Les Paraboles sur la Race
par William Finck Christogenea.org
La parabole du grain de moutarde
Matthieu 13:31-32 :
« 31Il leur proposa une autre parabole, disant : Le royaume des cieux est semblable à un grain de moutarde qu'un homme prit et sema dans son champ : 32lequel est, il est vrai, plus petit que toutes les semences ; mais quand il a pris sa croissance, il est plus grand que les herbes et devient un arbre, de sorte que les oiseaux du ciel viennent et demeurent dans ses branches ».
Notre race adamique trouve ses origines dans huit personnes qui survécurent au Déluge, et, à partir de là, bien des siècles plus tard, ceux qui ont grandi en beaucoup de nations, notre branche des Israélites-Saxons de la race adamique descendit d'à peine 75 individus qui s'en allèrent avec le patriarche Jacob en Égypte. Nous étions certainement « plus petit que toutes les semences ».
En ce qui concerne les « oiseaux du ciel », vous devez savoir que les races non-Blanches ont pour origine – en partie – les « anges rebelles », ce qui est rendu évident en étudiant les livres apocryphes de Hénoch ainsi que les épîtres de Jude et de Pierre. Qui tente donc de forcer son chemin dans le Royaume de Yahweh, sinon les « oiseaux du ciel » et autres sortes de volailles, les races non-Blanches ? Nous devrions y réfléchir.
La parabole du filet
Matthieu 13:47-50 :
« 47Encore, le royaume des cieux est semblable à un filet jeté dans la mer et rassemblant [des poissons] de toute sorte ; 48et quand il fut plein, ils le tirèrent sur le rivage, et s'asseyant, ils mirent ensemble les bons dans des vaisseaux, et jetèrent dehors les mauvais. 49Il en sera de même à la consommation du siècle : les messagers sortiront, et sépareront les méchants du milieu des justes, 50et les jetteront dans la fournaise de feu : là seront les pleurs et les grincements de dents ».
Ici, Yahshua Christ prophétise l'« universalisme » : la croyance que des hominidés de toute espèce peuvent d'une manière ou d'une autre entrer dans le Royaume des cieux ! On nous dit ici que seule la bonne race est gardée, mais les autres ne sont même pas rejetées à la mer mais sont plutôt laissées sur le rivage pour sécher au Soleil, mourir et pourrir ! Oui, le mot que la plupart des versions traduisent par « sorte » est en fait race : il ne s'agit PAS simplement d'une variété, c'est-à-dire de croyants et non-croyants ou quoique ce soit de ce genre.
La parabole du bon grain et de l'ivraie expliquée
Matthieu 13:36-43 :
« 36Alors, ayant congédié les foules, il entra dans la maison ; et ses disciples vinrent à lui, disant : Expose-nous la parabole de l'ivraie du champ. 37Et lui, répondant, leur dit : Celui qui sème la bonne semence, c'est le fils de l'homme ; et le champ, c'est le monde ; 38et la bonne semence, ce sont les fils du royaume ; et l'ivraie, ce sont les fils du méchant ; 39et l'ennemi qui l'a semée, c'est le diable ; et la moisson, c'est la consommation du siècle ; et les moissonneurs sont des anges. 40Comme donc l'ivraie est cueillie et brûlée au feu, il en sera de même à la consommation du siècle. 41Le fils de l'homme enverra ses anges, et ils cueilleront de son royaume toutes les offenses et ceux qui commettent l'iniquité, 42et ils les jetteront dans la fournaise de feu : là seront les pleurs et les grincements de dents. 43Alors les justes resplendiront comme le soleil dans le royaume de leur Père. Qui a des oreilles pour entendre, qu'il entende ».
La plantation de la « bonne semence » ne peut avoir eu lieu que lorsque Yahweh créa Adam, comme on le lit dans la Genèse. Yahshua Christ peut affirmer l'avoir fait Lui-même, car Il est en fait Yahweh en personne. L'ennemi – le diable, la faux accusateur – a planté l'ivraie par la séduction d'Ève et aussi plus tard, quand nous voyons ce même mélange de races opérant dans la Genèse chapitre 6.
Sur les pleurs et les grincements de dents
Luc 13:22-30 :
« 22Et il allait par les villes et par les villages, enseignant, et poursuivant son chemin vers Jérusalem. 23Et quelqu'un lui dit : Prince, ceux qui doivent être préservés sont-ils en petit nombre ? 24Et il lui dit : Luttez pour entrer par la porte étroite ; car beaucoup, je vous le dis, chercheront à entrer et ne pourront pas. 25Dès que le maître de la maison se sera levé, et aura fermé la porte, et que vous vous serez mis à vous tenir dehors et à heurter à la porte, en disant : Maître, ouvre-nous ! Et que, répondant, il vous dira : Je ne vous connais pas [ni ne sais] d'où vous êtes ; 26alors vous vous mettrez à dire : Nous avons mangé et bu en ta présence, et tu as enseigné dans nos rues. 27Et il dira : Je vous dis, je ne vous connais pas, [ni ne sais] d'où vous êtes ; retirez-vous de moi, vous tous, ouvriers d'injustice. 28Là seront les pleurs et les grincements de dents, quand vous verrez Abraham et Isaac et Jacob et tous les prophètes dans le royaume de Yahweh, mais vous, jetés dehors. 29Et il en viendra d'orient et d'occident, et du nord et du midi ; et ils s'assiéront dans le royaume de Yahweh. 30Et voici, ceux qui sont derniers seront les premiers, et ceux qui sont premiers seront les derniers ».
La parabole de la fête des noces
Avant de parler de cette parabole, il est nécessaire de noter les endroits où il est expliqué que Yahshua Christ est appelé l'Époux :
Matthieu 9:14-15 :
« 14Alors les étudiants de Jean viennent à lui, disant : Pourquoi nous et les Pharisiens jeûnons-nous souvent, et tes étudiants ne jeûnent pas ? 15Et Yahshua leur dit : Les fils de la chambre nuptiale ne peuvent pas avoir faim tant que l'époux est avec eux. Mais des jours viendront, lorsque l'époux leur aura été ôté ; et alors ils jeûneront ».
Jean 3:25-30 :
« 25Il y eut donc une discussion entre quelques-uns des étudiants de Jean et des Judéens touchant la purification. 26Et ils vinrent à Jean, et lui dirent : Rabbi, celui qui était avec toi au-delà du Jourdain, à qui tu as toi-même rendu témoignage, voilà, il baptise, et tous viennent à lui. 27Jean répondit et dit : Un homme ne peut rien recevoir, à moins qu'il ne lui soit donné du ciel. 28Vous-mêmes, vous me rendez témoignage que j'ai dit : Ce n'est pas moi qui suis le Christ, mais je suis envoyé devant lui. 29Celui qui a l'épouse est l'époux ; mais l'ami de l'époux, qui assiste et l'entend, est tout réjoui à cause de la voix de l'époux ; cette joie donc, qui est la mienne, est accomplie. 30Il faut que lui croisse, et que moi je diminue ».
Révélation 19:6-7 :
« 6Et j'ouïs comme une voix d'une foule nombreuse, et comme une voix de grandes eaux, et comme une voix de forts tonnerres, disant : Louez Yah! Car le Prince Yahweh le Tout-puissant, est entré dans son règne. 7Réjouissons-nous et tressaillons de joie, et donnons-lui gloire ; car les noces de l'Agneau sont venues ; et sa femme s'est préparée ».
Pour cette raison, Paul dit en II Corinthiens 11:2 :
« Car je vous admire avec le zèle de Yahweh ; car je vous ai fiancés à un seul mari, pour vous présenter au Christ comme une vierge chaste ».
Sachant que le Christ est l'Époux, voici la parabole des Noces du Mariage :
Matthieu 22:1-14 :
« 1Et Yahshua, répondant, leur parla encore en paraboles, disant : 2Le royaume des cieux a été fait semblable à un roi qui fit des noces pour son fils, 3et envoya ses esclaves pour convier ceux qui étaient invités aux noces ; et ils ne voulurent pas venir. 4Il envoya encore d'autres esclaves, disant : Dites aux conviés : Voici, j'ai apprêté mon dîner ; mes taureaux et mes bêtes grasses sont tués et tout est prêt : venez aux noces. 5Mais eux, n'en ayant pas tenu compte, s'en allèrent, l'un à son champ, et un autre à son trafic ; 6et les autres, s'étant saisis de ses esclaves, les outragèrent et les tuèrent. 7Et le roi, [l'ayant entendu, en] fut irrité ; et ayant envoyé ses troupes, il fit périr ces meurtriers-là et brûla leur ville. 8Alors il dit à ses esclaves : Les noces sont prêtes, mais les conviés n'en étaient pas dignes ; 9allez donc dans les carrefours des chemins, et autant de gens que vous trouverez, conviez-les aux noces. 10Et ces esclaves-là, étant sortis, [s'en allèrent] par les chemins, et assemblèrent tous ceux qu'ils trouvèrent, tant mauvais que bons ; et la [salle] des noces fut remplie de gens qui étaient à table. 11Et le roi, étant entré pour voir ceux qui étaient à table, aperçut là un homme qui n'était pas vêtu d'une robe de noces. 12Et il lui dit : Ami, comment es-tu entré ici, sans avoir une robe de noces ? Et il eut la bouche fermée. 13Alors le roi dit aux serviteurs : Liez-le pieds et mains, emportez-le, et jetez-le dans les ténèbres de dehors : là seront les pleurs et les grincements de dents. 14Car il y a beaucoup d'appelés, mais peu d'élus ».
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•.Le roi est Yahweh Lui-même.
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•.Les gens qui étaient invités à la fête et qui ne vinrent pas sont les apostats en Judée : les Israélites (pas les Édomites) qui avaient la Loi et les prophètes et auraient du venir, mais qui suivirent les Pharisiens et les Sadducéens dans l'incroyance.
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•.Les armées qui brûlèrent leur ville sont les Romains qui détruisirent Jérusalem et une grande partie du reste de la Judée, de 65 à 70 après J.C.
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•.Les serviteurs envoyés dehors pour rassembler d'autres invités à la fête sont les apôtres et les pasteurs envoyés aux brebis perdues de la Maison d'Israël : les nations dispersées israélites.
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•.L'homme sans robe de noces. Le roi envoya ses serviteurs afin de rassembler des gens de la rue : des gens qui n'avaient pas la moindre idée qu'ils allaient participer à une noce de mariage lorsqu'ils quittèrent leur maison ce jour-là ! Le « vêtement de noce » ne peut donc être un article d'habillement et pourtant l'homme sans cette robe fut reconnu aisément par le roi, au premier coup d'œil ! La robe de noces ne peut donc être que cette peau adamique avec laquelle nous sommes nés. Les vêtements de noce sont, bien sûr, blancs !
Les brebis et les chèvres
Matthieu 25:31-46 :
« 31Or, quand le fils de l'homme viendra dans son éclat, et tous les messagers avec lui, alors il s'assiéra sur le trône de sa gloire, 32et toutes les nations seront assemblées devant lui ; et il séparera les uns d'avec les autres, comme un berger sépare les brebis d'avec les chèvres ; 33et il mettra les brebis à sa droite et les chèvres à sa gauche. 34Alors le roi dira à ceux qui seront à sa droite : Venez, les bénis de mon Père, héritez du royaume qui vous est préparé dès la fondation de la société ; 35car j'ai eu faim, et vous m'avez donné à manger ; j'ai eu soif, et vous m'avez donné à boire ; j'étais étranger, et vous m'avez accueilli ; 36j'étais nu, et vous m'avez vêtu ; j'étais infirme, et vous m'avez visité ; j'étais en prison, et vous êtes venus auprès de moi. 37Alors les justes lui répondront, disant : Maître, quand est-ce que nous t'avons vu avoir faim, et que nous t'avons nourri ; ou avoir soif, et que nous t'avons donné à boire ? 38Et quand est-ce que nous t'avons vu étranger, et que nous t'avons accueilli ; ou nu, et que nous t'avons vêtu ? 39Et quand est-ce que nous t'avons vu infirme, ou en prison, et que nous sommes venus auprès de toi ? 40Et le roi, répondant, leur dira : En vérité, je vous dis : En tant que vous l'avez fait à l'un des plus petits de mes frères, vous me l'avez fait à moi. 41Alors il dira aussi à ceux qui seront à sa gauche : Allez-vous-en loin de moi, maudits, dans le feu éternel qui est préparé pour le faux accusateur et ses messagers ; 42car j'ai eu faim, et vous ne m'avez pas donné à manger ; j'ai eu soif, et vous ne m'avez pas donné à boire ; 43j'étais étranger, et vous ne m'avez pas accueilli ; nu, et vous ne m'avez pas vêtu ; infirme et en prison, et vous ne m'avez pas visité. 44Alors eux aussi répondront, disant : Maître, quand est-ce que nous t'avons vu avoir faim, ou avoir soif, ou être étranger, ou nu, ou infirme, ou en prison, et que nous ne t'avons pas servi ? 45Alors, il leur répondra, disant : En vérité, je vous dis : En tant que vous ne l'avez pas fait à l'un de ces plus petits, vous ne l'avez pas fait non plus à moi. 46Et ceux-ci s'en iront dans la punition éternelle, et les justes, dans la vie éternelle ».
Voici des passages de l'Ancien Testament éclaircissant cette parabole :
Ézéchiel, prophétisant sur les brebis perdues, dit dans le chapitre 34 :
« 16La perdue, je la chercherai, et l'égarée, je la ramènerai, et la blessée, je la banderai, et la malade, je la fortifierai ; mais je détruirai la grasse et la forte. Je les paîtrai avec jugement. 17Mais vous, mon troupeau, - ainsi dit Yahweh, l'Éternel : Voici, je juge entre brebis et brebis, entre béliers et boucs ».
Zacharie 10:1-3 parle de l'ancien Juda, cependant cette prophétie peut aussi avoir une signification pour le futur :
« 1Demandez à l'Éternel de la pluie, au temps de la pluie de la dernière saison. L'Éternel fera des éclairs, et il leur donnera des ondées de pluie : à chacun de l'herbe dans son champ. 2Car les idoles ont dit des paroles de vanité, et les devins ont vu un mensonge, et ils ont prononcé des songes trompeurs ; ils consolent en vain. C'est pourquoi ils sont partis comme le menu bétail ; ils sont opprimés, parce qu'il n'y a point de berger. 3Ma colère s'est embrasée contre les bergers, et je punirai les boucs ; car l'Éternel des armées a visité son troupeau, la maison de Juda, et il en a fait son cheval de gloire dans la bataille ».
Il est déjà évident que les brebis et les chèvres sont deux différentes espèces, facilement reconnaissables, et que ces prophéties se réfèrent à des gens et non à des animaux. Les brebis sont le peuple d'Israël ou les autres Adamiques purs, et les chèvres tous les autres !
Dans Matthieu 25, dans la parabole des brebis et des chèvres, les brebis et les chèvres sont des nations, le mot grec étant le pluriel de genos, ou nations. Les théologiens orthodoxes essayent de nous faire croire que Matthieu 25 parle de gentils et de méchants, ou de croyants et de non-croyants, mais ce n'est pas le cas du tout. Les autres races n'ont jamais construit d'hôpitaux ou de prisons, les Hommes Blancs les ont construits pour eux ! Cette parabole nous parle de ces nations, les brebis, qui généralement font le travail de Yahweh sur cette Terre, et des autres qui ne l'ont jamais fait mais qui essayent de réclamer une part de l'héritage – du seul fait de leur existence. Il s'ensuit que le monde est divisé en deux camps : soit vous êtes une brebis, et votre futur est la vie, ou vous êtes une chèvre, et votre futur est la destruction. Que vous soyez une brebis ou une chèvre, le facteur déterminant est l'ethnos, qui est la nation – ou l'éthnicité !
Les illustrations du Royaume des Cieux
Matthieu 13:44-46 :
« 44Encore, le royaume des cieux est semblable à un trésor caché dans un champ, qu'un homme, après l'avoir trouvé, a caché ; et de la joie qu'il en a, il s'en va, et vend tout ce qu'il a, et achète ce champ-là. 45Encore, le royaume des cieux est semblable à un marchand qui cherche de belles perles ; 46et ayant trouvé une perle de très-grand prix, il s'en alla, et vendit tout ce qu'il avait, et l'acheta ».
Une fois qu'un Homme Blanc ou une Femme Blanche réalise les véritables message et aspect raciaux du Christianisme – Ancien Testament comme Nouveau – il brûle littéralement pour cela et ne recherche plus rien d'autre que le Royaume de Yahweh !
La parabole des dix vierges
Cette parabole ne parle pas vraiment de race, mais elle parle du réveil de la Race Blanche !
Matthieu 25:1-13 :
« 1Alors le royaume des cieux sera fait semblable à dix vierges qui, ayant pris leurs lampes, sortirent à la rencontre de l'époux. 2Et cinq d'entre elles étaient prudentes, et cinq folles. 3Celles qui étaient folles, en prenant leurs lampes, ne prirent pas d'huile avec elles ; 4mais les prudentes prirent de l'huile dans leurs vaisseaux avec leurs lampes. 5Or, comme l'époux tardait, elles s'assoupirent toutes et s'endormirent. 6Mais au milieu de la nuit il se fit un cri : Voici l'époux ; sortez à sa rencontre. 7Alors toutes ces vierges se levèrent et apprêtèrent leurs lampes. 8Et les folles dirent aux prudentes : Donnez-nous de votre huile, car nos lampes s'éteignent. 9Mais les prudentes répondirent, disant : [Non], de peur qu'il n'y en ait pas assez pour nous et pour vous ; allez plutôt vers ceux qui en vendent, et achetez-en pour vous-mêmes. 10Or, comme elles s'en allaient pour en acheter, l'époux vint ; et celles qui étaient prêtes entrèrent avec lui aux noces ; et la porte fut fermée. 11Ensuite viennent aussi les autres vierges, disant : Maître, maître, ouvre-nous ! 12Mais lui, répondant, dit : En vérité, je vous dis : je ne vous connais pas. 13Veillez donc, car vous ne savez ni le jour ni l'heure ».
La clé pour comprendre cette parabole est, je pense, l'huile. L'huile est souvent associée avec la souplesse ou avec la fortune, mais est aussi symbolique de la connaissance : « Il y a un trésor désirable et de l'huile dans la demeure du sage ; mais l'homme insensé les engloutit » (Proverbes 21:20). Si la lumière du corps est l'œil, alors le carburant pour cette lumière doit venir du cerveau !
Nous avons tous l'occasion, dans nos vies, de chercher ; et à ceux qui frappent, la porte est ouverte. Des dix vierges, bien que toutes aillent vers l'époux, seules cinq d'entre elles ont compris qu'il leur faudrait de l'huile ! Ces cinq-là ont étudié le Verbe et ont fait ce qu'Il dit. Les cinq autres se sont réveillées à la dernière minute, mais il était trop tard. Elles furent coincées dans Babylone (cherchant à acheter de l'huile) au retour de Yahshua ! Les Chrétiens informés, par contre, savent que Babylone est le pire des systèmes politique, économique et religieux mettant en œuvre le globalisme, le multiculturalisme et la perversité, et sauront comment ne pas être impliqué dedans, de peur de partager ses punitions !
Traduction de Luc 16:8 & 9
Luc 16:1-13, ou la parabole du régisseur injuste, est peut-être une des péricopes les plus incomprises de la Bible. La raison pour laquelle elle est si incomprise est due, je crois, aux pauvres traductions du texte des versets 8 et 9 et la parabole entière doit donc être présentée et discutée ici, même si ces deux versets vont être examinés plus en détail. J'ai traduit Luc 16:1-13 de la façon suivante :
« 1Et il dit aussi à ses étudiants : Il y avait un certain homme riche qui avait un régisseur, et il le suspectait de dilapider ses biens. 2Et l'appelant, il lui dit : Qu'est-ce que ceci que j'entends dire de toi ? Rends-moi compte de ton administration, car tu ne pourras plus administrer. 3Et le régisseur dit en lui-même : Que ferais-je, car mon maître m'enlève l'administration ? Je ne sais pas bêcher la terre et j'ai honte de mendier. 4Je sais ce que je vais faire, de façon que, quand je serai renvoyé de mon administration, je sois reçu dans leurs maisons. 5Et appelant chacun des débiteurs de son maître, il dit au premier : Combien dois-tu à mon maître ? 6Et il dit : Cent baths d'huile. Et il lui dit : Prends ton écrit, et assieds-toi vite et écris cinquante. 7Puis il dit à un autre : Et toi, combien dois-tu ? Et il dit : Cent cors de froment. Et il lui dit : Prends ton écrit et écris quatre-vingts. 8Et le maître loua le régisseur injuste parce qu'il avait agi prudemment. Car les fils de cet âge sont plus sages que les fils de lumière ne le sont pour leur propre race. 9Et je vous dis : vous ferez-vous des amis à partir de richesses injustes, afin que, dès que vous serez ruinés, ils vous reçoivent dans des habitations éternelles ? 10Celui qui est fidèle avec peu est aussi fidèle avec beaucoup, et celui qui est injuste avec peu est aussi injuste avec beaucoup. 11Si donc vous n'avez pas été fidèles avec les richesses injustes, qui vous confiera les vraies ? 12Et si, dans ce qui est à autrui, vous n'avez pas été fidèles, qui vous donnera ce qui est vôtre ? 13Nul serviteur ne peut servir deux maîtres ; car ou il haïra l'un et aimera l'autre, ou il s'attachera à l'un et méprisera l'autre : vous ne pouvez servir Yahweh et les richesses ! »
Un « régisseur » est ici un οἰκονόμος (#3623), « un qui gère une maisonnée » (An Intermediate Greek-English Lexicon Founded Upon The Seventh Edition Of Liddell & Scott's Greek English Lexicon, à partir d'ici L&S), et était généralement le serviteur en chef d'une propriété, qui supervise toutes ses opérations. Ce régisseur particulier avait dilapidé les possessions de son maître (verset 1), et ayant été découvert, et étant menacé de perdre son travail, il se demanda comment il pourrait désormais gagner sa vie (verset 3). Il concocta donc un plan pour gagner les faveurs des débiteurs de son maître et ainsi de pouvoir être reçu par eux, certainement dans le but de travailler pour eux. Il se rendit donc chez chacun d'eux et réduisit leurs dettes dans leurs livres de compte, leur conseillant d'en faire de même (versets 4-7). C'est exactement comme s'il avait volé son maître afin de corrompre les débiteurs. On ne nous dit pas précisément les réactions des débiteurs, nous pouvons donc en déduire que ceux-ci se firent les complices du régisseur. Mais d'une façon ou d'une autre, le maître découvrit les agissements du régisseur malhonnête (verset 8). Peut-être l'un de ses débiteurs a-t-il été assez honnête pour l'informer des actions du régisseur, on ne sait pas vraiment. De façon surprenante, le maître félicite le régisseur pour ce qu'il a fait, mais ce n'est pas pour la raison que la plupart des gens imaginent. Voici une note concernant le mot « race » du verset 9, un mot que la plupart des versions traduisent erronément par « génération ». Cette note est tirée de mon édition de The Records of Luke :
γενεά (1074) : « race, souche, famille » (L&S), est « race » ici, et pas, comme cela peut être dans certains contextes, « I...2. une race, génération » ou « II...2.âge, durée de la vie » ou comme nous disons : « génération ». Cela est évident même sans en appeler à une autre référence biblique, simplement d'après la phrase entière du texte de cette parabole, que je me propose d'élucider. La phrase entière, « ὄτι οἱ υἱοὶ τοῦ αἰῶνος τούτου φρονιμώτεροι ὑπὲρ τοὺς υιοὺς τοῦ φωτὸς εἰς τὴν γενεὰν τὴν ἑαυτῶν εἰσιν », ou « Car les fils de cet âge sont plus sages que les fils de lumière ne le sont pour leur propre race », sera examiné ici.
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•.ὄτι (« car ») οἱ υἱοὶ (« les fils », au nominatif et donc le sujet de la phrase).
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•.τοῦ αἰῶνος τούτου (« de cet âge », le pronom se réfère à ce qui précède). αἰῶνος est le génitif singulier de αιών (165), « âge » ici. Le mot est « une période d'existence ... un âge, génération ... un long laps de temps, un âge ... un laps défini de temps, une ère, époque, âge, période ... » (L&S). C'est la source de notre mot français « éon », et usuellement dans le N.T. infère une longue période de temps et peux donc être considéré comme équivalent à une période de plusieurs « générations », comme nous disons de nos jours. Si αιών signifie une telle longue période ici, alors γενεά doit être traduit « race », car beaucoup de générations sont nécessaires pour remplir « cet âge ». Et si αιών infère une courte durée, une seule « génération » ou ère, γενεά doit de toute façon être traduit « race », sinon le mot est redondant et devient inutile. Les traducteurs de l'A.V. (Authorized Version) doivent avoir réalisé cela, et ici (comme ils le font ailleurs) ils traduisent αἰών « monde », ce qui n'est certainement pas la bonne signification du mot ! Αἰών ne peut se référer qu'à une période de temps, pas d'espace.
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•.φρονιμώτεροι ὑπὲρ (« sont plus sages au-delà »). Le mot « sont » vient du dernier mot de l'expression, la troisième personne plurielle de εἰμί (1510), εἰσιν ou « ils sont ». Ceci est commun en Grec qui ordonne ses mots différemment du Français. ὑπὲρ est une préposition qui signifie proprement « par dessus » ou « au-delà », mais n'est pas rendu tel ici, la forme comparative de φρόνιμος (5429), « plus sage », et la conjonction « que », et donc « sont plus sages que » étant suffisant pour exprimer la signification en français.
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•.τοὺς υιοὺς (« les fils ») sont ici à l'accusatif, qui distingue le nom comme objet d'un verbe ou d'une certaine proposition, ici la proposition ύπὲρ ou « au-delà », « que » dans le texte.
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•.τοῦ φωτὸς (« de lumière »), le génitif singulier de φῶς (5457), le génitif est le cas qui exprime la possession, la source ou la mesure, et ici « les fils », le nom précédent, lui appartient, d'où « les fils de lumière ».
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•.εἰς (1519) est une préposition utilisée seulement à l'accusatif (comme τὴν γενεὰν qui suit), et est proprement « dans, et puis vers » et aussi entre autres choses « ...avec ou envers ...au regard de ... pour » (L&S), et dans certains contextes peut être traduit « dans », mais n'est pas communément « dans ». L&S donnent un exemple, où en français nous dirions « regarder dans les yeux » plutôt que l'expression littérale « vers » ou « envers » les yeux. Le « dans leurs générations » de l'A.V. Serait mieux exprimé avec ἑν (1722) et le datif, et pas avec εἰς et l'accusatif comme on le voit ici.
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•.τὴν γενεὰν τὴν ἑαυτῶν (« leur propre race »), ou littéralement « la race qui est d'eux-mêmes », les articles τὴν et γενεὰν sont tous à l'accusatif ainsi que l'objet de la préposition εἰς. Tandis que l'article τὴν est à l'accusatif singulier, le pronom ἑαυτῶν (« d'eux-mêmes », ou « leur propre » ici) est au génitif pluriel (ἑαυτοῦ, 1438) et « se réfère au sujet » (MacDonald, Greek Enchiridion, p. 104), et donc ici τὴν γενεὰν appartient à un seul parti, les « fils de cet âge », qui sont le sujet de la clause, et donc le mot γενεὰν doit encore être rendu « race » et pas « génération », puisque les fils de « cet âge » et « de lumière » sont évidemment contemporains et partagent la même période de temps. Bien que de tels mélanges de nombre et de cas sont rares, l'article τὴν est à l'accusatif singulier tandis que son nom ἑαυτῶν est au génitif pluriel. Mais ceci est fait exprès pour éviter la confusion, pour montrer la relation entre ἑαυτῶν et τὴν γενεὰν. Le résultat est qu'il n'est pas question que τὴν γενεὰν (« la race ») appartienne à ἑαυτῶν (« d'eux-mêmes »), se référant au sujet de la clause : « les fils de cet âge ».
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•.εἰσιν, le mot final ici, est à la troisième personne du pluriel du verbe « être », εἰμί (1510), et donc signifie « ils sont », ou « sont » ici. On peut protester que « sont » apparaît deux fois dans la version française, et c'est vrai. « Comme en Grec classique, dans le N.T. aussi εἰμί est très souvent omis » (Thayer's Greek-English Lexicon of the New Testament, εἰμί, VI, p. 180 col. B), et donc on doit le replacer en français aussi souvent qu'il manque en Grec, même si ce processus peut sembler subjectif.
Il doit donc être maintenant manifeste que les « fils de cet âge » et les « fils de lumière » sont bien en réalité deux races différentes, qui se sont combattues à travers les âges, juste comme Gen. 3:15 prédit qu'elles le feraient. Car l'expression « fils de lumière » et « fils de cet âge » représentant deux races différentes ne peuvent être que des métaphores de la semence de la femme et de la semence du serpent, et ces deux races sont opposées à travers le Nouveau Testament. Voir, par exemple, Matt. 13:24-30, 36-43 ; Luc 11:47-51 (où « génération » est aussi mieux traduit par « race », puisque désignant des fils et des pères à la fois proches et éloignés dans le temps dans ce contexte) ; Jean 8:31-47 ; Rom. 9:1-13, 20-23 ; Rév. 2:9 et 3:9, et ainsi de suite. Dans la Judée du premier siècle, la semence du serpent était représentée par les Juifs édomites qui descendaient d'Ésaü, ainsi que par d'autres Cananéens, ou « Arabes » (races mélangées) des régions avoisinantes. Tous ces gens furent amenés là, dans le royaume de Judée, par les Macchabées vers 130 avant J.C. et convertis au Judaïsme. Pour cette période, voir Strabon, Géographie, 16.2.34 et Josèphe, Antiquités, 13.9.1 (13:254-258) ; 13.15.4 (13:395-397) ; 15.7.9-10 (15:253-266) et Guerres 2.20.4 (2:566-568). La semence de la femme était représentée par ces Judéens qui étaient le restant des purs Israélites qui retournèrent de captivité, ainsi que ces nombreux Grecs et Romains qui étaient en fait des Israélites « perdus », étant des descendants des tribus qui avaient émigré de l'ancien Israël de 6 à 15 siècles avant le Christ. Ces deux semences sont toujours représentées dans le monde aujourd'hui, pour la plus grande partie par les peuples de descendance Blanche Nordique Européenne, fils des anciens Israélites et des autres familles adamiques et qui sont la semence de la femme, opposés aux Juifs, Arabes et autres Européens « Méditerranéens » mélangés qui descendent de Juifs et d'Arabes, qui eux-mêmes descendent des Cananéens et d'autres races non-adamiques, qui sont la semence du serpent.
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