Le discours sur le divorce
par William Finck
Comme il est indiqué dans les Évangiles, Yahshua Christ a souvent parlé des différents aspects de la loi, et la loi sur le divorce ne fait pas exception. En Matt. 5:17–48, Yahshua nous donne un sermon général sur la loi, dont le divorce fait partie et est mentionné aux versets 31–32. Plus loin, dans une conversation enregistrée en Matt. 19:1–9 et en Marc 10:1–12, il est posé à Yahshua une question spécifique sur le divorce, et à cette occasion Il se réfère à la loi de l’Ancien Testament concernant le divorce, que l’on trouve en Deut. 24:1–4. Cette loi ne se retrouve pas dans le Lévitique et ne fut certainement pas — comme le confirme Yahshua — ajoutée à la loi du Royaume en Deutéronome du fait que Yahweh approuverait le divorce : Il ne l’approuve évidemment pas. Il semble plutôt qu’elle fut ajoutée pour faire face à une réalité inévitable : la désobéissance et la dureté du cœur des hommes, faisant en sorte que les femmes dont on ne veut plus puissent chercher réparation en cas de besoin, ainsi qu’un moyen de pouvoir se remarier, étant libérées légalement de leurs anciennes obligations, et qu’elles ne craignent pas pour leur vie, étant accusées d’adultère si elles sont trouvées en compagnie d’un autre homme. Ici, cependant, l’intention n’est pas de discuter de ce type commun de divorce entre mari et femme. Sur ce sujet, la perspective chrétienne appropriée est expliquée en 1 Cor. 7:10–11, où Paul suit fidèlement les instructions de Yahshua en la matière. Yahshua Christ nous enseigne aussi sur le divorce en Luc 16:18, bien que le contexte de Sa conversation soit assez différent en cet endroit et nous révèle que dans ce cas Il ne parle pas non plus de la relation commune mari-femme.
Tiré de la version King James, Luc 16:16–18 se lit ainsi :
« 16 La loi et les prophètes [ont été] jusqu’à Jean ; à partir de ce temps le royaume de Yahweh est évangélisé et chacun s’y presse. 17 Or il est plus facile que le ciel et la terre passent, qu’il ne l’est qu’un seul trait de lettre de la loi tombe. 18 Quiconque répudie sa femme et en épouse une autre, commet adultère ; et quiconque épouse une femme répudiée par son mari, commet adultère ».
Afin de mieux comprendre la déclaration de Yahshua en Luc 16:16, examinons une déclaration similaire qu’Il fit en une autre occasion et dans une autre conversation, enregistrée en Matt. 11:12 :
« 12Mais, depuis les jours de Jean le baptiseur jusqu’à maintenant, le royaume des cieux est pris par violence, et les violents le ravissent ».
Le peuple de Judée, ceux qui étaient des vrais Israélites, attendait le Messie, car ils comprenaient la prophétie de Daniel concernant les 70 semaines (Dan. 9:24 et suivants), évidente dans les Évangiles en Jean 1:41, 4:25 et ailleurs. Pourtant, quelques décennies avant la naissance du Christ, Hérode l’Édomite devint roi de Judée par le meurtre et la corruption, et les Édomites — convertis au Judaïsme vers 130 av. JC, en compagnie d’autres Cananéens — prirent de l’importance dans le gouvernement judéen et dans la prêtrise du Temple, une histoire qui est tout-à-fait évidente dans les pages des historiens Josèphe, Eusèbe et d’autres, ainsi que dans Jean chapitre 8, Romains 9, 2 Thessaloniciens chapitre 2 et ailleurs dans le Nouveau Testament. Plus tard, Hérode le roi édomite essaye de faire assassiner l’enfant Yahshua Christ, comme il est raconté dans Matthieu chapitre 2. Les Juifs Cananéens-Édomites, niant les prophètes et la parole de Yahweh concernant Son Christ, sont ceux qui vont prendre le Royaume par la force (Matt. 11:12), rejeter le dirigeant légitime (Luc 19:11–27) et assassiner l’héritier véritable (Luc 20:9–18) dans une tentative vaine de garder le royaume et la position qu’ils ont gagnés d’une façon si impie (Jean 11:47 et suivants). Il deviendra évident, je l’espère, que le Christ, parlant de ces violents qui prendront le royaume par la force, ou de ceux qui « se sont pressés » dans le royaume, nous assurant que la loi ne peut tomber et nous rappelant Ses enseignements sur le divorce, Yahshua, donc, ne se livrait pas à un charabia et à des déclarations au hasard, changeant furtivement de sujet. Toutes ces déclarations sont en réalité intimement liées.
Yahweh était, et sera toujours, marié en tant que mari à la nation — le peuple — de la vraie Israël. Ce mariage fut initié au Mont Sinaï, comme il est enregistré en Exode chapitre 19. C’est là, sans doute, le témoignage le plus ancien du contrat prénuptial. On peut pleinement démontrer qu’Israël, en tant que nation, était et restera marié à Yahweh son Dieu, en passant en revue certaines des prophéties qui discutent de ce sujet précis.
Osée termina ses écrits prophétiques plusieurs décennies avant que les déportations des Israélites ne commencent, alors que Jéroboam, le fils de Joas, était roi d’Israël (2 Rois 14 ; Osée 1:1). Les évènements de la vie d’Osée, donnés dans les trois premiers chapitres de sa prophétie, sont représentatifs de l’expérience de Yahweh avec Israël pendant cette période. Israël, femme infidèle, sera renvoyée mais plus tard pardonnée. Une fois pardonnée, Israël sera mariée avec Yahweh pour toujours (pour confirmation, voir Osée 1:10–11 et 2:14–23, et spécialement le verset 19). Osée 1:10 est cité par Paul en Romains 9:25–26 et paraphrasé par Pierre en 1 Pierre 2:9–10, où Pierre fait aussi allusion à Exode 19:5–6, liant la relation de Yahweh avec Israël à cette première cérémonie du Mont Sinaï. En Osée 2:19, Yahweh parle à Israël sur le sujet de la restauration future de la nation : « Et je te fiancerai à moi pour toujours. . . », et en 2:20 : « et je te fiancerai à moi en vérité ; et tu connaîtras Yahweh ». Nous voyons donc qu’à cette lointaine époque, Yahweh annonce Son plan de rester marié pour toujours avec Israël, malgré l’infi- délité de la nation. Ce thème est continu dans toute la prophétie d’Osée.
Le prophète Joël, écrivant avant les déportations d’Israël, et donc au moins aussi tôt qu’Osée, présente aussi Israël comme la jeune épouse de Yahweh, et Yahweh comme le mari, en Joël 2:16–17 :
« 16Assemblez le peuple, sanctifiez la congrégation, assemblez les an- ciens, réunissez les enfants et ceux qui tètent les mamelles ; que l’époux sorte de sa chambre, et l’épouse de sa chambre nuptiale ; 17 que les sa- crificateurs, les serviteurs de Yahweh, pleurent entre le portique et l’au- tel, et qu’ils disent : “Épargne ton peuple, Ô Yahweh, et ne livre pas ton héritage à l’opprobre, en sorte que les païens règnent sur eux. Pourquoi dirait-on parmi les peuples : Où est leur Dieu ?” ».
En Joël 2:26–32 et 3:1–21, la permanence de la relation entre Yahweh et Israël, en contraste aux autres peuples de la région, est illustrée (quoique nous devons noter que Tyr et Sidon étaient habités principalement par des Israélites et que les « Grecs » en Joël 3:6 est le mot Strong #3125, Yevaniy, les descendants de ce Javan de la Gen. 10:2, qui étaient les Grecs ioniens. D’autres tribus grecques, à savoir les Danéens et les Doriens, étaient eux-mêmes des Israélites). Joël est cité en longueur par Pierre en Actes 2:17–21 (Joël 2:28–32).
Ésaïe rédigea ses prophéties durant la période des invasions assyriennes et des déportations d’Israël et de la plus grande partie de Juda, invasions qui débutèrent aux environs de 721 et se terminèrent vers 676 av. JC (2 Rois 15–19 ; 2 Chron. 26–32 ; Ésaïe 1:1). Et pourtant, même si presque tout Israël avait été déporté par les Assyriens, et Ésaïe en fut témoin, ses prophéties nous assurent que Yahweh sera marié avec Israël pour toujours. Voir Ésaïe 49:18 ; 50:1–2 ; 54:1–17 ; 55:1–5 ; 61:1–1 et 62:1–12.
En Ésaïe 50:1, nous lisons :
« 1Ainsi dit Yahweh : Où est la lettre de divorce de votre mère que j’ai renvoyée ? Ou, qui est celui de mes créanciers auxquels je vous ai vendus ? Voici, vous vous êtes vendus par vos iniquités, et à cause de vos transgressions votre mère a été renvoyée ».
Pourtant, plus loin, Israël est réconfortée :
« 5 Car celui qui t’a faite est ton mari ; son nom est Yahweh des ar- mées, et ton rédempteur, le Saint d’Israël : il sera appelé Dieu de toute la terre. 6Car Yahweh t’a appelée comme une femme délaissée et af- fligée d’esprit, et une épouse de la jeunesse qu’on a méprisée, dit ton Dieu. 7 Pour un petit moment je t’ai abandonnée, mais avec de grandes compassions je te rassemblerai » (Ésaïe 54:5–7).
et :
« 10Je me réjouirai avec joie en Yahweh, mon âme s’égaiera en mon Dieu ; car il m’a revêtu des vêtements du salut, il m’a couvert de la robe de la justice, comme un fiancé se pare de son turban et comme une fiancée s’orne de ses joyaux » (Ésaïe 61:10).
Ésaïe chapitre 62 célèbre alors le mariage renouvelé de Yahweh avec Israël, et nous y trouvons :
« 5 Car, comme un jeune homme épouse une vierge, tes fils t’épouseront, et de la joie que le fiancé a de sa fiancée, ton Dieu se réjouira de toi . . . 12 et on les appellera le peuple saint, les rachetés de Yahweh ; et toi, tu seras appelée la recherchée, la ville non abandonnée » (Ésaïe 62:5,12).
Dans le chapitre suivant, en Ésaïe 63:1, Ésaïe prophétise sur le jour de la ven- geance, et l’Édomite juif est révélé comme étant la cible de la colère de Yahweh.
Lorsque Jérémie rédigea sa prophétie, commençant aux jours du roi Josias de Juda (2 Rois 22 ; 2 Chron. 34 ; Jér. 1:1), tout Israël, excepté quelques-uns dans les cam- pagnes, ainsi que la plupart des Judaïtes, avaient déjà été emmenés captifs par les Assyriens, et seuls les habitants de Jérusalem restaient (2 Chron. 32). Pourtant Jérémie s’adresse encore à Israël et distingue Juda — le restant de Juda, puisque les autres avaient été emmenés par les Assyriens — et Jérémie nous assure qu’Is- raël continuera son mariage avec Yahweh, même si la nation a été renvoyée en punition (voir Jér. 2:32 et 3:1–25). Parlant des transgressions d’Israël, Jér. 2:32 déclare : « Une vierge oublie-t-elle sa parure ? une épouse, ses atours ? Mais mon peuple m’a oublié pendant des jours sans nombre ». En Jér. 3:20, Israël est décrite comme une femme traîtresse se détournant de son mari : « Certainement, comme une femme perfide se détourne de son mari, ainsi vous avez agi perfidement envers moi, maison d’Israël, dit Yahweh ». Mais beaucoup plus tard, en Jérémie, en 31:31 et suivants, on nous assure que la Nouvelle Alliance sera conclue UNIQUEMENT avec ces mêmes maisons d’Israël et de Juda. La Nouvelle Alliance, étant matière prophétique, ne peut être destinée QU ’ À CES MÊMES PEUPLES pour lesquels elle fut prophétisée !
Il y a donc un fil rouge bien visible qui court à travers tout l’Ancien Testament et ses prophètes qui nous informent qu’Israël, la nation, qui est le corps des personnes elles-mêmes, peu importe où elles se trouvent, cette nation est l’épouse de Yahweh. Israël, ce même corps de personnes qui a été rejeté en punition sera une fois de plus restauré comme épouse de Yahweh, une fois racheté, et il n’y a absolument aucune promesse de rédemption chez les prophètes pour un quelconque autre peuple. Il ne peut y avoir un autre peuple, d’ailleurs, puisque Yahweh s’est marié à Israël seulement ! Comme le dit le prophète Amos :
« 1 Écoutez cette parole que Yahweh prononce sur vous, fils d’Israël, sur la famille entière que j’ai fait monter du pays d’Égypte, disant : 2 Je vous ai connus, vous seuls, de toutes les familles de la terre ; c’est pourquoi je visiterai sur vous toutes vos iniquités » (Amos 3:1–2).
C’est clair dans toutes les prophéties dont nous avons discuté plus haut, et aucune personne d’une autre nation ne peut réclamer d’être incluse dans cette relation.
En plusieurs occasions, Yahshua Christ parle de Ses fidèles — tous Israélites, ex- cepté (et pour une bonne raison) le Cananéen Judas Iscariot — comme les « fils de la chambre nuptiale » (voir Matt. 9:15 et Marc 2:19, et pour une occasion séparée Luc 5:34). L’évangile de Jean rappelle les mots de Jean le Baptiste, qui nous donne une illustration similaire :
« 29 Celui qui a l’épouse est l’époux ; mais l’ami de l’époux, qui l’assiste et l’entend, est tout réjoui à cause de la voix de l’époux ; cette joie, donc, qui est la mienne, est accomplie » (Jean 3:29).
Si Yahshua est le mari, alors selon les prophètes cités ci-dessus, Il doit être Yahweh dans la chair venu racheter les Israélites rejetés — et non pas les Édomites à Jéru- salem. Car c’est ce que les prophètes ont exposé !
Paul explique ceci aux Corinthiens, qui étaient des Grecs doriens et qui descen- daient des anciens Israélites (cf. 1 Cor. 10:1–11), où il leur dit : « . . .car je vous ai mariés à un seul mari, pour vous présenter au Christ comme une vierge chaste » (2 Cor. 11:2), ce qui est exactement ce que Paul fit : trouver les Israélites « perdus » et leur apporter le bon message de rédemption. Comparez cette déclaration de Paul à Ésaïe 62:5, citée ci-dessus. Les Grecs doriens n’étaient pas parmi les Israélites des déportations assyriennes, mais ils avaient migré de Palestine au 12e siècle av. JC, lorsqu’ils prirent le Péloponnèse aux Grecs danéens. Les Danéens, Israélites égale- ment, avaient quitté le corps principal d’Israël beaucoup plus tôt, car ils faisaient partie de la tribu de Dan s’étant séparée avant même l’Exode, quittant l’Égypte et colonisant le Péloponnèse.
Lorsque Paul écrivit aux Romains, il s’adressait aussi à des Israélites « perdus ». Des déclarations de Paul, telles celles en 1:18–32 et 4:1–25, ainsi que d’autres, démontrent pleinement ce fait. Les Romains, étant les descendants des Troyens selon tous les témoignages, étaient de la branche Zérakh de Juda, qui quitta aussi la Palestine à une époque très ancienne. En Romains chapitre 7, Paul explique la relation d’Israël avec Yahweh sous la loi :
« 1 Ignorez-vous, frères (je parle à ceux qui connaissent la loi), que la loi a autorité sur l’homme aussi longtemps qu’il vit ? 2Car la femme qui est soumise à un mari, est liée à son mari par la loi, tant qu’il vit ; mais si le mari meurt, elle est déliée de la loi du mari. 3 Ainsi donc, le mari étant vivant, elle sera appelée adultère si elle est à un autre homme ; mais si le mari meurt, elle est libre de la loi, de sorte qu’elle n’est pas adultère en étant à un autre homme. 4 C’est pourquoi, mes frères, vous aussi, vous avez été mis à mort à la loi par le corps du Christ, pour être à un autre, à celui qui est ressuscité d’entre les morts, afin que nous portions du fruit pour Yahweh » (ma propre traduction).
Israël, étant mariée à Yahweh, commit l’adultère en adorant de faux dieux, ce qui impliquait également l’adoption de coutumes étrangères, l’obéissance à des lois étrangères et consistait à commettre des actes violant les lois de Yahweh — par exemple la fornication. Selon la loi, cela faisait d’Israël, chassée de la maison du mari (les déportations assyriennes et babyloniennes), une épouse méritant la mort, car la mort est la pénalité prévue pour l’adultère (Lév. 20:10 ; Deut. 22:22).
Pourtant, Yahweh a promis de ne pas mettre un terme à Israël mais — contraire- ment à Sa propre loi — de la reprendre. Cela créait un dilemme, car sous la loi un mari ne peut reprendre sa femme adultère (Deut. 24:4). Les Israélites — tous ceux qui avaient quitté la Palestine et la plupart des déportés — avaient adoré des idoles païennes et des faux dieux, et vivaient dans la transgression depuis des siècles. Dès lors, la seule façon dont Yahweh pouvait satisfaire la lettre de la loi était de mourir ! C’est pour cette raison que Yahweh se manifesta dans la chair, avant toute autre : qu’Il puisse mourir afin de satisfaire la loi — Sa propre loi, qu’Il édicta — et par là, une fois la loi accomplie et Israël libérée d’elle (Rom. 7:1– 2 ci-dessus), le Christ ressuscité — Yahweh dans la chair — pouvait avoir Israël pour femme ! C’est ainsi qu’en Rév. 19:6–10, nous voyons le mariage de l’Agneau (Yahshua Christ) à la femme, qui est alors révélée en Rév. 21:9–12 n’être personne d’autre que les douze tribus d’Israël habitant une nouvelle Jérusalem !
La raison de la déclaration de Yahshua en Luc 16:16–18 peut maintenant appa- raître manifeste. Si Yahshua Christ, mari de la nation — le peuple — d’Israël, accepte un quelconque non-Israélite ou un quelconque bâtard (une personne de sang mêlé) dans Son Royaume, ALORS IL COMMET L ’ADULTÈRE ! Pour cette raison, Il est venu UNIQUEMENT pour Son peuple de l’Alliance (« Je ne suis envoyé qu’aux brebis perdues de la maison d’Israël », Matt. 15:24). Toutes les nations (et pas le terme latin trompeur « Gentils ») auxquelles Paul apporta l’évangile étaient réelle- ment les descendants des anciens Israélites, et Paul le savait évidemment. Dans la lettre de Paul aux Galates, il leur fait savoir clairement que l’alliance ne peut pas être élargie (3:15) et qu’elle a été conclue seulement avec certains descendants d’Abraham (3:16–17), et que ceux-ci descendaient vraiment d’Isaac et étaient les enfants de la promesse (4:1–30). Les Galates de l’époque de Paul étaient des Celtes mélangés à des Grecs. Les Celtes, ainsi que les Scythes, étaient des Israélites des déportations assyriennes. Paul expliqua aux Éphésiens que Yahweh avait abattu le mur qui les séparait de Lui-même (Éph. 2:14). Ce mur représentait les lois concer- nant le mariage, le divorce et l’adultère, qui empêchaient Yahweh de communier avec Israël jusqu’à ce qu’Il effectue leur rédemption. Pour cette même raison, Paul parla aux Colossiens de l’aliénation et de la réconciliation :
« 21Et vous qui étiez autrefois étrangers et odieux en pensée dans les mauvaises œuvres, il vous a toutefois maintenant réconciliés 22 dans le corps de sa chair, par la mort, pour vous présenter saints et sans tache et sans offense devant lui « (Col. 1:21–22, ma traduction).
Tout cela est pleinement cohérent avec les déclarations des prophètes, car Daniel nous assure que :
« . . .et ce royaume ne passera point à un autre peuple. . . » (Daniel 2:44),
et Ézéchiel nous dit que :
« . . .29Et je leur susciterai un plant de renom ; et ils ne seront plus enlevés par la famine dans le pays, et ils ne porteront plus l’ignominie des nations. 30Et ils sauront que moi, Yahweh, leur Dieu, je suis avec eux, et qu’eux, la maison d’Israël, ils sont mon peuple, dit Yahweh l’Éternel. 31 Et vous, mon troupeau, le troupeau de ma pâture, vous êtes des hommes ; moi, je suis votre Dieu, dit Yahweh l’Éternel » (Ézéch. 34:29–31).
Ézéchiel dit aussi :
« 27 Et ma demeure sera sur eux ; et je serai leur Dieu, et ils seront mon peuple. 28Et les nations sauront que moi je suis Yahweh qui sanctifie Israël, quand mon sanctuaire sera au milieu d’eux à toujours » (Ézéch. 37:27–28).
Yahshua Christ ne va sûrement pas Se fiancer à des païens non-Israélites, non- adamiques. Ézéchiel, un contemporain de Jérémie, écrivait longtemps après qu’une grande partie d’Israël et de Juda ait été faite captive par les Assyriens. Il écrivait lui-même de sa captivité en Babylone (cf. Ézéch. 1:1–3), étant l’un des dix mille qui avaient été les premiers capturés par les Babyloniens (2 Rois 24 ; Ézéch. 19).
Tous les prophètes et le nouveau Testament montrent de façon consistante que les universalistes et les dispensationalistes ne sont rien d’autre que des menteurs. Une fois que l’on comprend la relation mari-épouse de Yahweh à l’ancien Israël — à laquelle Yahweh Lui-même tient tellement qu’Il fait l’expérience de la mort pour la préserver — et la relation du Christ ressuscité avec les nations Blanches Chrétiennes d’aujourd’hui, nations qui sont les réelles descendantes de ces anciens Israélites, il est pleinement évident que Luc 16:16–18 consiste en un avertissement aux universalistes. En embrassant les peuples étrangers non-Israélites, les univer- salistes, par essence, ACCUSENT YAHSHUA CHRIST D ’ ADULTÈRE ! Tu ne commettras point l’adultère (Exode 20:14 ; Deut. 5:18) ! La punition pour l’adultère sous la loi est la mort (Lév. 20:10 ; Deut. 22:22). Mais lorsqu’un témoin se révèle être un faux témoin, celui-ci doit subir la punition lui-même, comme il est décrit dans la loi en Deut. 19:16–19. Où cela mène-t-il les universalistes, qui procèdent à de tels faux témoignages ? Tous ces soi-disant « pasteurs » et « évangélistes » « chrétiens » qui se répandent partout en proclamant aux non-Blancs et à ceux de sang mêlé qu’ils peuvent devenir Chrétiens, que « Jésus » les aime, et qu’ils peuvent partager la rédemption avec Israël ACCUSENT FAUSSEMENT YAHSHUA C HRIST DE COMMETTRE L ’ ADULTÈRE ! Il s’ensuit que la punition pour l’universalisme est la mort, et les universalistes se condamnent eux-mêmes !
Quand on a compris que les anciens Romains et Grecs, ainsi que les nations celtes et saxonnes d’Europe, avec les Scandinaves, Parthes et autres peuples frères, que tous ces peuples descendent des anciens Israélites, on s’aperçoit que l’histoire de la propagation du Christianisme est tout-à-fait consistante avec les déclarations des prophètes concernant Israël. Aujourd’hui, il est manifeste que le Royaume de Yahweh sont les nations Blanches Européennes : aucune autre nation ne souffre de cette « immigration » (invasion) massive d’étrangers dans ses frontières, une situation dans laquelle le citoyen moyen de ces nations n’a aucun mot à dire et aucun choix en la matière ! Ces étrangers sont ceux qui « se pressent » dans le Royaume de Yahweh (Luc 16:16).
Les Édomites-Juifs ont, en grande partie, usurpé le contrôle de toutes les nations blanches de l’Ouest. C’est pleinement évident aujourd’hui. Les gigantesques ri- chesses qu’ils ont accumulées par leurs pratiques anti-Chrétiennes du prêt d’argent à usure ainsi que grâce à toutes ces professions putrides dans lesquelles ils se sont engagés depuis des millénaires leur ont permis ce contrôle. Exactement comme ils avaient usurpé le contrôle de l’ancienne Judée à cette époque lointaine, aujour- d’hui les violents ont pris le Royaume par la force — par les guerres en Europe dans les siècles récents jusqu’à, et y compris, la révolution bolchevique et les deux guerres mondiales, et dans la promotion de tant de philosophies pernicieuses et anti-chrétiennes, trompant les brebis. Ce sont les gouvernements contrôlés par ces mauvaises figues juives, les multiples canaux médiatiques et fondations qui ont orchestré ce déluge d’étrangers dans les nations blanches, promouvant en même temps la « diversité » et le « multi-culturalisme », tout cela avec la coopération des factions de capitalistes « conservateurs » et de communistes « libéraux » dans tous les partis politiques importants de ces prétendues « démocraties ». Les Écri- tures s’accomplissent juste devant nos yeux : il nous suffit de les ouvrir, ces yeux ! Mais nous, Blancs Européens, la vraie Israël biblique, nous avons une assurance : YAHSHUA CHRIST NOTRE RÉDEMPTEUR NE COMMETTRA PAS D ’ ADULTÈRE ! Et nous ne devons pas en commettre non plus en embrassant odieusement une bête répu- gnante étrangère qui est arrivé à se faufiler dans nos terres.
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