite retournant sa chemise.
Hitler, Chrétien
Dans les premières pages de "Mein Kampf", où Hitler discute de son enfance (page 15), nous voyons qu'il fut élevé en tant que Chrétien ainsi d'ailleurs que son père : "Dans mes moments libres je pratiquait le chant dans les chœurs du monastère à Lambach et ainsi il se fit que je fus placé dans une position très favorable pour être, encore et encore, impressionné émotionnellement par la magnifique splendeur du cérémonial ecclésiastique. Que pouvait-il y avoir de plus naturel pour moi que de regarder l'abbé comme représentant l'idéal humain le plus élevé, valant le plus d'efforts, juste comme l'humble prêtre du village était apparu à mon père lors de son enfance?"
Beaucoup plus loin, page 196, Hitler définissant la philosophie du mouvement National-Socialiste fait cette déclaration, affirmant clairement qu'il voit les antiChrétiens comme les ennemis de l'État : (10) Le mouvement refuse fermement de prendre position regardant les problèmes qui sont, soit en dehors de sa sphère d'action politique, ou paraissant n'avoir aucune importance fondamentale pour nous. Le mouvement ne vise pas une réformation religieuse mais bien plutôt une réorganisation politique de notre peuple. Il voit dans les deux dénominations religieuses des piliers valables pour l'existence de notre peuple, et donc qu'il fait la guerre à toutes ces factions qui dégraderaient ces fondations sur lesquelles les stabilités morale et religieuse de notre peuple sont basés. Ces deux piliers doivent être un instrument au service des intérêts du parti.
Les "deux dénominations religieuses" discutées ici sont la catholique et la luthérienne. Hitler laisse très peu de place à une estime du paganisme ou une quelconque religion non-chrétienne dans sa philosophie.
Le péché contre le sang et la race est le péché héréditaire dans ce monde et il apporte le désastre sur toute nation qui le commet. -Adolf Hitler, Mein Kampf, page 142
Hitler sur la Genèse
Comme nous le verrons plus loin, Hitler croyait que l'homme aryen est le pinacle de la création de Dieu décrite dans la Genèse, chapitres 1,2 et 5. C'est aussi ce que nous, dans l'Identité Chrétienne, croyons, et pour ma part je pense que je peux sans aucun doute le démontrer.
p. 46 :
« Et ainsi je crois aujourd'hui que ma conduite est en accord avec la volonté du tout-puissant Créateur. En étant le rempart contre le juif je défend l'Oeuvre du Seigneur. » Hitler savait que le juif est contraire à "l'Oeuvre du Seigneur"! Nous le croyons aussi dans l'Identité Chrétienne!
p. 216 :
« Saper l'existence de la culture humaine en exterminant ses fondateurs et ses gardiens serait un crime exécrable aux yeux de ceux qui croient que la conception d'un peuple repose à la base de l'existence humaine. Quiconque oserait lever une main profane contre cette suprême image de Dieu parmi Ses créatures pécherait contre le généreux Créateur de cette merveille et collaborerait à l'expulsion du Paradis. » Il est évident que, ici comme ailleurs, Hitler percevait la Chute d'Adam comme étant centrée sur un épisode de mixage racial. C'est également ainsi que l'Identité Chrétienne perçoit Genèse chapitre 3. Quiconque lève la main sur l'Homme blanc prend le parti de Satan.
p. 125 :
« Nous devons combattre pour la sécurité nécessaire à l'existence et à l'accroissement de notre race et de notre peuple, la subsistance de ses enfants et la maintenance de notre stock racial pur, la liberté et l'indépendance de notre mère-patrie de façon à ce que notre peuple soit à même de remplir la mission qui lui fut confiée par le Créateur. Cette "mission" ne peut être que celle de la race adamique de la Genèse chapitre 1, qui est d'avoir "domination sur les poissons des mers et sur les oiseaux des airs, et sur toute chose vivante qui se meut à la surface de la Terre." C'est ainsi que l'Identité Chrétienne perçoit le récit de la Genèse. »
p. 228, dans une attaque sur le célibat ecclésial :
« Et, de plus, ils devraient être amenés à réaliser que c'est leur devoir de donner au Créateur tout puissant des êtres tels que Lui-même a faits à Sa propre image. »
Nous avons ici une autre allusion à la Genèse, 1:28, où il est dit : "Fructifiez et multipliez et remplissez la Terre et l'assujettissez".
Hitler sur le sacrifice pour la Nation
Une partie de la fondation de la doctrine chrétienne est l'idée que l'on se doit de dévouer sa vie à servir ses frères, qui sont ses frères de race. Le sacrifice individuel au bénéfice de la race est souvent simplement inféré dans les Évangiles, mais souvent aussi il est présenté comme un requis explicite des Chrétiens. L'idée de donner sa vie pour son peuple ne veut pas nécessairement dire mourir prématurément pour lui, cependant cela peut être souvent une nécessité. Mais ce que cela signifie d'une façon beaucoup plus pratique c'est : dévouer sa vie au bien-être de ses frères. Les propres pensées d'Hitler dans ce domaine est un parfait produit des Évangiles et il souligne souvent le besoin du sacrifice individuel pour la race tout au long de sa philosophie. Jetons un œil à quelques passages des Évangiles qui élucident cette philosophie :
Jean 10:11-18 :
11 Moi, je suis le bon berger : le bon berger mets sa vie pour ses brebis... 14 Moi, je suis le bon berger et je connais les miens et je suis connu des miens, 15 comme le Père me connaît et moi je connais le Père; et je mets ma vie pour les brebis. 17 A cause de ceci le Père m'aime, c'est que moi je laisse ma vie, afin que je la reprenne.
Matthieu 10:38-39 :
38 et celui qui ne prend pas sa croix et ne vient pas après moi, n'est pas digne de moi. 39 Celui qui aura trouvé sa vie, la perdra; et celui qui aura perdu sa vie pour l'amour de moi, la trouvera.
Matthieu 23:10-12 :
10 Ne soyez pas non plus appelés maîtres : car un seul est votre maître, le Christ. 11 Mais le plus grand d'entre vous sera votre serviteur. 12 Et quiconque s'élèvera sera abaissé; et quiconque s'abaissera sera élevé. Il est évident d'après ces écritures et d'autres que nous devons suivre l'exemple de Yahshua en abandonnant, ou au moins en dévouant nos vies à l'amélioration de notre race, qui est la nation au sens propre et dans l'usage du terme, non en tant qu'entité politique et géographique, mais en tant qu'une race de peuple vivant ensemble sous un gouvernement. Si les Chrétiens dévouaient leur vie à leur nation plutôt qu'à leur propre enrichissement, combien meilleure serait cette entière nation! Et Yahweh récompenserait sûrement l'individu qui ferait une telle chose. Voici quelques citations de "Mein Kampf" qui démontrent clairement que Hitler incorporait entièrement cette philosophie chrétienne dans la sienne propre.
p. 146 :
« Le droit à la liberté personnelle vient en second en importance après le devoir de maintenir la race. »
p. 94 :
« Le sacrifice de l'existence individuelle est nécessaire dans le but d'assurer la conservation de la race. D'où il s'ensuit que la condition la plus essentielle pour l'établissement et la maintenance d'un État est un certain sentiment de solidarité, basé sur une identité de caractère et de race et sur l'empressement résolu de les défendre à tous prix. »
p. 168 :
« L'empressement au sacrifice de son travail personnel et, même si nécessaire, de sa propre vie pour les autres montre sa forme la plus développée dans la race aryenne. La grandeur de l'Aryen n'est pas basée sur ses pouvoirs intellectuels mais, plutôt, sur sa volonté de dévouer ses facultés au service de la communauté. Ici l'instinct de l'auto-préservation a atteint sa forme la plus noble; car l'Aryen subordonne volontairement son propre ego à la prospérité commune et lorsque la nécessité s'en fait sentir il va même sacrifier sa propre vie pour la communauté. Permettez-moi de le dire ici, le concept de "vedettariat" est l'antithèse du Christianisme. Pour le juif, une nation unie est un anathème. La tendance du juif sera donc de diviser la société en créant la "star" ou la "personnalité". Ceci a pour effet de fragmenter la nation en une collection d'individus, chacun cherchant son propre intérêt et ne préoccupant pas des intérêts de la nation. Ils ne les appellent pas des "idoles" pour rien! »
p. 169 :
« Dans le langage allemand existe un mot qui exprime admirablement cet esprit sous-jacent de tout travail : c'est "Pflichterfüllung", ce qui signifie "au service de la prospérité commune avant la considération de ses propres intérêts". L'esprit fondamental hors duquel surgit ce type d'activité est le contraire de l'égotisme et nous l'appelons 'idéalisme'. Par ce mot nous voulons signifier la volonté de l'individu de faire des sacrifices à sa communauté et à ses compatriotes...L'Aryen doit sa position dans le monde à ce type de mentalité. Et le monde est le débiteur de l'esprit aryen qui a développé le concept d'"humanité"; car c'est de son esprit seulement que la force créative est survenue qui, d'un façon unique, a combiné le pouvoir musculaire avec un intellect de première classe et a ainsi pu créer les monuments de la civilisation humaine. Certains de nos états les plus Chrétiens furent fondés sur ce même principe du "service à la prospérité commune", qui est la signification même de "Commonwealth. »
p. 239 :
« L'homme qui aime sa nation peut prouver la sincérité de ses sentiments uniquement en étant prêt à faire des sacrifices pour le bien de la nation. Il n'existe pas de sentiment national dirigé vers les intérêts personnels. Et il n'existe pas de nationalisme comprenant seulement certaines classes. Crier des "hourra" ne prouve rien et ne donne pas le droit de se faire appeler nationaliste si derrière ces cris il n'y a pas de préoccupation sincère pour la conservation du bien-être de la nation.
On peut être fier de son peuple seulement s'il ne reste aucune classe dont on puisse avoir honte. Lorsqu'une moitié d'une nation est plongée dans la misère et abattue par la détresse, ou même dépravée ou dégénérée, cette nation présente une image tellement peu plaisante que personne ne pourrait être fier d'en faire partie. C'est uniquement lorsqu'une nation est solide en tous ses membres, physiquement et moralement, que la joie d'en faire partie peut véritablement être intensifiée jusqu'au sentiment suprême que nous appelons fierté nationale. Mais cette fierté, dans sa forme la plus haute, ne peut être ressentie que par ceux qui connaissent la grandeur de leur nation. Il est impossible pour des étrangers de partager ces sentiments avec une nation hôte. Les étrangers sont toujours tournés vers les intérêts de leur propre race, aux dépends de la nation hôte. Tous les étrangers admis dans ce pays (les U.S.A.) depuis les années 1960, en parallèle avec l'élévation du nègre dans la société en tant que soidisant "égal", a seulement servi à la destruction de la nation. »
Il y a d'autres commentaires de ce type tout le long de "Mein Kampf". Ces attitudes ne sont PAS trouvées dans la poésie germanique, ou en tous cas je n'en ai pas trouvé et je pense qu'il serait difficile pour quelqu'un d'en trouver des exemples convaincants. Ce que j'ai vu dans les Eddas, les Niebelungenlied et autres travaux, était une emphase de glorification personnelle et d'enrichissement et une volonté de se marier avec ceux d'autres nations et/ou d'autres races s'il existait une perception d'en tirer des bénéfices dans les relations diplomatiques et commerciales. C'est entièrement évident dans les Niebelungenlied, où la princesse Kriemhild est mariée à Attila le Hun après le meurtre de son mari Siegfried. La suite en anglais sur : http://mk.christogenea.org/hitlerchristian
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