Les Mexicains sont des descendants de Caïn (fils de Satan)

par Clifton A. Emahiser

Vous êtes libres de copier ce texte, mais pas de l’éditer.

Dès l’abord, certains vont protester, en citant deux raisons :

  1. tous les descendants de Caïn furent noyés par le déluge de Noé
  2. Genèse 4:1 dit qu’Adam était le père de Caïn.

En ce qui concerne Adam père de Caïn, on sait que le passage en Genèse 4:1 est corrompu, et rien ne peut être prouvé en le citant. En ce qui concerne les descendants de Caïn noyés par le déluge de Noé, les Écritures disent clairement qu’ils ne le furent pas.

Tout ce que nous avons à faire est d’aller en Genèse 15:19--21, où il est dit :

«le Kénien, et le Kenizien, et le Kadmonien, et le Héthien, et le Phérézien, et les Rephaïm, et l’Amoréen, et le Cananéen, et le Guirgasien, et le Jébusien».

La première de ces dix nations mentionnées sont les Kéniens, et Strong leur assigne les nombres 7017 et 7014 de la façon suivante :

Strong #7017 : «Qênîy … ou … Qînîy … patronyme venant de 7014 ; un Kénien ou membre de la tribu de Kajin :- Kénien».
Strong #7014 : «Qayin … Kajin, le nom du premier enfant … :- Caïn, Kénien(s)».

L’époque de ce chapitre (Gen. 15) est contemporaine de la première apparition de Yahweh à Abram (Abraham) pour lui donner un héritage. Cela devait se passer plusieurs centaines d’années après le déluge de Noé et les descendants de Caïn étaient toujours vivants et bien en forme.

Dans ce papier, nous démontrerons que les Mexicains d’aujourd’hui sont un peuple arabe ; il est donc nécessaire d’étudier les nombreuses origines des Arabes. De même, les Juifs-mauvaises-figues sont un peuple arabe, et c’est à travers les Juifs que nous serons capables de retracer l’origine des Mexicains jusqu’à Caïn, qui était le rejeton d’Ève engendré par Satan. Commençons maintenant cette étude :

Dans le Collier’s Encyclopedia de 1980, volume 2, page 398, sous le thème «Arabes», nous lisons ce qui suit :

«Les peuples du monde arabe n’ont pas une origine unique. Bien que la culture arabe fut associée dans les temps anciens avec la Péninsule Arabique, dans les siècles qui suivirent beaucoup de peuples différents furent arabisés par l’adoption du langage arabe et d’autres caractéristiques de la culture arabe, car la presque entièreté de cette arabisation se fit à travers l’islam, la religion majoritaire du monde arabe. Les Arabes sont aussi différents physiquement qu’ils le sont par leur origine ethnique. Il n’existe pas de ‘‘type racial’’ arabe. Certains Arabes correspondent à l’image stéréotypée, à corps allongé et au ‘‘nez crochu’’, de peau sombre et à cheveux noirs, mais ces caractéristiques ne sont pas à proprement parler typiques. Les Arabes négroïdes sont similaires en apparence aux Africains sub-sahariens et les Arabes à peau claire sont physiquement indistinguables de la plupart des Européens».

Si des Arabes sont indistinguables de «la plupart des Européens», cela est du au fait que, à cause des conquêtes de l’islam, la plupart des Européens du sud sont en réalité de nos jours des Arabes par le sang. Vous noterez ici que les Arabes ont une infusion de sang négroïde en eux. Nous verrons plus tard qu’il y eut également une infusion de sang négroïde parmi les Mexicains. Les Écritures sont violemment opposées aux mamzers de sangs-mêlés, qui sont considérés comme «impurs», et donc comme des êtres dégoûtants. De nouveau, tiré de Collier’s Encyclopedia de 1980, volume 13, page 310, sous le thème «Islam», nous lisons ce qui suit :

«… Le terme Islam se réfère non seulement à la religion mais aussi au corps entier des croyants et aux pays dans lesquels ils vivent. Parmi les nations à prédominance musulmane du monde moderne, nous trouvons le Maroc, l’Algérie, la Tunisie, la Lybie, la Mauritanie, le Tchad, l’Égypte, le Soudan, la Syrie, l’Irak, l’Arabie Séoudite et les autres états de la Péninsule Arabique, la Turquie, l’Albanie, l’Iran, l’Afghanistan, le Pakistan, le Bangladesh, la Malaisie et l’Indonésie. De larges communautés musulmanes existent au Liban, en Yougoslavie, dans l’Union Soviétique, en Chine, en Inde et aux Philippines. On trouve difficilement une région ne possédant pas de communauté musulmane.
La plus récente des grandes religions du monde, l’islam se développa en Arabie, dans une zone qui fut une des régions de mélange racial les plus significatives révélées dans l’Histoire, et le grand enthousiasme religieux des gens vivant là-bas diffusa dès lors en donnant à l’islam un caractère universel …» [l’accentuation est de moi].

Une fois de plus, du Collier’s Encyclopedia de 1980, volume 13, sous le thème «Islam», au sous-thème «Croyances Centrales», parmi lesquelles nous en trouvons cinq qui sont appelées «affirmations» centrales à la doctrine musulmane, la «cinquième affirmation» est du plus haut intérêt pour nous ici, et consiste en ce qui suit, page 311 :

«Cinquièmement, la communauté des croyants inclut tous ceux qui révèrent Allah, Son Prophète, Son Livre et le Jour du Jugement. C’est la fraternité célébrée de l’islam, dans laquelle toutes les barrières de race, couleur, langue et statut sont effacées».

Un autre peuple qui descend des Arabes sont les Mexicains. Ils sont le résultat d’explorateurs espagnols, parmi lesquels se trouvaient des Arabes et des Juifs. Ils parlent toujours l’espagnol de nos jours. Dans le Collier’s Encyclopedia de 1980, volume 16, page 80, sous le thème «Mexique» et le sous-thème «Origines Ethniques et Langage», nous lisons :

«On estime que 300.000 Espagnols pénétrèrent au Mexique durant les trois siècles de gouvernance coloniale. Ils se mélangèrent avec les Indiens et produisirent l’élément mestizo qui prédomine aujourd’hui dans la population mexicaine. La plupart des Nègres qui furent amenés pendant la période coloniale pour travailler dans les mines et dans les plantations, que l’on estime à moins de 200.000, ont été absorbés dans la population».

Ce même article souligne qu’il y avait «plus de 700 groupes tribaux» et «100 différents langages» parmi l’élément mexicain-indien seul. Rappelez-vous que le mot hébreu ’ereb signifie «mélangé». Sous le thème «Musulmans», toujours dans la même encyclopédie, volume 17, page 80, et au sous-thème «Le Califat Omeyyade d’Espagne», nous lisons :

«… Il y eut tellement de Chrétiens adoptant l’islam et se mariant avec les conquérants que la souche musulmane originelle se trouva bientôt totalement mélangée avec la population locale …»

Il n’est dès lors pas difficile de deviner la composition ethnique générale des 300.000 Espagnols qui se mélangèrent avec les Indiens mexicains. Il suffit d’étudier l’Histoire.

On ne peut comprendre clairement la composition raciale des Arabes et des Juifs sans comprendre l’histoire de l’Égypte, de 639 ap. JC jusqu’à l’époque de Napoléon Ier en 1798. L’histoire de l’Égypte durant cette période est essentiellement l’histoire de la totalité du Moyen-Orient. Gengis Khan, à travers ses exploits, laissa derrière lui un relent génétique mongol dans les populations des territoires qu’il conquit. L’Égypte, durant cette période, se retrouva sous des autorités diverses. En 639 ap. JC, les Arabes envahirent l’Égypte et se retrouvèrent au pouvoir. Puis vinrent les Fatimides, en 909 ap. JC. Ensuite arrivèrent les Ayyoubides, en 1174, puis, en 1517, les Mamelouks, suivis par les Ottomans lorsque l’Égypte fut gouvernée à partir d’Istamboul. Si vous ne comprenez pas l’histoire du Moyen-Orient pendant cette période, ne prétendez pas que vous savez tout ce qu’il faut savoir sur les Arabes et les Juifs d’aujourd’hui!

Dans les années 1200, Gengis Khan vendit une compagnie d’esclaves au sultan d’Égypte, une compagnie composée de Turcs et de Circassiens (ou Tcherkesses, peuple qui habitait le Caucase, à ne pas confondre avec les Blancs Caucasiens), qui devinrent les gardes du corps du sultan et qui étaient aussi entraînés comme soldats. Bientôt, les Mamelouks renversèrent le sultan égyptien et placèrent leur propre sultan au pouvoir. Les sultans Mamelouks conquirent alors l’Asie Mineure, la Syrie et l’île de Chypre. Après tous ces exploits arabes et turcs, les diverses populations qui en résultèrent furent multiraciales, en fait des mutants hybrides génétiques.

Mohammed, un demi-Juif, fondateur de l’islam, est né à la Mecque, le 20 août 570 ap. JC. À l’âge de 40 ans, il proclama une révélation de Gabriel et lança une religion hybride. Après avoir obtenu des adhérents et une armée, il conquit bientôt toute l’Arabie et appela la Perse, l’Abyssinie et Constantinople à embrasser sa religion, mais il mourut avant d’avoir conquis l’Asie Mineure et l’Empire Romain. Après sa mort, ses fidèles fanatiques poussèrent en Égypte, en Palestine, en Perse et en Syrie, et 50 ans plus tard se déplacèrent vers l’Afrique du Nord et l’Espagne, imposant aux conquis un ultimatum de conversion ou de mort par l’épée, violant les femmes partout où ils passaient. Lors de leur mouvement vers le nord, en Espagne, sur un signe des Juifs, ils brisèrent le règne des Visigoths en 711, amenant avec eux des Berbères d’Afrique, faisant de Cordoue le siège de leur gouvernement. Dans l’histoire d’Espagne, le terme de «Maure» est utilisé de façon interchangeable avec «Arabe» et «Sarrasin». Plus tard, les forces maures envahirent la France mais furent défaites à Tours en 732 par Charles Martel, ce qui constitua un tournant majeur dans l’Histoire.

La progression des mahométans vers le nord s’était continuée de manière incontrôlée sur une distance supérieure à 1.500 km à partir de Gibraltar, et s’ils n’avaient finalement été stoppés, ils auraient apporté le Croissant jusqu’aux frontières de la Pologne et jusqu’aux Highlands d’Écosse. Le posé Gibbon, l’historien, conjecturait qu’aujourd’hui le coran serait utilisé en tant que manuel principal à l’Université d’Oxford.

La Destinée avait un plan différent. La Hache de Guerre, Charles Martel (appelé le «marteau»), n’allait pas permettre à l’avancée des Maures de continuer. Le guerrier franc avait déjà été endurci par vingt-quatre ans de service. Avec le royaume faisant face à une telle urgence, la politique de Charles était de laisser le torrent arabe diffuser avant d’essayer d’arrêter la vague. L’Europe, ici, était parée contre l’Asie et l’Afrique ; la Croix contre le Croissant ; le Christ contre Mohammed. Pendant six jours, la bataille parut favoriser l’islam, mais au septième jour, les fiers Germains arrivèrent avec leurs haches de guerre, fondant sur la soldatesque plus légère au sud. À la tombée de la nuit, l’Europe était victorieuse, car Abd el Rahman, le chef mahométan, avait été tué. Dans la confusion des ténèbres, les guerriers maures se retournèrent les uns contre les autres jusqu’au lever du Soleil, moment où les derniers survivants firent retraite vers le sud.

On pourrait croire que Charles Martel reçut les plus grands honneurs que le monde chrétien puisse offrir! Mais en fait, c’est exactement le contraire qui se passa après la bataille. Martel, pour lever et équiper son armée, avait été obligé de s’approprier les trésors de plusieurs églises, et le clergé ingrat ne lui pardonna jamais, le livrant aux flammes de l’enfer. En ce qui concernait l’église, le héros de Poitiers pouvait aller rôtir dans les flammes du purgatoire [Emprunté en partie de Cyclopædia of Universal History, par John Clark Ridpath, volume II, pages 150--152].

Henry H. Halley, dans son Bible Handbook, page 717 :

«Mohammed (570--632 ap. JC), à La Mecque, Arabie, se déclara comme étant lui-même le Prophète de Dieu, et entreprit, à la tête d’une armée, de propager sa religion par l’épée. Bientôt l’Arabie fut conquise. Les armées mahométanes, sous des chefs successifs, continuèrent la conquête. La Syrie tomba (634), Jérusalem (637), l’Égypte (638), la Perse (640), l’Afrique du Nord (689).
Le Christianisme asiatique et africain, ainsi balayé, les Mahométans se dirigèrent vers l’Europe. L’Espagne tomba (711). Puis ils se dirigèrent vers la France où, à Tours, l’armée mahométane fut défaite (732) par Charles Martel, grand-père de Charlemagne. SANS CETTE VICTOIRE, LE CHRISTIANISME AURAIT PU ENTIÈREMENT DISPARAÎTRE DE LA SURFACE DE LA TERRE».

La plupart, si pas tous les Arabes, incluant les Juifs-mauvaises-figues, sont des descendants de Caïn, qui, par la séduction d’Ève, fut engendré par Satan. Ils représentent la guerre de la semence de la femme contre la semence du serpent en Genèse 3:15. L’assaut des Mahométans Arabes sur l’Europe Blanche fut une collision majeure de ces deux forces, qui fut présagée en Daniel 8:9--12 et Rév. 9:1--21. Aujourd’hui, l’invasion des Mexicains en Amérique constitue une autre phase majeure de cette grande guerre, présagée en Ésaïe 56:9--12 et en Jér. 31:27. Les Mexicains sont donc (comme les Juifs-mauvaises-figues) des diables en pantoufles. Tout mâle mexicain franchissant nos frontières au sud représente un pénis cherchant une femme Blanche pour l’imprégner de façon à polluer notre race! Ils sont des créatures impures! Ils sont des êtres dégoûtants!

Bibliquement parlant, tous ceux d’ethnicité «mélangée» ou «mêlée» sont de la même catégorie que les Arabes (cf. Esdras 9:2 ; Dan. 2:43 ; Exode 12:38 ; Néh. 13:3 ; Jér. 25:20, 24 ; 50:37 ; 1 Rois 10:15 et Ézéch. 30:5). Selon ce critère, les Mexicains sont réellement des Arabes. On doit comprendre qu’avec Cortès et les explorateurs espagnols qui lui ont succédé sur une période de trois siècles, avec un influx de 300.000 hommes, il y avait beaucoup d’Arabes, de Turcs et de Juifs-mauvaises-figues. La plupart d’entre eux se sont mélangés avec les diverses tribus indiennes : Aztèques, Mixtèques-Zapotèques, Mayas, Otomis, Totonaques, Tarasques, Apaches, Matzlan-Zingos, Chontals, Mixes, Zoques, Gaicuros, Opatas-Pimas, Tapijulapas, Seris et Huaves, Chichimèques, Toltèques, Huaxtèques, qui sont aussi des peuples impurs et dégoûtants. De ces Juifs-mauvaises-figues, dans ce brouet de sorcière, vint également le mélange des dix nations cananéennes dont il est parlé en Gen. 15:19--21, précédemment cité. Les Juifs et les Arabes sont tous de cette mixture! Et grâce aux explorateurs espagnols, les Mexicains possèdent aussi cette mixture cananéenne. La prochaine fois que vous observerez un Mexicain, souvenez-vous qu’il est en partie Cananéen! Peuple dégoûtant? Bien entendu qu’il l’est! Et il fut donné au peuple d’Israël l’ordre de les exterminer — hommes, femmes, enfants — tout ce qui respire! La prochaine fois que vous sortirez faire vos courses et que vous observerez un enfant mexicain mélangé avec du Blanc, souvenez-vous que Yahweh a commandé qu’il doit mourir! Du fait qu’Israël ne fit pas cela lorsqu’il se trouvait dans le pays de Canaan, Yahweh mit cette directive en suspens de façon que ces êtres puissent devenir des épines dans nos yeux et des piquants dans nos côtés. Les Juifs-mauvaises-figues sont donc des épines et des piquants; les Arabes et les Turcs sont des épines et des piquants ; les Mexicains sont des épines et des piquants (Josué 23:12--13). Yahshua Christ Lui-même, ainsi que Paul, appelaient ceux d’extraction cananéenne des «chiens». Les Juifs sont des chiens; les Arabes et les Turcs sont des chiens ; les Mexicains sont des chiens! Ils ne sont donc pas seulement des peuples dégoûtants, ils sont aussi des peuples-chien ! Il s’ensuit que toute femme Blanche (ou homme d’ailleurs) qui se met au lit avec un Mexicain (ou tout autre être non-Blanc) devrait se voir déshérité par ses parents! Ce qui signifie la jeter à la rue et lui dire de ne jamais remettre les pieds à la maison! Si les parents ne le font pas, la prochaine chose qu’ils pourront constater est une maison remplie de Mexicains, et ils devront alors jeter à la rue toute la famille!

À propos, The Reader’s Great Encyclopedic Dictionary définit mestizo ainsi :

«… (mes·t ē’zō) n. pl. ·zos ou ·zoes : Toute personne de sang mêlé ; au Mexique et aux États-Unis de l’ouest, une personne de sang Espagnol et Indien : aussi appelé Ladino (déf. 2). Aussi mes·te’so, mes·ti’no (-nō). [<Sp. <LL misticius < L mixtus pp. de miscere, mixer] — mes·di’za n. fém.».
Ladino» = «Judéo-Espagnol», ou «Judezmo»).

Cette définition est assez bonne, excepté que «sang Espagnol» n’exprime pas toute l’histoire du sang arabe, turc et juif-mauvaise-figue! En fait, les Espagnols originels de pur sang étaient des Blancs Ibères. Cette définition ne peut donc s’appliquer qu’à l’Espagne telle qu’elle était lorsqu’elle était occupée par les Mahométans turcs et arabes, après sa conquête par les Sarrasins. Il ne s’agit donc pas seulement d’un mélange «d’Espagnol et d’Indien», mais d’un mélange d’Arabe, de Turc, de Juif et d’Indien ; et n’oublions pas les négroïdes!

La connexion biblique des Juifs-mauvaises-figues et des Arabes à Caïn et à Satan

Premièrement, la tentation d’Ève dans le Jardin d’Éden ne consista pas à manger telle ou telle sorte de fruit d’un arbre botanique. Satan séduisit en fait Ève et l’induisit à avoir des relations sexuelles avec lui, et la naissance de Caïn en résulta. Bien que la définition pour l’arbre dont elle mangea puisse signifier en hébreu un arbre au sens botanique, dans ce cas il s’agit d’un idiome hébreu signifiant un arbre racial, ou généalogique. Le terme pour «manger» dans ce passage est aussi un idiome hébreu qui signifie une relation sexuelle. Ce qui arriva donc est que Satan séduisit Ève et eut des relations sexuelles avec elle, et Caïn naquit de cette union. Certains ne sont pas d’accord avec cette interprétation, mais «manger» signifie également «relation sexuelle» en Proverbes 30:20, où il est dit :

«Tel est le chemin de la femme adultère : elle mange et s’essuie la bouche, et dit : Je n’ai point commis d’iniquité».

Ce verset ne parle pas d’une femme qui s’essuie les lèvres du visage, mais d’une femme qui s’essuie le vagin. Devons-nous aussi supposer que cette femme a mangé d’un arbre au sens botanique? Peut-être a-t-elle du essuyer le jus de pomme qui coulait de sa bouche!

Souvenez-vous, Yahweh dit à Ève non seulement de ne pas «manger» de l’arbre, mais également de ne pas le «toucher». Non seulement le mot «manger» a quelquefois une signification sexuelle, mais le mot «toucher» aussi, qui est le mot #5060, naga, toucher ; aussi avoir des relations sexuelles. Cela correspond et est supporté par les deux passages des Écritures suivants :

«10Et Abimélec dit : Qu’est-ce que tu nous as fait? Car peu s’en est fallu que quelqu’un du peuple n’ait couché avec ta femme, et tu aurais fait venir la culpabilité sur nous. 11Et Abimélec commanda à tout le peuple, disant : Celui qui touchera cet homme ou sa femme sera certainement mis à mort» (Genèse 26:10--11).
«Et Yahweh [singulier-]Élohim lui dit en songe : Moi aussi je sais que tu as fait cela dans l’intégrité de ton cœur, et aussi je t’ai retenu de pécher contre moi ; c’est pourquoi je n’ai pas permis que tu la touchasses» (Genèse 20:6).

Avec ces deux versets, il devrait être clair que le terme «toucher» est un idiome hébreu quelquefois utilisé pour signifier une relation sexuelle. Il ne faut pas être très malin pour prétendre le contraire, et pourtant certains le font.

Paul de Tarse utilisa ce même idiome hébreu lorsqu’il écrivit 2 Corinthiens 6:17, où il déclare :

«C’est pourquoi sortez du milieu d’eux, et soyez séparés, dit Yahweh, et ne touchez pas à [ce qui est] impur, et moi, je vous recevrai».

Pour que ce soit bien clair, je vais souligner :

«C’est pourquoi sortez du milieu [des Juifs-mauvaises-figues, Arabes, Turcs, Mexicains, Mongols, Négroïdes et tous les non-Blancs et les hybrides de toutes sortes], et soyez [séparés], dit Yahweh, et [n’ayez aucune relation sociale ou sexuelle avec] les [races] impures ; et moi, je vous recevrai».

Yahshua Christ Lui-même agréait que les Juifs-mauvaises-figues étaient réellement les descendants de Caïn lorsqu’Il disait, en Luc 11:50--51 :

«50Afin que le sang de tous les prophètes qui a été versé depuis la fondation du monde soit redemandé à cette race, 51depuis le sang d’Abel jusqu’au sang de Zacharie, qui périt entre l’autel et la maison : oui, vous dis-je, il sera redemandé à cette race».

Quelle race? La race de Caïn, bien entendu! Qui d’autre a assassiné Abel? Il aurait été criminel de la part de Yahshua Christ d’accuser du meurtre d’Abel un peuple qui n’aurait pas été littéralement coupable de ce crime. De plus, Le Christ serait devenu coupable de faux témoignage et n’aurait été rien d’autre qu’un menteur.

Vers 125 avant JC, la plupart des Édomites dans la Judée du sud s’étaient convertis au Judaïsme. Ce qui suit est tiré de Antiquités, de Josèphe, en 13:9:1 :

«… Hyrcan prit aussi les villes d’Idumée, Adora et Marissa, soumit tous les Iduméens et leur permit de rester dans le pays à la condition d’adopter la circoncision et les lois des Juifs. Par attachement au sol natal, ils acceptèrent de se circoncire et de conformer leur genre de vie à celui des Juifs. C’est à partir de cette époque qu’ils ont été des Juifs véritables».

Donc, du temps du Christ, une bonne partie des Juifs vivant en Judée étaient en réalité des Édomites!

Nous n’avons qu’un pas de plus à faire pour comprendre qu’Ésaü avait pris des femmes hittites des dix nations cananéennes. En Genèse 15:19--21 sont listées ces dix nations, et elles se mélangèrent tellement, racialement, qu’en Deutéronome 7:1--2 elles ne sont plus que sept. Les Kéniens, les Keniziens et les Rephaïm ont été totalement absorbés par les sept autres nations de ce groupe, dont les Juifs-mauvaises-figues sont sortis. À partir de cette époque, toutes les nations cananéennes avaient absorbé les Kéniens, la lignée génétique de Caïn. En Deut. 7:1, elles sont listées comme suit :

«… le Héthien, et le Guirgasien, et l’Amoréen, et le Cananéen, et le Phérézien, et le Hévien, et le Jébusien …».

En Esdras 9:1, elles sont citées comme suit :

«… des Cananéens, des Héthiens, des Phéréziens, des Jébusiens, des Ammonites, des Moabites, des Égyptiens, et des Amoréens».

Tous ces peuples ont une chose en commun : le sang de Caïn.

Non seulement les Juifs-mauvaises-figues descendent de ces diverses nations cananéennes, mais les Arabes également. Et c’est aussi la lignée raciale des Mexicains! Ils sont tous venus par un chemin différent, mais le résultat est très similaire. La chose qu’ils possèdent en commun est qu’ils descendent tous de Caïn, dont le père était Satan (Sammaël). En ce qui concerne les autres races, elles sont toutes, d’une façon ou d’une autre, sataniques par nature. Si vous ne pensez pas de même, lisez juste le Psaume 83! La liste est trop longue pour l’inclure ici, mais nous noterons simplement au verset 6 les tabernacles (tentes) d’Édom, qui représentent les Juifs-mauvaises-figues. Mentionnés aussi, les Ismaélites qui ont depuis longtemps été arabisés. Et Amalek était aussi un Édomite.

On parle beaucoup aujourd’hui de la manière dont nous devons protéger nos frontières au sud, mais la seule réponse se trouve en Deutéronome 7:2--3. C’est le seul remède!