Les Juifs et les Arabes sontde la semence du serpent (1 partie)
par Clifton A. Emahiser
Vous êtes libres de copier ce texte, mais pas de l’éditer.
Ceci est la suite de ma brochure intitulée Arabes, amis ou ennemis? J’ai compilé cette brochure grâce à l’aide de William Finck et de la lettre qu’il m’adressa le 6 août 2006, dans laquelle Bill déclare : «Comme vous le savez, c’est ce que j’ai écrit sur la situation en Palestine, et qui reflète ma ferme position sur ce sujet». Si vous désirez connaître l’entièreté de cet article, vous devriez en obtenir une copie. Dans cet essai concernant les arabes, il a été clairement démontré que les arabes sont aussi sataniques que les juifs. C’est ce sujet que je vais adresser dans ce pamphlet.
Un de mes amis a effectué une recherche sur l’internet pour vérifier ce qu’il pourrait trouver sur la génétique des arabes en relation avec les juifs. Son courriel dit :
«J’ai tiré quelques sources d’information qui, je l’espère, pourrons vous aider dans votre discussion sur les Arabes. Certaines de ces sources d’information, discutant de la similarité entre l’ADN kénien (‘‘juif’’) et l’ADN des Palestiniens (Arabes) sont très intéressantes! Vous pouvez trouver des sources supplémentaires en cherchant sur un moteur de recherche avec les mots-clés combinés ‘‘génétique’’, ‘‘juifs’’, ‘‘arabes’’ et ‘‘adn’’».
Cet ami m’envoya les adresses de trois sites web afin de vérifier, et bien que les preuves scientifiques sont tout-à-fait accablantes à la fois pour les juifs et pour les arabes, certaines suppositions, conjectures et abus de langage, qui ne sont pas scientifiques, font que ces sources ne correspondent pas entièrement avec l’Histoire ou avec les Écritures. Cet article sera donc rédigé comme un examen critique ; mais en ce qui concerne les preuves liées à l’ADN qui sont présentées par ces sources, nous pouvons difficilement remettre en question leur véracité. Je citerai ce qui suit comme cela fut présenté, et vous, le lecteur, vous pourrez juger par vous-même ce qu’il faut accepter ou rejeter. En conclusion, je ferai part de mes propres observations. Comme pour toute bonne source, celles-ci ne sont pas entièrement dépourvues d’erreurs.
Sur ce site web, j’ai trouvé :
«Génétique sémitique : grâce à une nouvelle technique basée sur le chromosome mâle Y, les biologistes ont retracé la diaspora des populations juives d’après la dispersion qui commença en 586 av. JC et qui donna les communautés d’Europe et du Moyen-Orient. [‘‘génétique sémitique’’ : abus du terme ‘‘sémitique’’]
«Les analyses apportent un témoignage génétique sur le fait que ces communautés ont, de façon remarquable, gardé leur identité génétique séparée de leurs populations hôtes, une preuve du nombre relativement peu élevé de mariages et de conversions au Judaïsme pendant tous ces siècles. Les Juifs, les Palestiniens et les Syriens partagent le même lien génétique. [les commentaires entre crochets sont de moi]
«Une autre découverte, paradoxale mais pas vraiment surprenante, est que, à l’aune du chromosome Y, les communautés juives du monde, non seulement se ressemblent l’une l’autre de très près, mais elles sont également très proches des communautés palestinienne, syrienne et libanaise, suggérant que toutes ces communautés descendent d’une population ancestrale commune qui habitait au Moyen-Orient il y a quelque quatre mille ans.
«Le docteur Lawrence H. Schiffman, président du Département d’Études Hébraïques et Judaïques de l’université de New York, déclara que cette étude correspond aux évidences historiques selon lesquelles les Juifs sont originaires du Proche-Orient ainsi qu’aux évidences bibliques suggérant qu’il y avait une grande variété de familles et de types dans la population originelle. Il dit aussi que cette découverte causerait ‘‘beaucoup de discussions sur la relation entre les preuves scientifiques et la manière dont nous évaluons des anciennes positions académiques et religieuses personnelles’’, comme la question de savoir qui est un Juif.
«L’étude, rapportée dans les Proceedings of the National Academy of Sciences d’aujourd’hui, a été conduite par le docteur Michael F. Hammer de l’université d’Arizona, avec des collègues aux États-Unis, en Italie, en Israël, en Angleterre et en Afrique du Sud. Les résultats s’accordent avec l’histoire et la tradition juive et réfute des théories comme celle qui affirme que les communautés juives consistent principalement en des convertis d’autres foi, ou bien qu’ils sont des descendants des Khazars, une tribu médiévale turque qui adopta le Judaïsme.
«L’analyse du docteur Hammer et de ses collègues est basée sur le chromosome Y, qui passe inaltéré de père en fils. Tôt dans l’évolution humaine, tous les chromosomes Y, sauf un, furent perdus, car leurs enfants n’avaient aucun enfant ou seulement des filles, et donc tous les chromosomes Y d’aujourd’hui descendent de cet individu génétique Adam qui, estime-t-on, vivait il y a quelques 140.000 ans. [?]
«En principe, tous les hommes devraient donc porter une séquence identique de lettres d’ADN sur leur chromosome Y, mais en fait des erreurs se sont parfois produites, et du fait que chaque erreur est alors répétée à travers les générations suivantes, les lignées-filles d’erreurs forment un arbre familial enraciné dans l’Adam originel.
«Ces variantes orthographiques se trouvent dans de l’ADN qui n’est pas impliqué dans les gènes et qui n’ont donc pas d’effet sur le corps. Mais le type et l’abondance des lignées dans chaque population servent de signature génétique par laquelle on peut comparer différentes populations.
«Se basant sur ces variations, le docteur Hammer identifia 19 variations dans l’arbre familial du chromosome Y. La population ancestrale du Moyen-Orient, de laquelle les Arabes et les Juifs descendent, était un mélange d’hommes provenant de huit de ces lignées.
«Parmi les contributeurs majeurs à la population ancestrale arabo-juive, il y avait des hommes qui portaient ce que le docteur Hammer appelle la lignée ‘‘Med’’. Ce chromosome Y est trouvé sur le pourtour de la Mer Méditerranée et en Europe, et il peut avoir été dispersé par les inventeurs néolithiques de l’agriculture ou peut-être par les voyages de peuples marins comme les Phéniciens. [note : plutôt par les arabes et leurs esclaves amenés en Europe]
«Une autre lignée commune dans le pool génétique arabo-juif se trouve parmi les Éthiopiens d’aujourd’hui et peut avoir atteint le Moyen-Orient par des hommes voyageant le long du Nil. Mais il manque au juif éthiopien contemporain certaines des autres lignées que l’on retrouve dans les communautés juives, et dans l’ensemble, il ressemble plus à l’Éthiopien non Juif qu’à d’autres populations juives, au moins en termes de motifs chromosomiques Y. [juifs mauvaises figues d’Éléphantine dispersés en Éthiopie?]
«Le motif ancestral de lignées se reconnaît aujourd’hui dans les populations arabes et juives mais est distinct de celui des populations européennes, et les deux groupes diffèrent fortement des Africains sub-sahariens.
«Chaque communauté arabe ou juive possède son propre genre de motif ancestral, reflétant leurs histoires génétiques différentes. Les Juifs romains possèdent un motif assez similaire à ceux des Ashkénazes, la communauté juive d’Europe de l’Est. Le docteur Hammer déclare que la découverte s’accorde avec l’hypothèse selon laquelle les Juifs romains étaient les ancêtres des Ashkénazes. Malgré la longue période de résidence des Juifs ashkénazes en Europe, leur signature Y est restée distincte de celle des Européens non-Juifs.
«Sur la base de la supposition selon laquelle 80 générations se sont passées depuis la fondation de la population ashkénaze, le docteur Hammer et ses collègues calculent que le taux de mélange génétique avec des Européens a été de moins d’un demi-pourcent par génération.
«La loi juive, qui retrace environ 2.000 ans du passé, déclare que l’affiliation juive se détermine sur l’ancestralité maternelle, et donc l’étude du chromosome Y adresse la question de savoir combien d’hommes non-Juifs ont contribué à la diversité génétique juive.
«Le docteur Hammer fut surpris de constater à quel point cette contribution fut faible : ‘‘Il se peut que, où que se soient trouvés les Juifs, ils étaient très fortement isolés’’, dit-il. L’affinité génétique très proche entre Juifs et Arabes, du moins à l’aune du chromosome Y, est reflétée dans le récit de la Genèse, lorsque Abraham engendra Ismaël de la servante de sa femme, Agar, et lorsque Sara fut à même d’enfanter, d’Isaac. Bien que les musulmans aient une version différente de cette histoire, ils regardent Abraham et Ismaël comme des patriarches, exactement comme le font les Juifs avec Abraham et Isaac. — Nicholas Wade, New York Time, mai 2000».
Nicholas Wade dit : «Ce chromosome Y est trouvé sur le pourtour de la Mer Méditerranée et en Europe, et il peut avoir été dispersé par les inventeurs néolithiques de l’agriculture ou peut-être par les voyages de peuples marins comme les Phéniciens». C’est là une pure spéculation de la part de Wade, car ni les juifs ni les arabes ne furent jamais des agriculteurs ni des marins.
Wade dit encore : «… Les Juifs romains possèdent un motif assez similaire à ceux des Ashkénazes, la communauté juive d’Europe de l’Est. Le docteur Hammer déclare que la découverte s’accorde avec l’hypothèse selon laquelle les Juifs romains étaient les ancêtres des Ashkénazes. Malgré la longue période de résidence des Juifs ashkénazes en Europe, leur signature Y est restée distincte de celle des Européens non Juifs».
Tout dépend ici de ce que considère le docteur Hammer comme étant des «Juifs romains». Il ne se réfère sûrement pas aux juifs de l’ancien Empire Romain à l’ouest. S’il se réfère à l’Empire Romain de l’est, alors oui, cela peut être relié au déclin de Rome jusqu’à la chute de Constantinople en 1453, quand la ville tomba aux mains des turcs et des arabes, après quoi les juifs les suivirent dans la cité.
Le docteur Hammer observe également : «La loi juive, qui retrace environ 2.000 ans du passé, déclare que l’affiliation juive se détermine sur l’ancestralité maternelle, et donc l’étude du chromosome Y adresse la question de savoir combien d’hommes non-Juifs ont contribué à la diversité génétique juive».
Cette déclaration du docteur Hammer est un point crucial. Tous les juifs retracent leur lignée par leur mère, à travers un nombre infini de générations. Tous les vrais Israélites retracent leur ancestralité par leur père à travers un nombre incalculable de générations! Cela devrait mettre la puce à l’oreille de tous ceux qui diffusent le mensonge selon lequel les juifs sont des Israélites!
Ensuite, le docteur Hammer fait cette supposition gratuite : «L’affinité génétique très proche entre Juifs et Arabes, du moins à l’aune du chromosome Y, est reflétée dans le récit de la Genèse, lorsque Abraham engendra Ismaël de la servante de sa femme, Agar, et lorsque Sara fut à même d’enfanter, d’Isaac».
Il serait effectivement très surprenant que les juifs et les arabes ne possèdent pas quelque affinité génétique avec Abraham, mais cela ne rend pas compte de leur affinité génétique avec les Syriens, Palestiniens, Libanais, Khazars, Éthiopiens et Turcs. De plus, cela ne rend pas compte non plus du fait que les juifs et les arabes ne possèdent aucun chromosome commun avec les Européens Blancs d’Europe, qui sont les vrais Israélites et les descendants légitimes pur-sang d’Abraham, d’Isaac et de Jacob!
Du site ce site web, nous lisons ce qui suit :
«Résumé : Il fut procédé à une analyse à haute résolution de l’haplotype du chromosome Y sur 143 Israéliens et Arabes musulmans palestiniens non reliées paternellement (Arabes I&P) en cherchant sur 11 polymorphismes binaires et six loci microsatellites. Deux haplotypes fréquents furent trouvés parmi les 83 détectés : l’haplotype modal des Arabes I&P (~14%) était dispersé sur toute la région alors que son voisin microsatellite à une étape, l’haplotype modal de l’échantillon galiléen (~8%) était principalement restreint dans la région nord. Une substructure géographique chez les Arabes fut observée dans les hauteurs de Samarie et de Judée. La variation du chromosome Y chez les Arabes I&P fut comparée à celle chez les Juifs Ashkénazes et Séfarades, ainsi qu’à celle d’individus du nord du Pays de Galles.
«Résumé : Au niveau de l’haplogroupe défini par les polymorphismes binaires seuls, la distribution du chromosome Y chez les Arabes et les Juifs se révéla similaire mais pas identique. Au niveau de l’haplogroupe déterminé à la fois par les marqueurs binaires et microsatellitaires, un motif plus détaillé fut observé. Des réseaux microsatellitaires à une étape d’haplotypes arabes et juifs révélèrent un pool commun sur de larges portions des chromosomes Y, suggérant une ancestralité commune relativement récente. Les deux haplotypes modaux chez les Arabes I&P étaient fortement liés à l’haplotype le plus fréquent chez les Juifs (l’haplotype modal Cohen). Cependant, le clade Arabe I&P qui inclut les deux haplotypes modaux arabes (et qui constituent 32% des chromosomes arabes) se trouve à une très basse fréquence parmi les Juifs, ce qui reflète une divergence ou un mélange avec d’autres populations».
Extrait d’un autre site :
«Les Palestiniens, cependant, diffèrent d’une certaine façon des autres Arabes. comme le rapportait le site web du Harper’s Magazine, une étude montra que les Juifs et les Palestiniens possèdent une ancestralité commune si récente qu’il est hautement probable qu’au moins certains Palestiniens descendent en réalité de Juifs [3]. Une autre étude réalisée par l’université de New York confirma une similarité remarquable entre les gènes juifs et palestiniens …
«Selon plusieurs autres études, les Palestiniens et les Juifs sont génétiquement plus proches les uns des autres qu’ils ne le sont, chacun d’entre eux, des Arabes d’Arabie ou des Européens [5]. Une étude sur la surdité congénitale identifia un allèle limité aux Palestiniens et aux Juifs d’origine ashkénaze (ceux qui vivaient en Europe dans les siècles récents), suggérant une origine commune. De plus, le polymorphisme du chromosome Y est très similaire parmis les Palestiniens et les Juifs Séfarades [6]. Tandis que les études contemporaines montrent beaucoup de similarités et que la ressemblance génétique puisse être utilisée afin de confirmer les affirmations des deux côtés de l’opposition Israélienne-Palestienne …
«… Plusieurs études ont montré que les Palestiniens possèdent plus de sang européen que ce que l’on trouve habituellement chez les Arabes. Cela peut s’expliquer par les Croisades et l’établissement d’un Royaume des Croisés dans les temps médiévaux. Il est hautement probable qu’au moins un certain pourcentage de la population palestinienne se soit mélangée avec des Européens, soit par des mariages soit par des viols de femmes arabes par les Européens aussi bien que de femmes européennes par des Arabes. De plus, des villes constituées d’une population palestinienne significative, comme par exemple Bethléem, Nazareth et Jérusalem, sont des sites possédant de nombreux points de repères chrétiens qui apportent un grand nombre de touristes européens. Ceci peut également avoir joué un rôle dans la grande proportion de gènes européens que l’on trouve chez les Palestiniens».
Source : Centre Médical et École de Médecine de l’université de New York ; date : 9 mai 2000 :
«Les Juifs sont les frères génétiques des Palestiniens, Syriens et Libanais. Si un héritage commun amenait la paix, alors peut-être la longue histoire du conflit au Moyen-Orient aurait été résolue il y a bien des années, car, selon une nouvelle étude scientifique, les Juifs sont les frères des Palestiniens, des Syriens et des Libanais, et ils partagent tous une descendance génétique commune qui remonte à des milliers d’années …
«Les chercheurs analysèrent le chromosome Y, qui se transmet habituellement inchangé de père en fils, de plus de 1.000 individus répartis sur la planète. <Au long de l’Histoire humaine, des altérations se sont produites dans la séquence des bases chimiques qui constituent l’ADN de ce que l’on appelle le chromosome mâle, laissant des variations qui peuvent être détectées grâce aux techniques modernes en génétique>. Des populations reliées génétiquement portent les mêmes variations spécifiques. Grâce à ce fait, les scientifiques peuvent retracer la descendance de populations importantes et déterminer leurs ancêtres communs. [Entre <>, ce que je considère comme de la spéculation]
«Des régions spécifiques du chromosome Y furent analysées sur 1.371 hommes de 29 populations différentes réparties dans le monde, incluant des Juifs et des non-Juifs du Moyen-Orient, d’Afrique du Nord, d’Afrique sub-saharienne et d’Europe.
«L’étude, publiée dans l’édition du 9 mai des Proceedings of the National Academy of Sciences, permit de trouver que des hommes juifs partagent un ensemble commun de signatures génétiques avec des non-Juifs du Moyen-Orient, incluant des Palestiniens, des Syriens et des Libanais, et ces signatures divergent de façon significative de celle d’hommes non-Juifs en dehors de cette région. Par conséquent, les Juifs et les Arabes se partagent un ancêtre commun et sont plus fortement apparentés l’un à l’autre que les non-Juifs d’autres parties du monde …
«Les auteurs de cette étude sont : docteur Ostrer de l’École de Médecine de l’université de New York, Michael F. Hammer, Alan J. Redd, Elizabeth T. Wood, M. Roxane Bonner, Hamdi Jarjanazil et Tanya Karafet de l’université d’Arizona, à Tucson, Silvana Santachlara-Benerecetti de l’université de Pavie en Italie, Ariella Oppenheim de l’Université Hébreue de Jérusalem, en Israël, Mark A. Jobling de l’université de Leicester, Angleterre, Trefor Jenkins de l’université de Wiwatersrand, Johannesbourg, Afrique du Sud et Batsheva Bonne-Tamar de l’université de Tel-Aviv, Israël». [erreurs historiques non adressées ici]
On ne peut pas pleinement comprendre l’identité raciale des arabes et des juifs à moins de comprendre l’histoire de l’Égypte de 639 après JC jusqu’à l’époque de Napoléon Ier en 1798. L’histoire de l’Égypte durant cette période est essentiellement l’histoire du Moyen-Orient tout entier. Genghis Khan, dans ses exploits, laissa, sur les territoires qu’il conquit, une composante génétique mongole dans les populations. L’Égypte, durant cette période, se trouva placée sous diverses puissances. En 639 ap. JC, les arabes envahirent l’Égypte et se retrouvèrent au pouvoir. Puis vinrent les Fatimides en 909 ap. JC. Ensuite apparurent les Ayyoubides en 1174, puis en 1517 vinrent les Mamelouks, suivis par les Ottomans lorsque l’Égypte était gouvernée d’Istanbul. Si vous ne comprenez pas l’histoire du Moyen-Orient pendant cette période, ne prétendez pas tout savoir sur les arabes et les juifs d’aujourd’hui!
Au cours du treizième siècle, Genghis Khan vendit une compagnie d’esclaves au Sultan d’Égypte, qui était composée de Turcs et de Circassiens (ou Tcherkesses, peuple qui habitait le Caucase et qui ne doit pas être confondu avec les Caucasiens Blancs). Cette compagnie était destinée à devenir les gardes du corps du Sultan et ils étaient aussi entraînés comme des soldats. Bientôt, les Mamelouks renversèrent le Sultan d’Égypte et placèrent leur propre sultan au pouvoir. Les sultans mamelouks envahirent alors l’Asie Mineure, la Syrie et l’île de Chypre. À la suite de ces exploits arabes et turcs, la population résultante était multiraciale.
Un commentateur ajouta ce qui suit aux preuves génétiques :
«Á partir de 1301, les lois discriminatoires se firent plus précises, les communautés déclinèrent et vers la fin du 15e siècle, moins de 500 Juifs restaient en Égypte. Les Juifs qui furent expulsés d’Espagne commencèrent à arriver en 1492 et s’organisèrent en communautés séparées des Mustarabes, les Juifs locaux. Au cours du temps, les deux communautés se rejoignirent».
- Log in to post comments